I 54 SÏXÏÈME LKTÏIiE.
conjecture qui m'a semblé n'avoir pas besoin
d'une plus ample discussion pour être facilement
admise, surtout si elle avait votre approbation.
11 me reste, Monsieur, a vous soumettre la
copie des deux inscriptions grecques mention-
nées dans mes lettres des 3 janvier et ^8 février
derniers. La première est celle de Tébneli, l'an-
cienne Akoris, dans I'Égypte moyenne. La der-
nière ligne de celte inscription présente seule
des doutes sur la lecture de deux mots. Le pre-
mier, à la suite du nom d'Akoris, se compose de
six lettres, EPEEŒ2 ou EPPEH2, dont je n'ai pu
reconnaître qu'une partie, quelque attention que
j'aie mise à l'examiner.
L'autre observation porte sur le titre MOXIAAI
donné à lsis, et que je croyais dérivé d'une
élymologie égyptienne. J'ai mis, dans une note
ajoutée à ma lettre du 3 janvier dernier, les
remarques que ce mot m'avait suggérées ; mais
il vous appartenait, Monsieur, de décider la
question d'une manière définitive (1 ).
L'autre inscription est celle du propylon d'Ak-
mym, dont vous avez, dans vos recherches sur
I'Égypte, donné une restitution d'après les copies
de Pococke et d'Hamilton. Cette inscription est
(1) V. à la page 36 cette inscription, avec la noie qui la
concerne , et les corrections de M. Letronne.
conjecture qui m'a semblé n'avoir pas besoin
d'une plus ample discussion pour être facilement
admise, surtout si elle avait votre approbation.
11 me reste, Monsieur, a vous soumettre la
copie des deux inscriptions grecques mention-
nées dans mes lettres des 3 janvier et ^8 février
derniers. La première est celle de Tébneli, l'an-
cienne Akoris, dans I'Égypte moyenne. La der-
nière ligne de celte inscription présente seule
des doutes sur la lecture de deux mots. Le pre-
mier, à la suite du nom d'Akoris, se compose de
six lettres, EPEEŒ2 ou EPPEH2, dont je n'ai pu
reconnaître qu'une partie, quelque attention que
j'aie mise à l'examiner.
L'autre observation porte sur le titre MOXIAAI
donné à lsis, et que je croyais dérivé d'une
élymologie égyptienne. J'ai mis, dans une note
ajoutée à ma lettre du 3 janvier dernier, les
remarques que ce mot m'avait suggérées ; mais
il vous appartenait, Monsieur, de décider la
question d'une manière définitive (1 ).
L'autre inscription est celle du propylon d'Ak-
mym, dont vous avez, dans vos recherches sur
I'Égypte, donné une restitution d'après les copies
de Pococke et d'Hamilton. Cette inscription est
(1) V. à la page 36 cette inscription, avec la noie qui la
concerne , et les corrections de M. Letronne.