N°. 73,
AUTRE LEVIER
A ROUES DENTÉES.
INVENTÉ Ÿ
PAR M. DE LA GAROUSTE.
LA lanterne A porte un rochet B qui lui est fixé,
garni chun cliquet I poussé par un ressort. A l’ex-
trêmité opposée de l’arbre de cette lanterne ess; un pignon
C qui engrene dans une roue D , à Parbre de laquelle
est un second pignon E qui mene la roue F sixement at-
tachée à l’extrêmité du tambour G3 sur lequel roule la
corde attachée au poids. Le petit rouleau H efl pour di-
minuer le frottement de la corde. Deux leviers tels que
b d e, dont le centre de mouvement efl en e, servent à
faire mouvoir la machine, au moyen de deux crochets qui
y sont adaptés j & quipeuvent se mouvoir sur les cloux qui
les asssemblent : ils prennent alternativement les fuseaux de
îa lanterne, dans laquelle ils tombent par leur propre poids ;
& étant tirés en avant, ils feront tourner nécessairement
la lanterne, ôc par conséquent tout le rouage qui attirera
le fardeau.
Cette machine a beaucoup de rapport au levier de M.
De La Garouste ; elle n’en diflere que dans le nombre des
roues dentées qui se trouvent ici augmentées; mais aussi la
position des leviers n est.pas ss avantageuse que dans la pre-
miere machine. Voici le calcul de i’avantage qui fera vok
de quoi elle est capable.
Rec, des Machines* Tome II. C
Planchb
II.
Fig. I.
ôc II.
AUTRE LEVIER
A ROUES DENTÉES.
INVENTÉ Ÿ
PAR M. DE LA GAROUSTE.
LA lanterne A porte un rochet B qui lui est fixé,
garni chun cliquet I poussé par un ressort. A l’ex-
trêmité opposée de l’arbre de cette lanterne ess; un pignon
C qui engrene dans une roue D , à Parbre de laquelle
est un second pignon E qui mene la roue F sixement at-
tachée à l’extrêmité du tambour G3 sur lequel roule la
corde attachée au poids. Le petit rouleau H efl pour di-
minuer le frottement de la corde. Deux leviers tels que
b d e, dont le centre de mouvement efl en e, servent à
faire mouvoir la machine, au moyen de deux crochets qui
y sont adaptés j & quipeuvent se mouvoir sur les cloux qui
les asssemblent : ils prennent alternativement les fuseaux de
îa lanterne, dans laquelle ils tombent par leur propre poids ;
& étant tirés en avant, ils feront tourner nécessairement
la lanterne, ôc par conséquent tout le rouage qui attirera
le fardeau.
Cette machine a beaucoup de rapport au levier de M.
De La Garouste ; elle n’en diflere que dans le nombre des
roues dentées qui se trouvent ici augmentées; mais aussi la
position des leviers n est.pas ss avantageuse que dans la pre-
miere machine. Voici le calcul de i’avantage qui fera vok
de quoi elle est capable.
Rec, des Machines* Tome II. C
Planchb
II.
Fig. I.
ôc II.