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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 3.1713/​19(1735) [Cicognara, 917C]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1716
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No. 170
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https://doi.org/10.11588/diglit.30636#0157
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APPROUVÊES PAR l’ÀCADÊMIE.

19

««XOsoOCXiOKXXX.XXWXXKXKXXK*

AUTRE MACHINE

P O U R

lafabrique des canons,

INFENTÉE

P A R M. V I L L O N S.

AB est un aflfut soutenu sur un billot par un étrier
garni d’un pivot C qui permet à l’assfut de tourner ho-
risontalement; il peut aussise mouvoir verticalement, étant
asssemblé au premier étrier par un boulon de fer. Cet af-
fut qui efl: placé devant une forge, contient un gros cy-
îindre IM revêtu de fer : à l’extrêmité I est une retrai-
te de l’épaiiseur de la mise. Ce même cylindre est percé
dans toute sa longueur pour recevoir un mandrin de fer
O N ; le bout N est pour soutenir la culassse H du canon
déja commencé, & l’extrêmité O est appuyée contre un
point fixe P pratiqué sur l’dtabli Z : ce point P n’est au-
tre chose qu’un plan incliné qui peut couler le long de
l’établi dans une rainure. Cette piece se fixe quand on veut
par le moyen de deux cheviiles que l’on fait entrer dans
des trous réservés à l’établi.

L’asssut est soutenu à l’extrêmité DE par une chaîne
de fer qui passse sur deux poulies F G. Devant ia culassse
H est suspendu un cogneux T S , soutenu par une corde
qui fait plusieurs tours sur le cylindre O, au bout duquel
est un second cylindre R de moindre diametre , sur iequel
est un martinet RX qui sert à élever le cogneux. Pour
joindre donc deux mises ensemble, on suppose d’abordque
la mise L chauffe à une forge séparée^ Ôc que la culassse

171 <5".
N°. 170.

Planciie

II.
 
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