14 Recueïl des Mâchines
conduît dans rassemblage des languettes dans lesquelîes ii
ï 720. circule, & ii sort tout échaufFé par le tuyau O. Voici quel
N 9.2i 8. eh l’arrangement de ces languettes.
2i_9. LMRNPQSest une boîte faite en équerre, à îa-
220. quelle sont adaptés les tuyaux LM pour la conduite de
^~f7gTT ^ a* r f rord ? & Q F O , pour ia conduite de Lair chaud.
' Toutes les cloisons sont faites de briques posées sur leur
chan. Ces cloisons ont îa même figure & la même largeur
que la boîte qui les contient, c’est-à-dire, qu’eiies sont
faites en équerre ; eües sont arrangées en cette sorte. La
premiereTiaiiTe passer l’air froid, par l’intervalle compris
entre V & la partie supérieure de la caisse ; î’autre cloi-
son X Y oblige l’air de redescendre , qui pour lors repasfe
par l’intervalie Y pour remonter ensuite ; & ainsi l’airmonte
& descend alternativement, jusqu’à ce qu’il soit parvenu
au grand tuyau montantr d’ou ii sort après avoir été échauf-
fé. Le contrecœur & le fond de l’âtre qui doit être posé
sur ces cloisons , doivent être ajustés de maniere qu’iis ne
laistsent aucun pastsage à l’air entre elles ôe l’épaistseur de
ces mêmes cloisons.
Cette machine est construite de façon, qu’eîle peut être
transportée ôc placée dans toutes ies cheminées.
M. Gauger a fait un traité sur toute cette matiere, in^
titulé la Mèchanique du fcu, où. il s’étend beaucoup sur
ces sortes de cheminées ; c’est pourquoi on a cru qu’il se
falloit borner ici à ne donner qu’une description simpîe &c
une idée de ces sortes de cheminées. Si on veut savoir
les proportions qu’il faut garder, & les méthodes géomé-
triques dont il faut se servir pour les construire, on aura.
recours à ce traité.
conduît dans rassemblage des languettes dans lesquelîes ii
ï 720. circule, & ii sort tout échaufFé par le tuyau O. Voici quel
N 9.2i 8. eh l’arrangement de ces languettes.
2i_9. LMRNPQSest une boîte faite en équerre, à îa-
220. quelle sont adaptés les tuyaux LM pour la conduite de
^~f7gTT ^ a* r f rord ? & Q F O , pour ia conduite de Lair chaud.
' Toutes les cloisons sont faites de briques posées sur leur
chan. Ces cloisons ont îa même figure & la même largeur
que la boîte qui les contient, c’est-à-dire, qu’eiies sont
faites en équerre ; eües sont arrangées en cette sorte. La
premiereTiaiiTe passer l’air froid, par l’intervalle compris
entre V & la partie supérieure de la caisse ; î’autre cloi-
son X Y oblige l’air de redescendre , qui pour lors repasfe
par l’intervalie Y pour remonter ensuite ; & ainsi l’airmonte
& descend alternativement, jusqu’à ce qu’il soit parvenu
au grand tuyau montantr d’ou ii sort après avoir été échauf-
fé. Le contrecœur & le fond de l’âtre qui doit être posé
sur ces cloisons , doivent être ajustés de maniere qu’iis ne
laistsent aucun pastsage à l’air entre elles ôe l’épaistseur de
ces mêmes cloisons.
Cette machine est construite de façon, qu’eîle peut être
transportée ôc placée dans toutes ies cheminées.
M. Gauger a fait un traité sur toute cette matiere, in^
titulé la Mèchanique du fcu, où. il s’étend beaucoup sur
ces sortes de cheminées ; c’est pourquoi on a cru qu’il se
falloit borner ici à ne donner qu’une description simpîe &c
une idée de ces sortes de cheminées. Si on veut savoir
les proportions qu’il faut garder, & les méthodes géomé-
triques dont il faut se servir pour les construire, on aura.
recours à ce traité.