APPROUvsES PAR l’AcADÏMIE; 5)7
üiet le cliquet en mouvement, ôc au contraire dans ceiui- —
çi, le rochet n’a aucun mouvement que celui que le cliquet j
lui fait faire; çe rochet est plus en grand dans la figure IV , No4 247.
marquée QÇ, où son voit un deuxieme cliquet à deux ———-
dents, quil’ernpêchederétrograder; laqueue de ce çliquet
peut lui servir de ressbrt.
D G E est le douhle cliquet, E en est la queue , D G les
deux pointes ,&He centre de son mouvement.
La circonférence V Z représente le plan des deux roues
d’égal diametre, Ôc mendes par le pignon. La circonfé-
rence RSest la poulie qui porte le çordon y arrêté à cet
endroic par un nœud ; il passe ensuite sur la circonférence.
Une seconde pouiie 2, 3 , est aussi fixée à la premiere, elle
sert ss’appui à ia queue du cliquet; pour çet effet elle doie
être entaillde depuis le point P jusqu’au point F, afin que
la queue du cliquet puisse s’y enfoncer librement ôc en sor-
tir de même. Çes deux rouesportent à leur centre une es-
pece de tambour YX, dans lequel est renfermd un grand
ressort de montre, qui se remontc par le moyen d’un arbre
ôcd’un rochet à cliquet. La poulie A marquée M dans le
profil, figure VI, est pour empêcher le frottement du cor-
don O contre ie bord de ia boîte.
La poulie qui porte le cprdon ayant la liberté de tour?-
ner sur son arbre, ôc le cordon dtant fixé au polnt 3 , ssl’on
tire le bout O du cordon, lesdeux poulies cirçuleront de
P enF, ôc en même temps le point P xeîevera la queue du
çliquet jusqu’à ce que l’extrêmité E soit parvenue aupoint
P ; si l’on continue toujours de tirer autant de cordon que
la poulie en pourra fpurnir, il est évident que ie çliquet
n’en recevra plus de mouvement, puisque l’extrêmité E
étant en P, appuyera toujours égaiernent sur toute la cir«
conférence de ia poulie entaillée.
Par cette méchanique, ie rochet ne fait une révoiution:
entiere qu’en douze mouvemens, qui consistent à tirer ôc
iâcher le cordon aiternativement, c’est-à-dire, le premier
Rec, des Machines. Tome IY. N
üiet le cliquet en mouvement, ôc au contraire dans ceiui- —
çi, le rochet n’a aucun mouvement que celui que le cliquet j
lui fait faire; çe rochet est plus en grand dans la figure IV , No4 247.
marquée QÇ, où son voit un deuxieme cliquet à deux ———-
dents, quil’ernpêchederétrograder; laqueue de ce çliquet
peut lui servir de ressbrt.
D G E est le douhle cliquet, E en est la queue , D G les
deux pointes ,&He centre de son mouvement.
La circonférence V Z représente le plan des deux roues
d’égal diametre, Ôc mendes par le pignon. La circonfé-
rence RSest la poulie qui porte le çordon y arrêté à cet
endroic par un nœud ; il passe ensuite sur la circonférence.
Une seconde pouiie 2, 3 , est aussi fixée à la premiere, elle
sert ss’appui à ia queue du cliquet; pour çet effet elle doie
être entaillde depuis le point P jusqu’au point F, afin que
la queue du cliquet puisse s’y enfoncer librement ôc en sor-
tir de même. Çes deux rouesportent à leur centre une es-
pece de tambour YX, dans lequel est renfermd un grand
ressort de montre, qui se remontc par le moyen d’un arbre
ôcd’un rochet à cliquet. La poulie A marquée M dans le
profil, figure VI, est pour empêcher le frottement du cor-
don O contre ie bord de ia boîte.
La poulie qui porte le cprdon ayant la liberté de tour?-
ner sur son arbre, ôc le cordon dtant fixé au polnt 3 , ssl’on
tire le bout O du cordon, lesdeux poulies cirçuleront de
P enF, ôc en même temps le point P xeîevera la queue du
çliquet jusqu’à ce que l’extrêmité E soit parvenue aupoint
P ; si l’on continue toujours de tirer autant de cordon que
la poulie en pourra fpurnir, il est évident que ie çliquet
n’en recevra plus de mouvement, puisque l’extrêmité E
étant en P, appuyera toujours égaiernent sur toute la cir«
conférence de ia poulie entaillée.
Par cette méchanique, ie rochet ne fait une révoiution:
entiere qu’en douze mouvemens, qui consistent à tirer ôc
iâcher le cordon aiternativement, c’est-à-dire, le premier
Rec, des Machines. Tome IY. N