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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 5.1727/​31 (1735) [Cicognara, 917E]

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Recueil des Machines Année 1727
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No. 303
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https://doi.org/10.11588/diglit.30638#0052
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24 Recueïl des Machines
de thermometres : on dviteroit par ià ies inégalit& du
1727. tuyau.

No.303. A côté de ce canon on en placera un seçondquilul
!■— 1 sera semblable, comme on le voit Figure 4, où il sont
contenus dans une boîte. Dans l’intervalle que ces canons
laiisent entre eux au point 7, on assujettira la lame qu
plan horizontal mobile autour de ce point, de manie-
re qu’il puisse tourner à droite, à gauçhe, & entrer
dans les ouvertures réservées aux extrêmités des canons.

Mais comme on pourroit objeâer que le temps d’om
vrir ôc de fermer produiroit quelque erreur, voici une
démonstration simple que l’Auteur a ajouté pour répon-
dre à cette objedion.

Soient les deux cercles égauxOXG,INKà distance
Fig. II. arbitraire, ôt le point E également éloigné des deux cen-
tres : tirez la ligne XV ; cetteligne étant fixée au point
E ne se mouvera que circulairement, & les angles N E V
& XEH formés par cemouvement, seront égaux réci-
proquement Ôt alternativement ; par cette raison le plan
coupera les cercles en segmens égaux : ces deux cercles
dtant ainsi divisés, l’on voit qu’une portion de l’un sert
de complément à l’autre, c’est-à-dire, que la portion
FG H est le complément du scgmcnt IKN. II estdonc
clair que dans le moment que la ligne XV ouvre une
portion d’un des cercles, elle ferme dans i’autre une ou-
verture égale , d’où il suit qu’iiy a toujours une ouverture
libre. Si l’on prend à present les cercies pour les trous
des vases, ilest évident que le sable coulera toujourségar
lement, quoique partagé dans les deux canons. Passons
à i’explication des pieces qui composent i’horioge à pou-
dre.

A est un vase dans lequel eft le ssuide; l’extrêmitéde
ce vase doit être de facon qu’ii puisse s’enchafîer dans
le canon.
 
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