tfS R E C ü E ï L D E S M A C H I N E S
ne à ce cadran^ puisque ce Ievier est fixé au cadran même,
1728. & qu il n’a que la seuie iiberté de se mouvoir perpendicu-
N°.32 8, lairement sur ce même cadrair.
-.—- La roue P des minutes poixe une cheviile, qui rencon-
trant ie plan incliné O ? i’ait lever le levier & par consé-
quent la détente de la sonnerie ; & comme l’extrêmité du
plan incsiné répond à 60 minutes, la cheville ne pourrase
dégager que quand eile sera arrivée à 60 minutes; pour
lors ie ievier & ia détente retomberont, & la pendule son-
nera. Puisque la pendule ne peut sonner que quand ia che-
viüe & l’aiguiiie quise meutseront à 60 minutesdu temps
vrai, il suit que ia penduie marquera & sonnera ie temps
vrai avec une sonnerie ordinaire.
Pour conserver toute la justesie du mouvement de îa
penduie on fait servir les roues de ia sonnerie pour mener
le mouvement annuel Ôc toutes les machines qui dépen-
dent du temps vrai : par ce rnoyen le mouvement ne fe trou-
ve pas plus chargé que si la pendule étok simpie ; ce qui
ne se rencontre pas toujours dans les machines de ce
genre.
Le nombre des roues employé au mouvement annuel
est beaucoup moins compose dans cette pendule, que ce-
lui que i’on emploie dans ies mouvemens ordinaires ; on
n’ajoute ici au rouage que deu'x roues, dont une porte la
courbe ; ces deux roues sont menées par un pignon placé
sur la tige de la principale roue de ia sonnerie ; la force
nécessaire 'pour produire un tour annuel, ne paroît pas
porter aucun préjudice au mouvement de la sonnerie.
Le nombre des deiits desroues & pignons que i’on va
don.ner est si juste, qu’il ne iera pas besoin d’y toucher
corame ii arrive aux autres mouvemens de cette espece}
dans lesquels on est obiigé de faire une corredlion tous les
ans.
Planchs On commence par le pignon de la roue du chaperon
p ^ ou de compte qui fait son tcur en 12 heures j ce pignon est
ne à ce cadran^ puisque ce Ievier est fixé au cadran même,
1728. & qu il n’a que la seuie iiberté de se mouvoir perpendicu-
N°.32 8, lairement sur ce même cadrair.
-.—- La roue P des minutes poixe une cheviile, qui rencon-
trant ie plan incliné O ? i’ait lever le levier & par consé-
quent la détente de la sonnerie ; & comme l’extrêmité du
plan incsiné répond à 60 minutes, la cheville ne pourrase
dégager que quand eile sera arrivée à 60 minutes; pour
lors ie ievier & ia détente retomberont, & la pendule son-
nera. Puisque la pendule ne peut sonner que quand ia che-
viüe & l’aiguiiie quise meutseront à 60 minutesdu temps
vrai, il suit que ia penduie marquera & sonnera ie temps
vrai avec une sonnerie ordinaire.
Pour conserver toute la justesie du mouvement de îa
penduie on fait servir les roues de ia sonnerie pour mener
le mouvement annuel Ôc toutes les machines qui dépen-
dent du temps vrai : par ce rnoyen le mouvement ne fe trou-
ve pas plus chargé que si la pendule étok simpie ; ce qui
ne se rencontre pas toujours dans les machines de ce
genre.
Le nombre des roues employé au mouvement annuel
est beaucoup moins compose dans cette pendule, que ce-
lui que i’on emploie dans ies mouvemens ordinaires ; on
n’ajoute ici au rouage que deu'x roues, dont une porte la
courbe ; ces deux roues sont menées par un pignon placé
sur la tige de la principale roue de ia sonnerie ; la force
nécessaire 'pour produire un tour annuel, ne paroît pas
porter aucun préjudice au mouvement de la sonnerie.
Le nombre des deiits desroues & pignons que i’on va
don.ner est si juste, qu’il ne iera pas besoin d’y toucher
corame ii arrive aux autres mouvemens de cette espece}
dans lesquels on est obiigé de faire une corredlion tous les
ans.
Planchs On commence par le pignon de la roue du chaperon
p ^ ou de compte qui fait son tcur en 12 heures j ce pignon est