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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 7.1734/​54 (1777) [Cicognara, 917G]

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Recueil des Machines Année 1745
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N. 468
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https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0375
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Recueil des MachinesJ 277

M A C H I N E

POUR ÉLEVER LES EAUX,

PROPQSÈE

P A R M. A M Y,

AVOCAT AU PARLEMENT DE PRQVENCE,

i74r-,
N °.4<58‘.

CEtte machine est un baiancier ABC , fait de deux
fortes piéces de bois assujetties ensemble, & sus-
pendues au point B : aux deux extrêmités de ce balan-
cier sont deux coffres D;E faits de façon qssils puissent
contenir Feau dont ils sont successivement remplis pat
le tuyau de communication FFF.

Sur le milieu de cette balance qui est aussi le cerr-
£re de mouvement, eff solidement attachée une grosse
piéce de bois G, qui sert à sassemblage des écharpes
qui doivent servir à la solidité de la constru&ion de la
machine; la cage qui la renferme doit être composée
'de plusieurs montans d’un équarrissage convenable à
| 5effet qne l 5on se propose de lui faire produire : la
charpente de cette cage est dhme conftrudion arbitraire,
suivant la dispofition des endroits oii on l’établit ; on
doit la composer de maniere que le balancier soit dirF
gé dans son mouvement de rotation, & qu’ii ne puiffe
se déjetter ni de côté ni d’autre : car il doit conser^
yer un mouvement doux ôc sans saut.

Le coffre D porte une baye H qui reçoit Teau du ro-
binet I : cette eau entre dans le coffre par une ouver-
Iture quarrée ? pratiquée pès du bord supérieur dji
 
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