27B Recueil des Machines
..« coffre ; aux deux bouts de ce cofïre sont deux tuyaux
de fonte, tel que L (fîg. 2.); la partie extérieure de
N°.4^8. ce tuyau, c’est-à-dire le couvercle, est percée dequa-
--tre ouvertures diametralement opposées ôc en forme de
sefteur de cercle* qui s’ouvrent & se ferment par une
plaque de cuivre M , de même diametre ôc de même fi-
gure, ôt dont les sedteurs s’appliquent exaôtement sur
ïe fond du tuyau, au centre duquel elle est ajustée à
frottement: elle tourne & retourne sur elle-même, au
moyen d’un levier N, ensorte que ce levier suppofé dans
]a situation horisontale, le seôteur a bouche l’ouverture
b ; mais le levier ayant parcouru l’espace NO , le sec-
teur a fe trouve sur le plein c, ôc l’ouverture b se trou-
ve libre. On conçoit que tous les seôteurs de la pla-
que M étant presque égaux, ôc correspondant aux sec-
teurs du fond du tuyau L, une des ouvertures ne peut
être débouchée que les autres ne le soient, Ôc c’est par
ces especes de robinets que l’eau se répand dans les
deux réservoirs P, Q (fig. 1. ) : ce sont les deux crochets
R , S, fixés sur les bords de ces réservoirs, qui servent à
ouvrir les robinets, après lesquels deux autres crochets
semblables au crochet T sont destinds à les fermer.
II faut que ce mouvement soit fait avant la distribu-
tion de i’eau du robinet I dans la baye H : voici le
mouvement de ce robinet. Le robinet I tient à une
corde horisontale attachée à un point fixe V , ôc Fau-
tre extrêmité de cette corde qui pasie sur une poulie
tient un poids 7 suspendu ôc capable de faire tourner le
robinet : sur le desius du coftre D est une piéce de fer
X, qui prend la corde entre le point V ôc le point I;
le balancier par sa chûte tire de gauche à droite l’aju-
tage du robinet vers la baye où l’eau se distribue tou-
jours tant que le balancier reste dans cette situation ;
mais lorsqu’il s’éleve ôc qu’il abandonne la corde, le
poid 7 à fon tour retourne le robinet, qui serme
..« coffre ; aux deux bouts de ce cofïre sont deux tuyaux
de fonte, tel que L (fîg. 2.); la partie extérieure de
N°.4^8. ce tuyau, c’est-à-dire le couvercle, est percée dequa-
--tre ouvertures diametralement opposées ôc en forme de
sefteur de cercle* qui s’ouvrent & se ferment par une
plaque de cuivre M , de même diametre ôc de même fi-
gure, ôt dont les sedteurs s’appliquent exaôtement sur
ïe fond du tuyau, au centre duquel elle est ajustée à
frottement: elle tourne & retourne sur elle-même, au
moyen d’un levier N, ensorte que ce levier suppofé dans
]a situation horisontale, le seôteur a bouche l’ouverture
b ; mais le levier ayant parcouru l’espace NO , le sec-
teur a fe trouve sur le plein c, ôc l’ouverture b se trou-
ve libre. On conçoit que tous les seôteurs de la pla-
que M étant presque égaux, ôc correspondant aux sec-
teurs du fond du tuyau L, une des ouvertures ne peut
être débouchée que les autres ne le soient, Ôc c’est par
ces especes de robinets que l’eau se répand dans les
deux réservoirs P, Q (fig. 1. ) : ce sont les deux crochets
R , S, fixés sur les bords de ces réservoirs, qui servent à
ouvrir les robinets, après lesquels deux autres crochets
semblables au crochet T sont destinds à les fermer.
II faut que ce mouvement soit fait avant la distribu-
tion de i’eau du robinet I dans la baye H : voici le
mouvement de ce robinet. Le robinet I tient à une
corde horisontale attachée à un point fixe V , ôc Fau-
tre extrêmité de cette corde qui pasie sur une poulie
tient un poids 7 suspendu ôc capable de faire tourner le
robinet : sur le desius du coftre D est une piéce de fer
X, qui prend la corde entre le point V ôc le point I;
le balancier par sa chûte tire de gauche à droite l’aju-
tage du robinet vers la baye où l’eau se distribue tou-
jours tant que le balancier reste dans cette situation ;
mais lorsqu’il s’éleve ôc qu’il abandonne la corde, le
poid 7 à fon tour retourne le robinet, qui serme