Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 7.1734/​54 (1777) [Cicognara, 917G]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1735
DOI Artikel:
N. 431
DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0049
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
175 5*.
N°. 431.

Recueil des Machines. 29

M A C H I N E

A ELEVER LES EAUX,

INVENTÉE

PAR M. DE PARCIEUX,

DE L’ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES.

CEtte machine qui est dans le gout de celle de la Sa-
maritaine ôc du Pont Notre-Dame à Paris,est de mê-
me composée d’une grande roue AB, (fig. 1 ôc 2. ) qui
peut ausli s’élever ôc s’abaisîer. Aux extrêmités CD de
lon arbre sont fixées deux lanternes jumelies EF : dans cha-
queintervalle IK (fig. 3. ) sont disposées trois chevilies ou
fuseaux exadlement distantes, mais posées alternativement
les unes par rapport aux autres ; c’est-à-dire , que les 3
fuseaux de Fouverture I sont dans les intervalles des 3
autres de l’ouverture K , de maniere que les six fuseaux ,
abaisfent alternativement les extrêmités LM des deux
leviers LP , MP. II faut observer que la division des fu-
seaux des lanternes F, est aussi posée alternativement par
rapport à la double lanterne E , de sorte que les deux
lanternes forment quatre intervaÜes. Etant supposé rap-
prochée ôc posée sur leur plan, la circonférence se trou-
veroit divisée en 12 parties égales, ss tous les fuseaux tra-
versoient jusqu’au plateau supérieur, ies leviers LP, MP,
ont leur centre commun , étant retenus par la même che-
ville P, autour de laquelle ils se meuvent, ôc leurs extrê-
mités entrentdans les intervaliesI,K, (fig.3.) des doubles
lanternes ; à ces mêmes leviers sont attachés des tirans de
 
Annotationen