ReCUEI. L DES MaCHINES, Jp
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s9Q*. c? Qi c?/i f? Q-, dVb c\vb c9.Qb c9Ji c9 c9 ti rfîQ. c99b c9/i ÆJi c9Ji c9/i c9\b c9Ji> c9>/î c9Qs c9 Q>. cs* Q, ~
PENDULE ^
ÎNVENTÉE
PAR M. GALLONDE, M e. HORLOGER.
CEtte Pendule n’a aucune roue dans îa cadrature ;
les aiguilles sont menées sur trois cadrans sépa-
rés, A, B , C y ( %. 1. ) par la roue de fusée DE, ( fig.
2. ) au centre de laquelle est assujettie saiguille F des
heures; cette roue qui est de 120, fait son tour en
douze heures ; elle est formée d’un cercle sans croisée, &
dentée en dedans, fermement attachée sur un second cer-
cle 1K} (Hg. 3. ) qui lui est parallele à deux ou trois
lignes de distance. La portion dentée DE de cette dou-
ble roue prend le pignon L en dessus ; ce pignon qui
est de dix ailes, tient à îa tige de la roue de minute
M, au centre de laquelle, & siir la même tige, estassu-
jettie saiguille des minutes. lisuit de cet engrenageque
laroue desminutes E, &la roue des heures DE, tournent
du même sens, la roue M engrene dans le pignon de la
roue de champ N, qui meneà sordinaire le rochet O,
au centre duquel estsaiguille dessecondes.L’échappement
que sauteur avoit appiiqué à cette Pendule lorsqu’iî la
présenta à sAcadémie, étoit composé de deux palettes
d’acier, attachées à une espece d’ancre, contre lesquelles
frappent alternativement les dents du rochet.
Le sieur Gailonde a perfedlionné cet échappement deux
ans après : on le trouvera dans les Machines de sannée
3 742 y qui est s époque de s approbation.
Toutes les roues de cette Pendule sont portées par des
rouleaux, comme on le voit par la figure P; leur usage
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PENDULE ^
ÎNVENTÉE
PAR M. GALLONDE, M e. HORLOGER.
CEtte Pendule n’a aucune roue dans îa cadrature ;
les aiguilles sont menées sur trois cadrans sépa-
rés, A, B , C y ( %. 1. ) par la roue de fusée DE, ( fig.
2. ) au centre de laquelle est assujettie saiguille F des
heures; cette roue qui est de 120, fait son tour en
douze heures ; elle est formée d’un cercle sans croisée, &
dentée en dedans, fermement attachée sur un second cer-
cle 1K} (Hg. 3. ) qui lui est parallele à deux ou trois
lignes de distance. La portion dentée DE de cette dou-
ble roue prend le pignon L en dessus ; ce pignon qui
est de dix ailes, tient à îa tige de la roue de minute
M, au centre de laquelle, & siir la même tige, estassu-
jettie saiguille des minutes. lisuit de cet engrenageque
laroue desminutes E, &la roue des heures DE, tournent
du même sens, la roue M engrene dans le pignon de la
roue de champ N, qui meneà sordinaire le rochet O,
au centre duquel estsaiguille dessecondes.L’échappement
que sauteur avoit appiiqué à cette Pendule lorsqu’iî la
présenta à sAcadémie, étoit composé de deux palettes
d’acier, attachées à une espece d’ancre, contre lesquelles
frappent alternativement les dents du rochet.
Le sieur Gailonde a perfedlionné cet échappement deux
ans après : on le trouvera dans les Machines de sannée
3 742 y qui est s époque de s approbation.
Toutes les roues de cette Pendule sont portées par des
rouleaux, comme on le voit par la figure P; leur usage