Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]: Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent (7.1734/54 (1777)) [Cicognara, 917G]

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APPROUVÉËS PAR l’ÂCADÉMIE. IIQ

i' 7 4 2.

ÉCHAPPEMENT—

D E MONTRE.-' ;;;

1 N V E N T Ë

PAR M. VOLE;T.

AEt B sont deux roues plates égales, de 3 o dents cha-
cune, qui s’engrenent sune dans Fautre ; chaque roue
porte dix chevilles posées dans la largeur de la roue ., ôc
doivent être toujours placées de trois dents en trois dents,
par conséquent fi fengrenage étoitde 45 011 de tfodents,
il faudroit i j 01120 cheviües.

CDE,triangieHxé à la vergedu balancier , sioni’em-
ploie en penduie , ou à un arbre placé verticalement, si
c’est en montre ; cette palette unique eil mobile au po{nt
C, & c’efile pignon H qui donne le moüyement. à la
machine.

Quand îa roue A tourne, elle fait aussi tourner la fe-
conde roueB , qui renvoie le triangle C du côté A, & ré-
ciproquement les chevilles de ia roue Arenvoyant la piece
du côté B, & ainiide fuite.

C’est dans cette forme que l’inventeur l’à âppliquéaux
pendules; quand si l’a présenté à s Académie, séchappe-
ment étoit construit comme la figure IFG le représente,
c’est-à-dire, que ies deux roues IG, qui s’engrenent s une
dans l’autre , ne portent chacune que quatre chevilles,

& la piece F esh faite en cycioïde: du reste les mouve-
menssont les mêmes.

Le sieur Volet a produit cet échappement d’après les

Sij

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