APPROUVÉES PAR l’ÂCADÉMIE. 185
«xaKansCTsaaB^^
N°. 45-7.
CLAVECIN, —
INVENTÉ
PAR M. L E VOIR.
CEt inürument efl: composé d’un corps de violon-
celle, ôc d’un corps de quinte de violon, A, B,
fig. 1 & 2 , assujettiôc renfermé dans une caisse CD,
de même sigure que celle d’un clavecin ; chacun de ces
corps d’instrument porte plusieurs chevalets sur lesquels
passent les cordes FE ( hg. 3.) terminés à leur extrê-
mité par des fflets, placés aux deux bouts de la caisse
qui les enferme : par ce moyen chaque corde étant cou-
pée en deux parties, chacune de ces parties rend un
son proportionné à salongueur, ôt ainss Finstrument qui
a y o touches, n’a donc que 2 s cordes. Ces cordes sont
arrêtées par leur extrêmité G à des chevilles sembJa»
bles à celles du violon , comme on le voit dans le pro-
fil, ffg. 4, qui servent à les accorder : ôt comme les deux
parties de la corde pourroient bien ne pas rendre des
îons qui fussent dans la proportion qu’on dessreroit ,
les cordes sont portées par l’extrêmité E, sur des che-
valets inobiles I ( %. j, 4, j , & 6.) qu'on peut avan-
cer , ou qu’on recule pour faire prendre à cette partie de
la corde ie ton convenabie à ceiui que rend sautrepor-
tion.
Les cordes sont traverfées à angle droit par des pe-
tits faisceaux de crinHK ( fig. 2,3,4, ?, ôt <5. ) quî
font soffice d’archet ; ces faisceaux passent sur les deux
rouleaux LM, LM, ffg, 2 & 5, ôt viennent s’attacher
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N°. 45-7.
CLAVECIN, —
INVENTÉ
PAR M. L E VOIR.
CEt inürument efl: composé d’un corps de violon-
celle, ôc d’un corps de quinte de violon, A, B,
fig. 1 & 2 , assujettiôc renfermé dans une caisse CD,
de même sigure que celle d’un clavecin ; chacun de ces
corps d’instrument porte plusieurs chevalets sur lesquels
passent les cordes FE ( hg. 3.) terminés à leur extrê-
mité par des fflets, placés aux deux bouts de la caisse
qui les enferme : par ce moyen chaque corde étant cou-
pée en deux parties, chacune de ces parties rend un
son proportionné à salongueur, ôt ainss Finstrument qui
a y o touches, n’a donc que 2 s cordes. Ces cordes sont
arrêtées par leur extrêmité G à des chevilles sembJa»
bles à celles du violon , comme on le voit dans le pro-
fil, ffg. 4, qui servent à les accorder : ôt comme les deux
parties de la corde pourroient bien ne pas rendre des
îons qui fussent dans la proportion qu’on dessreroit ,
les cordes sont portées par l’extrêmité E, sur des che-
valets inobiles I ( %. j, 4, j , & 6.) qu'on peut avan-
cer , ou qu’on recule pour faire prendre à cette partie de
la corde ie ton convenabie à ceiui que rend sautrepor-
tion.
Les cordes sont traverfées à angle droit par des pe-
tits faisceaux de crinHK ( fig. 2,3,4, ?, ôt <5. ) quî
font soffice d’archet ; ces faisceaux passent sur les deux
rouleaux LM, LM, ffg, 2 & 5, ôt viennent s’attacher