4S4 Recueil des Machines
.t..™,, aux deux tringles de bois NO, N O, (fig. 2) tîrécs
1742. alternativement en bas, par les cordes NQN, OPO,
N°. 4^7. qui passënt surles poulies RR, SS: ces poulies sont mi-
--—- ses en mouvement par un archet T V, qui tient au
tirant V X, lixé à l'arbre du balancier YY, dont ies
bras sont tirés par les pédales ZZ , sur lesqueiles posent
].es pieds du joueur qui les fait mouvoir.
Ces archets ne touchent point les cordes, ainsi qu’or*
le peut voir en H dans le profil, fig. 4 ; les chevalets
sur iesquels les cordes posent, sont de hauteur inégale ,
ensorte qu’un archet en particulier ne peut jamais tou-
cher que celles du chevalet où il répond;mais de plus ,
chaque archetpasse alternativement dessus ôc dessous les
cordes de son chevalet, sans les toucher, de sorte que
quoique Pinstrument fut garni de ses cordes ôc de ses
archets, ôc que ces derniers fufîent en mouvement par
le moyen des marches, il ne rendroit aucun son, si on
nobligeoit par la méchanique que l’on va expliquery
les archets de s’approcher des cordes, ôc de les tou-
cher.
Le clavecin CY (fig. 3.) est entierement compofé de
touches, semblables aux figures $ ôc 6 ; parties de ces
touches sont simples, tels que ACB, c’est-à-dire, ne con-
sistent que dans un seul levier mobile au point C, ôc
porte à son extrêmité B une poulie P qui poussant en
dessous l’archet HK l’oblige de toucher la corde EF ,
6c d’en tirer du son, comme le représente le profil, figa
4, où cette touche levée est niar^u^ Apc mêmes lettres
italiques u b c. Cliaque archet iè meut avec une grande
liberté ; car les poulies P tournent aisément sur leurs
axes : cette construdion est pour toucher la corde en
dessous.
Les touches qui font mouvoir ôc descendre les ar-
chets en dessus, sont composées de deux leviers MON,
R§T? mobilesaux pomtsOS, Ôc qui se communiquent
leurs
.t..™,, aux deux tringles de bois NO, N O, (fig. 2) tîrécs
1742. alternativement en bas, par les cordes NQN, OPO,
N°. 4^7. qui passënt surles poulies RR, SS: ces poulies sont mi-
--—- ses en mouvement par un archet T V, qui tient au
tirant V X, lixé à l'arbre du balancier YY, dont ies
bras sont tirés par les pédales ZZ , sur lesqueiles posent
].es pieds du joueur qui les fait mouvoir.
Ces archets ne touchent point les cordes, ainsi qu’or*
le peut voir en H dans le profil, fig. 4 ; les chevalets
sur iesquels les cordes posent, sont de hauteur inégale ,
ensorte qu’un archet en particulier ne peut jamais tou-
cher que celles du chevalet où il répond;mais de plus ,
chaque archetpasse alternativement dessus ôc dessous les
cordes de son chevalet, sans les toucher, de sorte que
quoique Pinstrument fut garni de ses cordes ôc de ses
archets, ôc que ces derniers fufîent en mouvement par
le moyen des marches, il ne rendroit aucun son, si on
nobligeoit par la méchanique que l’on va expliquery
les archets de s’approcher des cordes, ôc de les tou-
cher.
Le clavecin CY (fig. 3.) est entierement compofé de
touches, semblables aux figures $ ôc 6 ; parties de ces
touches sont simples, tels que ACB, c’est-à-dire, ne con-
sistent que dans un seul levier mobile au point C, ôc
porte à son extrêmité B une poulie P qui poussant en
dessous l’archet HK l’oblige de toucher la corde EF ,
6c d’en tirer du son, comme le représente le profil, figa
4, où cette touche levée est niar^u^ Apc mêmes lettres
italiques u b c. Cliaque archet iè meut avec une grande
liberté ; car les poulies P tournent aisément sur leurs
axes : cette construdion est pour toucher la corde en
dessous.
Les touches qui font mouvoir ôc descendre les ar-
chets en dessus, sont composées de deux leviers MON,
R§T? mobilesaux pomtsOS, Ôc qui se communiquent
leurs