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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 7.1734/​54 (1777) [Cicognara, 917G]

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Recueil des Machines Année 1753
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N. 491
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https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0593
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ÀPPROUVÉES PÂR i’A CADE'MIE.

M A C H I N E —

A D R A G U E R

LE SABLE DES RIVIERES,

I N V E N T É,E

PAR M. DE LONCE.

L’Usage de cetce machine est de nétoyer les rivieres ,
ou enlever ies sables des parties où i’on auroit à
fonder des piles de ponrs, ou autres travaux de cette es-
pec-* ; eiie est écablie sur un échaffaud roulant AB (fig. i.)
dans iequel passe quatre montans tels que CD,EF, que
l*on peut arreter contre les traverses G H d’un bati 3 à
tehe hauteur qu’il sera jugé nécessaire, relativement à
la profondeur oii l’on veut que la machine opere.

La iig. 2 , qui estie prosil de cette machine, représente
derriere le montant CD son correspondant IK, qui lui
est paraiieie, ainsi que ie montant EF qui a le sien.

Les quatre montans mobiles sont liés deux à deux par
des traverses , pour recevoir, à la partie inférieure, deux
rouleauxL, M, sur lesquels s’enveloppe une chaîne sans fin}
ou chapelet garni de hottes N, N, N, dont la partie con-
vexe est de tôle percée d'un grand nombre de trous. Cette
chaîne passe de même sur un tambour P, ( fig. 2.) taillé à six
pans, &garni de dents prismatiques, quis’engagentsucc^s
iivement dansles mailles de la chaîne. Ce tambour est mis
en mouvement par le moyen d’une roue dentée Q, qu’une
lanterne R, menée par les manivelles ST, fait tourner.
Les hottes N, N, N sont précédées, dans le fond que l’on
liec. des Machines, TomeVII, Lll
 
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