DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1742
DOI Artikel:N. 457
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ÀPPROÜvéÈS PAR L’AcAdImïE, 18?
seur mouvement par le moyen du montant X, c’est-à*
dire, qu’en appuyant le doigt sur la touche en M, on 1742.
éleve Textrêmité N, ensemble sextrêmité R, & par ce N°.457,
mouvement on fait baijGser le bout T ôt la pouiie V , -——-
qui appuie sarchet HK, sur la corde ÊF & en tire
des sons.
La 3 e constru&ion de touche , sig. 6, est encore pour
tirer des sons en appuyant sarchet en desfous; elle est com-
posée des deux leviers LYZ , a b c ; le centre de mouve-
ment du premier est au point Z5 & celui du second au point
b, Pour communiquer le mouvement du premier levier
au second, on attache à Fextrêmité a une petite corde,
qui tient au point Y, de façon qu’en baissant le bout de
la touche L, 011 bailse de même rextrêmité a, ôc l’au-
tre extrêmité c en s’élevant, la poulie P oblige l’archet
HK de s’appuyer Ôc de couler le long de la corde, qui
produit les mêmes effets que les précédentes.
Ces développemens font voir les chevalets mobiles I, ôc
les chevilles G , qui servent à bander les cordes, ôc
à en régler les sons suivant les longueurs que l’on dé-
termine. L’on conçoit que, par ces différens moyens les
archets étant en mouvement , si on appuie le doigt
sur une ou sur plusieurs touches, on obligera les archets
de s’approcher des cordes correspondantes, qui rendront
des sons plus ou moins forts, selon que l’on appuyera
plus ou moins sur la touche, ce qui donne à l’initru-
ment la propriété d’ensser ou diminuer les sons.
L'inventeur a changé les pilotes qui font lever les
bascules, ôc les a mis à vis, afin de faire approcher
plus ou moins l’archet des cordes; ôcau lieu d’employer
des poulies, il leur substitue des rouleaux, pour tenir
l’archet d’une plus grande largeur, ayant remarqué que
la gorge de la poulie les resseroit trop.
Au mois de Mars 1745), j’ai vu chez M. le Voirun
înftrument de cette espece qu’il venoit d’imaginer, au-
Hec, dcs Machines, TomeVII, Aa
seur mouvement par le moyen du montant X, c’est-à*
dire, qu’en appuyant le doigt sur la touche en M, on 1742.
éleve Textrêmité N, ensemble sextrêmité R, & par ce N°.457,
mouvement on fait baijGser le bout T ôt la pouiie V , -——-
qui appuie sarchet HK, sur la corde ÊF & en tire
des sons.
La 3 e constru&ion de touche , sig. 6, est encore pour
tirer des sons en appuyant sarchet en desfous; elle est com-
posée des deux leviers LYZ , a b c ; le centre de mouve-
ment du premier est au point Z5 & celui du second au point
b, Pour communiquer le mouvement du premier levier
au second, on attache à Fextrêmité a une petite corde,
qui tient au point Y, de façon qu’en baissant le bout de
la touche L, 011 bailse de même rextrêmité a, ôc l’au-
tre extrêmité c en s’élevant, la poulie P oblige l’archet
HK de s’appuyer Ôc de couler le long de la corde, qui
produit les mêmes effets que les précédentes.
Ces développemens font voir les chevalets mobiles I, ôc
les chevilles G , qui servent à bander les cordes, ôc
à en régler les sons suivant les longueurs que l’on dé-
termine. L’on conçoit que, par ces différens moyens les
archets étant en mouvement , si on appuie le doigt
sur une ou sur plusieurs touches, on obligera les archets
de s’approcher des cordes correspondantes, qui rendront
des sons plus ou moins forts, selon que l’on appuyera
plus ou moins sur la touche, ce qui donne à l’initru-
ment la propriété d’ensser ou diminuer les sons.
L'inventeur a changé les pilotes qui font lever les
bascules, ôc les a mis à vis, afin de faire approcher
plus ou moins l’archet des cordes; ôcau lieu d’employer
des poulies, il leur substitue des rouleaux, pour tenir
l’archet d’une plus grande largeur, ayant remarqué que
la gorge de la poulie les resseroit trop.
Au mois de Mars 1745), j’ai vu chez M. le Voirun
înftrument de cette espece qu’il venoit d’imaginer, au-
Hec, dcs Machines, TomeVII, Aa