ÀPPROUVÉËS PAR L SÀCÀDÉMÏË} $
Soit le réservoir A ( fig. 5 ) d’une eau dormante, ôc
éievée au-desTus de la piaine d’une certaine quantité,
on pratiquera dans cette partie le premier balancier G
D , qui pojtera l’eau dans ie baquet E; cette même eau
passe par une conduite dans le second réservoir F,
cette même eau est portée par le baiancier G H dans
ïe second baquet I, ôc delà par un tuyau de conduite
IL dans ie troisieme réservoir M , 011 le baiancier N O
la vient encore chercher, pour séiever de suite dans
le quatrieme réservoir P : eiie eh reprise par le 4 e ba-
îancier Q R pour être déchargée dans le dernier réser-
voir S, auquel esl adapté le tuyau de distribution ST,
pour former, par exemple, le jet d'eau X. On remar-
quera que l’eau des coffres inférieurs O H peut être
ménagée en la faisant passer dans le réservoir A, de
même seau du coffre R peut être conduite dans le
réservoir M ; ainsi ïl ne peut avoir en entier ôc en pure
perte que l’eau du premier coffre inférieur D : on voit
aussi que Fon a empioyé pour le mouvement des robi-
nets de distribution aux quatre réservoirs A F M P, 3e
méchanisme pour Feau dormante, expliqué en détaii
dans ia premiere figure : ce méchanistne est indispen-
sable pour les trois réservoirs PMF, à moins que l’on
ne put trouver des situations assez favorables pour trou-
ver des courants à toutes les différentes hauteurs où son
youdroit placer des balanciers.
L’élévation de l’eau prise au premier balancier se fait
à proportion de la pente, quoique l’on puisse changer
les longueurs desbrasdu balancier; car supposé quel’é-
lévation du réservoir A soit de 10 pieds au-deisus du
niveau du terrein, ÔC qu’on veuiile monter la premicre
plus haut, on allongera le bras C, Y, ôc on racour-
cira l’autre partie Y D, en observant toujours que les
coffres puifîent avoir i’un sur l’autre une puissance ai-
^ernative. Si on veut laisser îes bras égaux, on trou-
1745'*
N^.^Ô’S'e
Soit le réservoir A ( fig. 5 ) d’une eau dormante, ôc
éievée au-desTus de la piaine d’une certaine quantité,
on pratiquera dans cette partie le premier balancier G
D , qui pojtera l’eau dans ie baquet E; cette même eau
passe par une conduite dans le second réservoir F,
cette même eau est portée par le baiancier G H dans
ïe second baquet I, ôc delà par un tuyau de conduite
IL dans ie troisieme réservoir M , 011 le baiancier N O
la vient encore chercher, pour séiever de suite dans
le quatrieme réservoir P : eiie eh reprise par le 4 e ba-
îancier Q R pour être déchargée dans le dernier réser-
voir S, auquel esl adapté le tuyau de distribution ST,
pour former, par exemple, le jet d'eau X. On remar-
quera que l’eau des coffres inférieurs O H peut être
ménagée en la faisant passer dans le réservoir A, de
même seau du coffre R peut être conduite dans le
réservoir M ; ainsi ïl ne peut avoir en entier ôc en pure
perte que l’eau du premier coffre inférieur D : on voit
aussi que Fon a empioyé pour le mouvement des robi-
nets de distribution aux quatre réservoirs A F M P, 3e
méchanisme pour Feau dormante, expliqué en détaii
dans ia premiere figure : ce méchanistne est indispen-
sable pour les trois réservoirs PMF, à moins que l’on
ne put trouver des situations assez favorables pour trou-
ver des courants à toutes les différentes hauteurs où son
youdroit placer des balanciers.
L’élévation de l’eau prise au premier balancier se fait
à proportion de la pente, quoique l’on puisse changer
les longueurs desbrasdu balancier; car supposé quel’é-
lévation du réservoir A soit de 10 pieds au-deisus du
niveau du terrein, ÔC qu’on veuiile monter la premicre
plus haut, on allongera le bras C, Y, ôc on racour-
cira l’autre partie Y D, en observant toujours que les
coffres puifîent avoir i’un sur l’autre une puissance ai-
^ernative. Si on veut laisser îes bras égaux, on trou-
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