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https://doi.org/10.11588/diglit.9445#0229
( 231 )
aux traits que je viens de résumer : si donc, Monsieur, ils
n'ont point assez de force pour faire partager mes con-
victions à des esprits tels que les vôtres, je n'ai plus rien
à espérer que du TEMPS (i).»
25 décembre 1841.
Opinion de l'auteur touchant les constructions dites cyclo-
péennes, fortifiée par des observations faites en Grèce
par un savant géologue.
Les deux dernières pièces qui précèdent sortaient à peine
de l'impression lorsque, parcourant les notes dont M. Le-
tronne a accompagné son précieux travail sur la peinture
murale (2), j'y ai trouvé insérée, dans son entier, une lettre
de M.Boblaye, qui fortifie à un assez haut degré l'opinion que
j'ai émise touchant le genre de construction dit cyclopéen.
La lettre dont il s'agit a pour objet d'expliquer pourquoi on
trouve si rarement en Grèce des tombeaux creusés dans les
rochers. Le savant correspondant de M. Letronne explicpic
(1) On peut lire, à la page i45 de cette IIe partie, une proposition qui,
si on y fait droit un jour, pourra mettre à même, il y a toute raison de
l'espérer, de savoir à quoi se tenir sur l'époque à laquelle ce monument
appartient. J'invite les savants influents de tous les pays, et plus particu-
lièrement ceux qui ne partagent pas ma conviction, à exprimer des
vœux sur ce sujet, de manière à décider l'un des gouvernements des Etats
de l'Europe où les sciences et les arts sont le plus en honneur, à prendre
l'initiative pour les nouvelles recherches que j'ai indiquées, et qu'un
gouvernement peut seul effectuer avec des chances convenables de succès.
(2) Lettre d'un antiquaire à un artiste, note Eh, page 4^9-
aux traits que je viens de résumer : si donc, Monsieur, ils
n'ont point assez de force pour faire partager mes con-
victions à des esprits tels que les vôtres, je n'ai plus rien
à espérer que du TEMPS (i).»
25 décembre 1841.
Opinion de l'auteur touchant les constructions dites cyclo-
péennes, fortifiée par des observations faites en Grèce
par un savant géologue.
Les deux dernières pièces qui précèdent sortaient à peine
de l'impression lorsque, parcourant les notes dont M. Le-
tronne a accompagné son précieux travail sur la peinture
murale (2), j'y ai trouvé insérée, dans son entier, une lettre
de M.Boblaye, qui fortifie à un assez haut degré l'opinion que
j'ai émise touchant le genre de construction dit cyclopéen.
La lettre dont il s'agit a pour objet d'expliquer pourquoi on
trouve si rarement en Grèce des tombeaux creusés dans les
rochers. Le savant correspondant de M. Letronne explicpic
(1) On peut lire, à la page i45 de cette IIe partie, une proposition qui,
si on y fait droit un jour, pourra mettre à même, il y a toute raison de
l'espérer, de savoir à quoi se tenir sur l'époque à laquelle ce monument
appartient. J'invite les savants influents de tous les pays, et plus particu-
lièrement ceux qui ne partagent pas ma conviction, à exprimer des
vœux sur ce sujet, de manière à décider l'un des gouvernements des Etats
de l'Europe où les sciences et les arts sont le plus en honneur, à prendre
l'initiative pour les nouvelles recherches que j'ai indiquées, et qu'un
gouvernement peut seul effectuer avec des chances convenables de succès.
(2) Lettre d'un antiquaire à un artiste, note Eh, page 4^9-