i6j
sùOmùsiut,
Pfiens S «ioret !« (
sidre honneur parU !
voulu se montrer) '
la mémoire , e|
fonds pour serviri
|ue les Sacrificateurs
i sorte (ju’atnére
nettoient une antre
ours de vivantes ,1
îtretenoientàta
horrible qui survint,
tout, ces Mouches
s ce ravage. Les
:ette Peste, leur fi*
railles, & afin que
facée, ils voulurent
des ligures Je ces
ussçiveZjMoéeur)
refois pourlesïw-
iix, & les plus po-
ient gloire d’ irai*
BeftUtoueque
iches a été suceesli*
,rte deNariom, &
,t{pcccdMi'tmi
à DOS JJecendantî»
?plN \tpne,
ut
LETTRES
D’AFFAIRES & D’INSTRUCTION.
VOus jugez bien, Madame, que je n’ay pat
manqué de voir vôtre Receveur , & que
je s ay exhorté du mieux que j’ay peu
à vous satisfaire. Je luy ay representé
que s’il ne faisoit tous ses efforts pour vous payer,
vous pourriez vous lasser d’attendre , & vous re-
soudre à le faire arrêter. J5 ay ajouté que s’il $*
attiroit ce malheur, ses affaires tomberoient dans
une terrible deeadence, que son crédit seroit perdu,
que les Partis qui se presentent pour sa fille dispa-
roîtroient en un moment , & qu’il luyviendroic
des chagrins de tous cotez. Il m’a répondu qu’il
avoit les meilleures intentions du monde, mais que
pour le present , il se voyoit dans 1’ impuissance
de vous payer. Il m’a parlé en sui te de la misere
desSousfermiers , & m’a dit qu’il falloitabsolu-
stent attendrequ’ils eussent battu leurs bleds pour
fe vendre. Que l’argent que l’ on en retireroie
seroit pour vous, ou pour tel créancier à qui vous
! adonneriez qu’ il le donnât. Cette propositîon me
! donne lieu de vou^ en faire une autre. C’est de
Vous aequiter envers Monsieur G. de mille écus
M z que
sùOmùsiut,
Pfiens S «ioret !« (
sidre honneur parU !
voulu se montrer) '
la mémoire , e|
fonds pour serviri
|ue les Sacrificateurs
i sorte (ju’atnére
nettoient une antre
ours de vivantes ,1
îtretenoientàta
horrible qui survint,
tout, ces Mouches
s ce ravage. Les
:ette Peste, leur fi*
railles, & afin que
facée, ils voulurent
des ligures Je ces
ussçiveZjMoéeur)
refois pourlesïw-
iix, & les plus po-
ient gloire d’ irai*
BeftUtoueque
iches a été suceesli*
,rte deNariom, &
,t{pcccdMi'tmi
à DOS JJecendantî»
?plN \tpne,
ut
LETTRES
D’AFFAIRES & D’INSTRUCTION.
VOus jugez bien, Madame, que je n’ay pat
manqué de voir vôtre Receveur , & que
je s ay exhorté du mieux que j’ay peu
à vous satisfaire. Je luy ay representé
que s’il ne faisoit tous ses efforts pour vous payer,
vous pourriez vous lasser d’attendre , & vous re-
soudre à le faire arrêter. J5 ay ajouté que s’il $*
attiroit ce malheur, ses affaires tomberoient dans
une terrible deeadence, que son crédit seroit perdu,
que les Partis qui se presentent pour sa fille dispa-
roîtroient en un moment , & qu’il luyviendroic
des chagrins de tous cotez. Il m’a répondu qu’il
avoit les meilleures intentions du monde, mais que
pour le present , il se voyoit dans 1’ impuissance
de vous payer. Il m’a parlé en sui te de la misere
desSousfermiers , & m’a dit qu’il falloitabsolu-
stent attendrequ’ils eussent battu leurs bleds pour
fe vendre. Que l’argent que l’ on en retireroie
seroit pour vous, ou pour tel créancier à qui vous
! adonneriez qu’ il le donnât. Cette propositîon me
! donne lieu de vou^ en faire une autre. C’est de
Vous aequiter envers Monsieur G. de mille écus
M z que