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https://doi.org/10.11588/diglit.27705#0063
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CAMP DE DIOCLÉTIEN
61. Camp de Dioclétien. Fragment d’une corniche dont la partie inférieure est
ornée d’une tête trouvée dans le mur tardif
Des fragments de trois fûts de colonnes placés près du mur de la Grande Porte
et un bloc dans la même- rangée, appuyés au mur de la Grande Porte soutenaient
trois arcs en pierre dont l’amorce est encore visible sur le fût de colonne posé
presque à l’entrée de la Grande Porte. Ces trois arcs soutenaient les poutres du
toit. Le sommet de l’arc était à 0m,90 plus haut que la plate-forme sur laquelle
repose le piédestal devant l’entrée principale de la Grande Porte.
Pour résumer, les constructions tardives fouillées cette année se caractérisent
par un plan très irrégulier des murs qui formaient le mur du soubassement de la
paroi. Contrairement à la fouille du Tétrapyle on a sorti très peu de tessons et de
poterie.
Les mobiliers se composent de moulins en pierres volcaniques (fig. 63), de
vasques creusées en calcaire, de quelques fragments de verrerie (fig. 64), de trois
fragments de faïence.
La pauvreté des trouvailles ne peut s’expliquer que par le fait que la grande
partie de cet espace ait servi de cour à l’époque tardive et formait des endroits
à ciel ouvert.
CAMP DE DIOCLÉTIEN
61. Camp de Dioclétien. Fragment d’une corniche dont la partie inférieure est
ornée d’une tête trouvée dans le mur tardif
Des fragments de trois fûts de colonnes placés près du mur de la Grande Porte
et un bloc dans la même- rangée, appuyés au mur de la Grande Porte soutenaient
trois arcs en pierre dont l’amorce est encore visible sur le fût de colonne posé
presque à l’entrée de la Grande Porte. Ces trois arcs soutenaient les poutres du
toit. Le sommet de l’arc était à 0m,90 plus haut que la plate-forme sur laquelle
repose le piédestal devant l’entrée principale de la Grande Porte.
Pour résumer, les constructions tardives fouillées cette année se caractérisent
par un plan très irrégulier des murs qui formaient le mur du soubassement de la
paroi. Contrairement à la fouille du Tétrapyle on a sorti très peu de tessons et de
poterie.
Les mobiliers se composent de moulins en pierres volcaniques (fig. 63), de
vasques creusées en calcaire, de quelques fragments de verrerie (fig. 64), de trois
fragments de faïence.
La pauvreté des trouvailles ne peut s’expliquer que par le fait que la grande
partie de cet espace ait servi de cour à l’époque tardive et formait des endroits
à ciel ouvert.