DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.29077#0054
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où ils se trouvent, jaraais on ne îa connaîtra. Ce-
pendant comme ils tiennent essemieliement au genre
de curiosités qui fait le sujet de notre travail, nous
avons cru devoir les consigner dans ce Discours
préliminaire.
Nous aurions désiré y ajouter queîques autres
Curiosités, qui, relatives aux antiquités ou aux
beaux-arts, se trouvent ordinairement dans les plus
riches cabinets, et ont également été portées à très-
haut prix. Les médailles et Jes tabieaux auraient
surtout fixé notre attention ; mais le p!an de notre
ouvrage ne nous peimettant pas de traiter avec
détail ces deux objets, nous nous bornerons à citer
dans cbaque partie ce que nous connaissons de
plus curieux sous Ie rapport de l’estimation pécu»
niaire.
Des MÉdailles. On ne peut pas fixer au
juste le nombre cles médailles antiques; on présume
qu’ii excède 5o,ooo. C’est parrai les Impériales (i)
que nous allons faire un petit choix des médailles
les plus remaiquables. Quant aux estimations, nous
avons consulté plusieuis Catalogues manuscrits qui
se rapportent assez à celles qui ont été faites par
Beauvais dans son Histoire abrègée des Empereurs
Piomains et Grecs, etc, Paris , 1767, 3 vol. in-is*
(1) On pense que les lmpériales en or sont au nombro
de 3qoo à-peu-pres ; celies en argent vont à environ 6000 ?
et les diiFerens bronzes à pîus de 3o,ooo.
où ils se trouvent, jaraais on ne îa connaîtra. Ce-
pendant comme ils tiennent essemieliement au genre
de curiosités qui fait le sujet de notre travail, nous
avons cru devoir les consigner dans ce Discours
préliminaire.
Nous aurions désiré y ajouter queîques autres
Curiosités, qui, relatives aux antiquités ou aux
beaux-arts, se trouvent ordinairement dans les plus
riches cabinets, et ont également été portées à très-
haut prix. Les médailles et Jes tabieaux auraient
surtout fixé notre attention ; mais le p!an de notre
ouvrage ne nous peimettant pas de traiter avec
détail ces deux objets, nous nous bornerons à citer
dans cbaque partie ce que nous connaissons de
plus curieux sous Ie rapport de l’estimation pécu»
niaire.
Des MÉdailles. On ne peut pas fixer au
juste le nombre cles médailles antiques; on présume
qu’ii excède 5o,ooo. C’est parrai les Impériales (i)
que nous allons faire un petit choix des médailles
les plus remaiquables. Quant aux estimations, nous
avons consulté plusieuis Catalogues manuscrits qui
se rapportent assez à celles qui ont été faites par
Beauvais dans son Histoire abrègée des Empereurs
Piomains et Grecs, etc, Paris , 1767, 3 vol. in-is*
(1) On pense que les lmpériales en or sont au nombro
de 3qoo à-peu-pres ; celies en argent vont à environ 6000 ?
et les diiFerens bronzes à pîus de 3o,ooo.