> ous conviendrez sans doute avec nous 5 que
ï c’est un caraftère essentiel à un homme de bon sèns
° de faire de sérieusês résséxions sur toutes les choses,
qui viennent à sa connoisfànce, afin d en faire un usa-
çre convenable. Cest en tenant cette conduite, que
les Sao’es Payens, entr’autres, un Platon, un Epicle-
_ te, un Socrate, & un Sénéque, ont pousse leurs
Sciençes im « * fgSStt ““ ““ "
ges, y découvrent une Sagelfe admirable.
\ „ „. ;„n-,.,lir à l’écôle delà SagelTe etemelle, le dishngue
LeChreoen, mst J u fait Ie|réssexions les plus sérieu-
d une façon sin^ie |s te gevantlui, & dont il peut tirer quelque uti-
les sur tout ce qui le Pr avant toutes choses sur lut meme, lûr
lité. Il résséchit attentivement, & " u„ ■
ce qu’il est, sur ce qu’il doit etre, ôliur ^4 r
Il porte la vue sur toutes \zs Merveilles de Dieu, soit sur celles de la
Nature, soit sur celles de la Grâce.
Il tourne.ausïi sès regards sur toutes les Voyes justes, sages & admi-
rables de la Divine Providence.
Il fut une attention toute particulière aux Evenemens remarqua-
lirait ne . //■ & à ceux, qui sont encore a venir. Sur
blés, aux passez, aux prciens, ^ i tout
MESSIEURS ET TRES HONG
AUDITEURS!