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https://doi.org/10.11588/diglit.26696#0177
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0.5
1 cm
II. L'HAGIOGRAPHIE
Les representations hagiographiques comprennent des effigies isolees de saints
de divers types — en pied, en buste, rendus dans des attitudes hieratiques ou un
peu mouvemantes sur fond bleu ou sur fond de paysage, parfois accompagnes
d'animaux comme attributs, et enfin une scene narrative. On distingue deux
groupes de saints: les ermites et les martyrs.
Les ermites
sence de Zori-— -
sent-ation de. E - - - - .
penitente eg; E "
remment la
pieux moine E-
< sence d'autiE
l'art du morE
Les figurations se limitent aux ermites de la premiero epoque du monachisme
et, surtout, de la region egypto-palestinienne. 11 faut d'abord mentionner, place
dans la registre intermediaire de la paroi sud (schema, 9), Elie au desert, nourri
par un corbeau: a cause de remplaoement et du caractere narratif, il n'appartient
pas au cycle des prophetes mais se rattache surement au cycle hagiographique, en
tant que prototype des anachoretes chretiens (fig. 20-^21). Au-dessous, apparaissent,
reunis dans une cadre, deux episodes, sans doute de la vie de sainte Marie l'Egyp-
tienne: dans un ordre inverse, de dr&ite a gauche, d'abord la Communion qu'elle
reęoit de la main de Zozime puis rensevelissement au desert par des lions, en pre-
hronologie confuse de la repre-
iible de voir la mort de cette
rche encore, representant appa-
19). Les images de la mort de
'ant nu, a un ange — en pre-
luth — ne sont pas rares dans
Lble qu'il s'agisse la de la mort
1 ne pouvant logiqueme.nt cor-
'Egyptienne. On peut supposer
te de l'Evangile et la represen-
ne les exemples de la „Bonne
u Moyen-Age.
egalement a la phase primitive
ie a tort comme saint Jeróme)
'un lion, d'apres la legende de
—24); et en haut du mur nord,
Onuphre nu, avec une ceinture
du mur ouest, une rangee de
cement (schema, 15; fig. 30—31).
selon un type „iconique", ils
de visages, les gestes, les ve-
^ sur deux. D'abord, les saints
:i representent le debut encore
Lchoretisme et vie dans la com-
: et, le dernier dans la rangee,
n peu postśrieure et du milieu
ł qui es't non pas le patriarchę
ue de Trimithonte, dans l'ile de
rpe des ascetes-moines anciens
/ait pratiquee malgre sa haute
de TeremitisEo)
dans la sceiE
Jean MoschiE"
represente e
de feuillage EE
Tous .peints E
sont en me: =-
tements et — tp
Pachóme, AE
mystique dr E*
munaute m<
saint Danie: —
O -
—
^ O
109
m
Les representations hagiographiques comprennent des effigies isolees de saints
de divers types — en pied, en buste, rendus dans des attitudes hieratiques ou un
peu mouvemantes sur fond bleu ou sur fond de paysage, parfois accompagnes
d'animaux comme attributs, et enfin une scene narrative. On distingue deux
groupes de saints: les ermites et les martyrs.
Les ermites
sence de Zori-— -
sent-ation de. E - - - - .
penitente eg; E "
remment la
pieux moine E-
< sence d'autiE
l'art du morE
Les figurations se limitent aux ermites de la premiero epoque du monachisme
et, surtout, de la region egypto-palestinienne. 11 faut d'abord mentionner, place
dans la registre intermediaire de la paroi sud (schema, 9), Elie au desert, nourri
par un corbeau: a cause de remplaoement et du caractere narratif, il n'appartient
pas au cycle des prophetes mais se rattache surement au cycle hagiographique, en
tant que prototype des anachoretes chretiens (fig. 20-^21). Au-dessous, apparaissent,
reunis dans une cadre, deux episodes, sans doute de la vie de sainte Marie l'Egyp-
tienne: dans un ordre inverse, de dr&ite a gauche, d'abord la Communion qu'elle
reęoit de la main de Zozime puis rensevelissement au desert par des lions, en pre-
hronologie confuse de la repre-
iible de voir la mort de cette
rche encore, representant appa-
19). Les images de la mort de
'ant nu, a un ange — en pre-
luth — ne sont pas rares dans
Lble qu'il s'agisse la de la mort
1 ne pouvant logiqueme.nt cor-
'Egyptienne. On peut supposer
te de l'Evangile et la represen-
ne les exemples de la „Bonne
u Moyen-Age.
egalement a la phase primitive
ie a tort comme saint Jeróme)
'un lion, d'apres la legende de
—24); et en haut du mur nord,
Onuphre nu, avec une ceinture
du mur ouest, une rangee de
cement (schema, 15; fig. 30—31).
selon un type „iconique", ils
de visages, les gestes, les ve-
^ sur deux. D'abord, les saints
:i representent le debut encore
Lchoretisme et vie dans la com-
: et, le dernier dans la rangee,
n peu postśrieure et du milieu
ł qui es't non pas le patriarchę
ue de Trimithonte, dans l'ile de
rpe des ascetes-moines anciens
/ait pratiquee malgre sa haute
de TeremitisEo)
dans la sceiE
Jean MoschiE"
represente e
de feuillage EE
Tous .peints E
sont en me: =-
tements et — tp
Pachóme, AE
mystique dr E*
munaute m<
saint Danie: —
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