RECTIFICATION
d'une partie de m* traduction
DE L'INSCRIPTION LIBYpE DE LALLA-MAGHMA
Par le docteur A. JUDAS
Dans Y Annuaire de la Société archéologique de la pro-
vince de Constantine (1856-1857), pages 8 et 9, j'ai
proposé une interprétation d'une inscription latino-liby-
que, trouvée quelque temps auparavant à Lalla-Maghnia,
et publiée par MM. Bargès, Journal asiatique, mars 1847;
Caussade, Notices sur les traces de l'occupation romaine
dans la province d'Alger; L. Renier, Recueil, n° 3819.
Les études auxquelles m'ont amené les nombreuses épi-
taphes libyques récemment trouvées à la Cheffîa et en
quelques autres points de la subdivision de Bône, ont
reporté mon attention sur ce monument. La révision,
éclairée par les termes de comparaison si heureusement
mis à la disposition des personnes vouées à ces études,
ont produit les résultats suivants :
I. — D'après l'exemplaire de M. Renier, le plus cor-
rect de tous pour la partie libyque, on doit réformer les
figures de deux lettres de celte partie; savoir de la sixième
de haut en bas, qui doit être réduite à deux barres
verticalement parallèles, et de la dernière dans le même
d'une partie de m* traduction
DE L'INSCRIPTION LIBYpE DE LALLA-MAGHMA
Par le docteur A. JUDAS
Dans Y Annuaire de la Société archéologique de la pro-
vince de Constantine (1856-1857), pages 8 et 9, j'ai
proposé une interprétation d'une inscription latino-liby-
que, trouvée quelque temps auparavant à Lalla-Maghnia,
et publiée par MM. Bargès, Journal asiatique, mars 1847;
Caussade, Notices sur les traces de l'occupation romaine
dans la province d'Alger; L. Renier, Recueil, n° 3819.
Les études auxquelles m'ont amené les nombreuses épi-
taphes libyques récemment trouvées à la Cheffîa et en
quelques autres points de la subdivision de Bône, ont
reporté mon attention sur ce monument. La révision,
éclairée par les termes de comparaison si heureusement
mis à la disposition des personnes vouées à ces études,
ont produit les résultats suivants :
I. — D'après l'exemplaire de M. Renier, le plus cor-
rect de tous pour la partie libyque, on doit réformer les
figures de deux lettres de celte partie; savoir de la sixième
de haut en bas, qui doit être réduite à deux barres
verticalement parallèles, et de la dernière dans le même