HACHES RETOUCHÉES SUR UNE SEULE FACE
DE TACHENGHIT (Sahara Occidental)
et " HACHES MOUSTÉRIENNES " d'Espagne
Les pièces que je décris dans cette note proviennent
des récoltes préhistoriques faites dans le Sahara occi-
dental par le Capitaine César. Cet officier distingué
a été malheureusement ravi à la science au cours d'un
combat livré dans le Sud marocain.
Une partie de ses récoltes préhistoriques fut ac-
quise par le Lieutenant Bourlon. Ces pièces sont au-
jourd'hui à l'Institut de Paléontologie Humaine de
Paris, où j'ai pu les étudier à loisir grâce à la bien-
veillance de M. Breuil.
Une deuxième collection se trouvait, après le décès
du Capitaine César, dans l'extrême Sud oranais, à
Colomb-Béchar et à Beni-Abbès. Ayant pu, sur place,
me rendre -compte de la valeur de ces séries, j'en ai
signalé l'intérêt à M. Eugène Albertini, Professeur à la
Faculté des Lettres et Directeur des Antiquités de
l'Algérie. C'est grâce à ses démarches que ces collec-
tions ont pu être acquises par le Gouvernement. Elles
sont déposées au Musée des Antiquités algériennes, à
Mustapha Supérieur, l'autre partie se trouve au labo-
ratoire de Géologie de la Faculté des Sciences d'Alger.
Pourront seules être l'objet d'études, les pièces dé-
couvertes par le Capitaine César qui portaient une
indication précise d'origine.
DE TACHENGHIT (Sahara Occidental)
et " HACHES MOUSTÉRIENNES " d'Espagne
Les pièces que je décris dans cette note proviennent
des récoltes préhistoriques faites dans le Sahara occi-
dental par le Capitaine César. Cet officier distingué
a été malheureusement ravi à la science au cours d'un
combat livré dans le Sud marocain.
Une partie de ses récoltes préhistoriques fut ac-
quise par le Lieutenant Bourlon. Ces pièces sont au-
jourd'hui à l'Institut de Paléontologie Humaine de
Paris, où j'ai pu les étudier à loisir grâce à la bien-
veillance de M. Breuil.
Une deuxième collection se trouvait, après le décès
du Capitaine César, dans l'extrême Sud oranais, à
Colomb-Béchar et à Beni-Abbès. Ayant pu, sur place,
me rendre -compte de la valeur de ces séries, j'en ai
signalé l'intérêt à M. Eugène Albertini, Professeur à la
Faculté des Lettres et Directeur des Antiquités de
l'Algérie. C'est grâce à ses démarches que ces collec-
tions ont pu être acquises par le Gouvernement. Elles
sont déposées au Musée des Antiquités algériennes, à
Mustapha Supérieur, l'autre partie se trouve au labo-
ratoire de Géologie de la Faculté des Sciences d'Alger.
Pourront seules être l'objet d'études, les pièces dé-
couvertes par le Capitaine César qui portaient une
indication précise d'origine.