■■
Le Banquet
C. LÉANDRE
Les amis et admira-
teurs de Léandre, afin de
témoigner leur affection
et leur sympathie à notre
cher collaborateur, ont dé-
cidé de lui offrir un ban-
quet à l’occasion de la
distinction qui honore l’art
humoristique en général,
et Léandre en particu-
lier.
Ce banquet aura lieu
le samedi 3 Février dans
un local que nous ferons
connaître dans notre pro-
chain numéro. Le prix en
a été fixé à 10 francs par
tête.
Prière de s’inscrire dès
maintenant, en nous en-
voyant le nom et l’adresse
du souscripteur. Les de-
mandes d’inscription doi-
vent être adressées au
Rire, 10, rue Saint-Joseph.
L’homme. — Par ce froid, je voudrais bien être dans votre peau.
L’ours. — C’est bien facile.
Dessin d’A. Faivre.
— Comment j’ai perdu mes; cheveux ?...
Le docteur. — Inutile de me le raconter...
trop, ;ce fatal récit dé tu ramènes.
hélas ! je ne le connais que
Dessin de Lourdey-
Le Banquet
C. LÉANDRE
Les amis et admira-
teurs de Léandre, afin de
témoigner leur affection
et leur sympathie à notre
cher collaborateur, ont dé-
cidé de lui offrir un ban-
quet à l’occasion de la
distinction qui honore l’art
humoristique en général,
et Léandre en particu-
lier.
Ce banquet aura lieu
le samedi 3 Février dans
un local que nous ferons
connaître dans notre pro-
chain numéro. Le prix en
a été fixé à 10 francs par
tête.
Prière de s’inscrire dès
maintenant, en nous en-
voyant le nom et l’adresse
du souscripteur. Les de-
mandes d’inscription doi-
vent être adressées au
Rire, 10, rue Saint-Joseph.
L’homme. — Par ce froid, je voudrais bien être dans votre peau.
L’ours. — C’est bien facile.
Dessin d’A. Faivre.
— Comment j’ai perdu mes; cheveux ?...
Le docteur. — Inutile de me le raconter...
trop, ;ce fatal récit dé tu ramènes.
hélas ! je ne le connais que
Dessin de Lourdey-