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https://doi.org/10.11588/diglit.17503#0433
Que sévit lu crise agricole (Avec la Corse et l'Algérie). -, Nuire Roue national !
Dont le Gers tout entier gémit. » Tous les crimes que l'on commet. Puis nous avons aussi la Presse et la Patrie
Cassagnac dit, Cassagnac dit : Ceux qu'on ignore ou qu'on connaît Bailby, Massard et Jaluzot, [patrie,
« La France est vraiment malheureuse Sontl'œuvredesgrosjuit's quePanamadécore! Les trois grands défenseurs du droit.de la
11 faut remédier à cela ; l'électeur Do nos frontières, du drapeau '.
La République est une gueuse. Du jourde délivrance, oh! quandluira l'aurore! Electeur ! Electeur! Combien de fois plus sage
A moi, mon prince, étranglons-la! » (A ce nom d'Aurore le poète rentre pour Est le Temps qui, courtoisement,
l'électeur la quatrième fois en extase et chante :) Inscrit à sa première pa^e
Assez de vains discours,d'oiseuses hyperboles. le poète Ces paroles d'apaisement :
Qui donc sans haine m dépit U Aurore dit, VAurore dit : . Les lecteurs dont l'abonnement
Viendranousfaireentendreunelibre parole!... « Tous les soldats à Biribi. n ^ ja gn je ce mois expii-e
(A ce nom de Libre Parole, le poète entre Tous les généraux aux galères ! , Sont priés d'envoyer leur renouvellement! d
pour la troisième fois en extase et chante ;) Mort aux curés, aux militaires, l'électeur
*■ poète Aux émigrés, aux Kaiserliks, A. réte-toi, poète, et remise ta Ivre, [citoven
E. Drumont dit, E. Drumont dit : Aux Coblentziers, aux Metternichs, Tes chants m-ont converti. Comme un bon
Nos gouvernants sont des bandits Aux patrons, aux capitalistes, Je crio avec ardeur . vive ta République!
Que J. Reinach tient à l'attache. A tous les social-Lucullus, Mais puisque graco à toi> je ne comprends
Aussi vrai que j'écris comme feu Bossuet, Aux bourreaux de notre Dreyfus, : [plus r;en
Le peuple a beau suer A Pierre, à Paul, à Jean-Baptiste ; é Aux obscurs intérêts de la chose publique,
Et peiner à la tâche, Bref mort à tout le genre humain » Je veux en ce g,.aucl jour ia(.|l(;r [a politique.
Le juif rapace et lâche Et c'est signé : Gohier (Urbain). Aux urnes va tout seul,Poète,je m'abstiens !
Lui mange sur le dos (Le poète entre de plus en plus en extase.)
La laine avec les os, Et puis nous avons Ranc (Arthur), le seul,
Et n'aura de repos Le Ranc, du Radical! [l'unique,
Qu'il n'ait ruiné notre patrie Ranc qui tous les matins, sauve la République
Lord Cheminot.
X. Basson. — Je vous plairai, Madame, et serai voir» te J. vou
Dont le Gers tout entier gémit. » Tous les crimes que l'on commet. Puis nous avons aussi la Presse et la Patrie
Cassagnac dit, Cassagnac dit : Ceux qu'on ignore ou qu'on connaît Bailby, Massard et Jaluzot, [patrie,
« La France est vraiment malheureuse Sontl'œuvredesgrosjuit's quePanamadécore! Les trois grands défenseurs du droit.de la
11 faut remédier à cela ; l'électeur Do nos frontières, du drapeau '.
La République est une gueuse. Du jourde délivrance, oh! quandluira l'aurore! Electeur ! Electeur! Combien de fois plus sage
A moi, mon prince, étranglons-la! » (A ce nom d'Aurore le poète rentre pour Est le Temps qui, courtoisement,
l'électeur la quatrième fois en extase et chante :) Inscrit à sa première pa^e
Assez de vains discours,d'oiseuses hyperboles. le poète Ces paroles d'apaisement :
Qui donc sans haine m dépit U Aurore dit, VAurore dit : . Les lecteurs dont l'abonnement
Viendranousfaireentendreunelibre parole!... « Tous les soldats à Biribi. n ^ ja gn je ce mois expii-e
(A ce nom de Libre Parole, le poète entre Tous les généraux aux galères ! , Sont priés d'envoyer leur renouvellement! d
pour la troisième fois en extase et chante ;) Mort aux curés, aux militaires, l'électeur
*■ poète Aux émigrés, aux Kaiserliks, A. réte-toi, poète, et remise ta Ivre, [citoven
E. Drumont dit, E. Drumont dit : Aux Coblentziers, aux Metternichs, Tes chants m-ont converti. Comme un bon
Nos gouvernants sont des bandits Aux patrons, aux capitalistes, Je crio avec ardeur . vive ta République!
Que J. Reinach tient à l'attache. A tous les social-Lucullus, Mais puisque graco à toi> je ne comprends
Aussi vrai que j'écris comme feu Bossuet, Aux bourreaux de notre Dreyfus, : [plus r;en
Le peuple a beau suer A Pierre, à Paul, à Jean-Baptiste ; é Aux obscurs intérêts de la chose publique,
Et peiner à la tâche, Bref mort à tout le genre humain » Je veux en ce g,.aucl jour ia(.|l(;r [a politique.
Le juif rapace et lâche Et c'est signé : Gohier (Urbain). Aux urnes va tout seul,Poète,je m'abstiens !
Lui mange sur le dos (Le poète entre de plus en plus en extase.)
La laine avec les os, Et puis nous avons Ranc (Arthur), le seul,
Et n'aura de repos Le Ranc, du Radical! [l'unique,
Qu'il n'ait ruiné notre patrie Ranc qui tous les matins, sauve la République
Lord Cheminot.
X. Basson. — Je vous plairai, Madame, et serai voir» te J. vou