.fi'' '>'.„*■--,, • miste ot très jalouse. Peu aimée de ses
raHk ^^ iT$:^P^^% _______rvm -.....—-J^B et l'e Partu' en Amérique. Mais comme ils
JpP #^9^K ^» étaienl pratiques et savaient que la pru-
'• jj^ÊfjË^L }' ^^mÉLiu^^B*^. ^ ""^^j Alors le monsieur ot' la dam.'
im*jÉÈÈk *jj$L A coite heure, précisément, passait par
yN* hasard aux environs la vieille baleine du
f Spit/horg. Sa ]ia uvreté no lui ayant pas per-
i^fcyf^ 1er un inao-farlane, elle était fort
^^^Hf \. i ennuyée et ne savait où se réfugier. Elle
fflfe fl| et offrirent gentiment à celui-ci de l'abriter.
Le capitaine la lit, mettre en prison et la
■flE fil traduire devant la cour martiale du bord.
HE? Elle allégua pour sa défense qu'elle avait
agi de la sorte afin de venger celles de ses
compagnes dont on s'était servi pour la
fabrication d'objets aussi futiles que des pa-
\ * ''; \ rapluies. On lui fit remarquer qu'il ne faut
jamais se faire justice soi-même, et elle fut
^^hppb^^b' condamnée à mort.
^^Hj^^^^^^M^H^^ Elle fut exécutée. Et, par la suite, une
horrible famine s'étant déclarée sur le na-
, „ , .... . . ,. bEir!UTS vire, le corps de la coupable fut dépecé
— Chouette! Il nia dit que jetais de dix mesures en avance sur les autres... ... . ;,.
DVSi\n de Somci. et donne en nourriture a 1 équipage.
Puis, avec ses cartilages, on fit de l'huile
l'IXPPATF TVUFIXT les jours, ils prenaient l'omnibus « La Vil- dont on se servit pour calmer une grande
LhU'llA Ui UALLhNL lette - Place de l'Étoile ;. avec correspon- tempête qui s'éleva quelques jours plus
^v™vwm. dance pour Ncuilly, et allaient faire un tour tar(j
au Bois do Boulogne. _, . ,., .....
,, <• • • ii -, - , , , o •. G est ce qui prouve quil.ne faut ïamais
Il y avait une fois un monsieur et une II v avait aussi, dans les eaux du Spitz- , , . , ,,, ,. .
, ■ i i • . i h • i " . ,, ... • méconnaître les lois de 1 hospitalité.
dame qui habitaient une belle maison au berg, une vieille baleinequi etaitfort pauvre.
parc Monceau. Ils étaient très riches. Tous Son indigence l'avait rendue très pessi- Henri Chevallier.
ai; temps de la crinoline
Pensionnat de jeunes tilles allant visiter un camp d'infanterie.
Dessin (I'Avelot
raHk ^^ iT$:^P^^% _______rvm -.....—-J^B et l'e Partu' en Amérique. Mais comme ils
JpP #^9^K ^» étaienl pratiques et savaient que la pru-
'• jj^ÊfjË^L }' ^^mÉLiu^^B*^. ^ ""^^j Alors le monsieur ot' la dam.'
im*jÉÈÈk *jj$L A coite heure, précisément, passait par
yN* hasard aux environs la vieille baleine du
f Spit/horg. Sa ]ia uvreté no lui ayant pas per-
i^fcyf^ 1er un inao-farlane, elle était fort
^^^Hf \. i ennuyée et ne savait où se réfugier. Elle
fflfe fl| et offrirent gentiment à celui-ci de l'abriter.
Le capitaine la lit, mettre en prison et la
■flE fil traduire devant la cour martiale du bord.
HE? Elle allégua pour sa défense qu'elle avait
agi de la sorte afin de venger celles de ses
compagnes dont on s'était servi pour la
fabrication d'objets aussi futiles que des pa-
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jamais se faire justice soi-même, et elle fut
^^hppb^^b' condamnée à mort.
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horrible famine s'étant déclarée sur le na-
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Puis, avec ses cartilages, on fit de l'huile
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LhU'llA Ui UALLhNL lette - Place de l'Étoile ;. avec correspon- tempête qui s'éleva quelques jours plus
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dame qui habitaient une belle maison au berg, une vieille baleinequi etaitfort pauvre.
parc Monceau. Ils étaient très riches. Tous Son indigence l'avait rendue très pessi- Henri Chevallier.
ai; temps de la crinoline
Pensionnat de jeunes tilles allant visiter un camp d'infanterie.
Dessin (I'Avelot