b. »And July the 9th I paid Mr. Mengs 2 hund(re)d and 66 crowns 50 Baiocchs
being his full demand for the picture of Augustus & Cleopatra 266,50.«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907, s. Woodbridge
1965, S. 105/06)
5 Brief Thomas Robinson an William Robinson, 9.8. 1760:
»Mengs has just finished a very large & Capital Picture for Mr. Hoare the
Subject is Cleopatra at the feet of Augustus & this Picture united as much
good Drawing, expression, force without blackness & clearness without
faintness as most Pictures, I have ever seen.«
(vollständiger Text s. biogr. Dok., Bd. II)
6 Brief Andrew Lumisden an Catherine Read, 9.8.1760:
»He has just finished a picture, Augustus and Cleopatra for Mr. Hoare the
Banker which I reckon will soon be sent to London and where you may judge
of its mind.«
(nach Skinner 1994, S. 21)
7 Brief Mengs an Hoare, 27.6.1761:
Der Brief enthält eine Rechtfertigung der Art und Weise, wie das Thema
konzipiert und im Hinblick auf die literarische Vorlage gestaltet wurde.
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907 (in franzö-
sischer Sprache), publ.: Azara/Fea 1787, S. 370-373 (in italienischer Sprache),
s. Woodbridge 1965, S. 106/07)
8 Brief Hoare aus London an Mengs, 27.7.1761:
»Monsieur, Je vous suis infinement redevable de la lettre que vous m’avez
ecrite, tant pour la force de vos raisonnemens, que pour la finesse de vos
remarques, et aux certains Justesse d’esprit qui brille par tout. Permettez
seulement, que Tage, l’honneur de vous dire que ce n’est pas des defauts que
l’on trouve dans vos ouvrages (car jamais Tableau n’a ete plus generalment
admire) c’est uniquement cette petite point, toujours indivisible, et parsqu’
imperceptible, qui paroit manquer a la vrai Perfection; et apres tout, les
critiques ne sont pas infallibles, ils prouvent se tromper tres facilement dans
une Idee si delicate, et ou l’imagination surpasse peut-etre l’execution du
Pinceau. La difficulte que vous me dites sentir, Monsieur, dans votre Art, est
la plus grande preuve que vous l’avez approfondi et que vous acheminez au
triomphe de la Vaincre, cette difficulte, les Genies mediocres ne voyent pas,
aussi l’on ne doit pas etre surpris, s’ils ne l’attaquent meme pas. Pour ce que
regarde les egarements des autres Peintres, comme par example Guido lui
meme (qui vous donne toujours la tete d’une Madelaine, pour celle de
Cleopatra) cela ne merite pas Votre attention: Portant si heureusement le
Nom de Raphael vous desiderez bientöt l’heretier de la Gloire, car vous avez
seu imiter et marcher sur ses traces la figure d’Auguste la Preuve convain-
quante de ce que je dis et meme dans celle de Cleopatra, on vous rend toute
la Justice possible sur ce que regarde les Passions; on avoue, que vous avez
penetre bien profondement dans l’etat interieur de son esprit, la quel en
declare par les abbatemens du corps; en un mot, l’on y voit une Femme
amable: son sort est ä Plaindre, sa misere est parlante; mais disent ils, le
charactere de Majeste nous paroit un peu manquer, la quelle doit entrevoir
au travers de ses Malheurs, nous cherchons la Reine, nous voulons la
Pretendue Venus - Venus n’est pas depourvue de Majeste - et celle de ses
traits, et celle de sa Taille distingue assez la Regina dans le Tableau de Guido,
ou il fait habiller sa Dresse par les Graces. (Monsieur Strange, Monsieur, vous
eu faire voir le stamp gravee par ses mains). Ces messieurs s’avisent de dire,
que le Grandeur de Cleopatra ne pourroit jamais unire ä la Noble simplicite
D’Auguste, non plus qu’un Temple Corinthien peut diminuer par ses orna-
mens la Majeste unie d’un Temple Dorique, et ils souhaitent voir le Temple
Corinthien dans la Reine d’Egypt. Pour comble de critique, ils disent que le
Soleil et la Lune sont tous les deux remplis de Majeste et ils adjoutent, qu’il
n’y a que la difference du sexe qui eu rend l’expression differente. Si la
Grandeur de Cleopatra avoit ete augmentee remarques-t-on, la Posture et
l’attitude de son corps l’auroit annoncee l’inferieure et la Captive d’Auguste.
Quand meme nous donnerions toute sa Vivacite du temps de son bonheur,
tout I’enjouement de bouche et du teint ces mandits Critiques s’obstinent
toujours a dire, que l’idee de la Reine resterait a souhaiter: et qu’a present si
vous cachiez la figure D’Auguste, on prendroit Cleopatra pour une Madel-
aine. Mon eher Monsieur, Je leur laisse dire me trouvent en meme temps
parfaitement content de mon Tableau, comme de vous dire, que je reste votre
obeissant serviteur.
Londres ce 27 Juliet 1761.«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907, s. Woodbridge
1965, S. 107)
9 Brief Jenkins an Hoare, 25.7. 1761:
»(...) I hope you will have rec’d Mr. Mengs and my answer to your former
letter. I am very glad that your Picture continues to please but to say the
truth, it is a very great good fortune when a Painter has the happiness to be
imployed by a Gentleman of real Judgement (...)«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907)
10 Brief Mengs an N. N., ohne Datum:
Mengs weist darauf hin, daß das Gemälde für Hoare ursprünglich nur zwei
Figuren enthalten hätte und daß er auch nur für zwei Figuren bezahlt wurde,
obwohl er mit Rücksicht auf das Sujet mehr Figuren gemalt habe.
(Azara/Fea 1787, S. 375)
11 Brief Jenkins an Hoare, 29.7.1761:
(s. biogr. Dok., Bd. II)
Bibliographie
Bianconi 1780, o.S. (95); Doray de Longrais 1782, S. 37; J.J. Volkmann,
Neueste Reisen durch England... vorzüglich in Absicht auf die Kunstsamm-
lungen... Bd. II, Leipzig 1782, S. 34; Prange I, 1786, S. 122; Azara/Fea 1787,
S.XLII; Fabroni 1789, S. 32, Azara 1796, S. 5; R. Colt Hoare, Brief von Mengs
vom 27.6. 1761 und Antwort Hoares. In: Annals of the Fine Arts. London
1818, II, S. 492/94; J.P. Neale, Views of the Seats of Noblemen in England,
Wales, Scotland and Ireland. London 1818, V, o.S. (Stourhead); Sir Richard
Hoare, History of Modern Wiltshire. London I, 1822, S. 79; Waagen I, 1838,
S. 370; Nagler IX, 1840, S. 79; Waagen III, 1854, S. 172; Woermann 1894,
S. 175; Hautecoeur 1912, S. 150; Heine 1928, S. 10/11; Hönisch 1965, S. 124,
Nr. 249; Woodbridge 1965, S. 83ff; Rosenblum 1967, S. 55; P.S. Walch,
Cleopatra before Augustus. In: The Register of the Museum of Art, Kansas
City, Jg. 3, 1968, S. 25/26; Pelzel 1969, S. 98-109; Ford 1974/1, S. 419; F.
Russell, The Stourhead Batoni and other Copies after Reni. In: The National
Trust Year Book 1975-76, S. 109-11; Saabye 1976, S. 12 ff.; Roettgen 1977/2,
S. 148-156; Mellini 1980, S. 367; Clark/Bowron 1985, S. 287; Erffa/Staley
1986, S. 38; AK London 1993, S. 26, 34; St. Rudolph, Niccolö Maria Pallavi-
cini. L’Ascesa al Tempio della Virtü attraverso il Mecenatismo. Rom 1994,
S. 180ff.; Skinner 1994, S. 21; Sestieri 1,1994, S. 129
Dank der teilweise erhaltenen Korrespondenz des Malers John Flim-
mer und des Kunstagenten Thomas Jenkins mit dem Auftraggeber
des Bildes, Henry Hoare (Dok. 1-4), sowie dessen Briefes an Mengs
(Dok. 8) und der beiden Briefe, in denen Mengs sich zu dem
Gemälde äußert (Dok. 5, 7), lassen sich die Auftragsumstände und
die Entstehungszeit des Stourhead-Gemäldes genau verfolgen. Die
betreffenden Dokumente wurden bereits in Auszügen durch Ken-
neth Woodbridge veröffentlicht. Woodbridge widmete dem Gemälde
anhand der Dokumente eine ausführliche Behandlung und beschäf-
tigte sich auch mit dem Zusammenhang zwischen dem Bildgegen-
stand und den ikonographischen Vorstellungen, die Henry Hoare im
Park und in der Ausstattung des Wohnhauses von Stourhead ver-
folgte. Das Gemälde war von Anfang an als Pendant zu dem Ge-
mälde Marattis mit der Allegorie des Marchese Pallavicini, der zum
Tempel des Ruhmes geführt wird, gedacht. Hoare hatte das Maratti-
Gemälde durch die Vermittlung von Horace Mann erworben. Es
befindet sich noch heute zusammen mit Mengs’ Gemälde an dem
Ort, für den es Henry Hoare bestimmt hatte, nämlich in der Entrance
Hall von Stourhead House.
Der Auftrag an Mengs wurde durch Thomas Jenkins (Dok. 1) ver-
mittelt. Der Terminus ante quem für die Auftragserteilung an Mengs
ist der 6.6.1759 (Dok. 1). Da John Plimmer aber in seinem Brief vom
9.6. 1759 (Dok. 2) bereits erwähnt, daß Mengs’ Bild als Pendant zu
Marattis Gemälde bestimmt war, das im Jahre 1758 erworben wor-
158 Katalog der Gemälde
being his full demand for the picture of Augustus & Cleopatra 266,50.«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907, s. Woodbridge
1965, S. 105/06)
5 Brief Thomas Robinson an William Robinson, 9.8. 1760:
»Mengs has just finished a very large & Capital Picture for Mr. Hoare the
Subject is Cleopatra at the feet of Augustus & this Picture united as much
good Drawing, expression, force without blackness & clearness without
faintness as most Pictures, I have ever seen.«
(vollständiger Text s. biogr. Dok., Bd. II)
6 Brief Andrew Lumisden an Catherine Read, 9.8.1760:
»He has just finished a picture, Augustus and Cleopatra for Mr. Hoare the
Banker which I reckon will soon be sent to London and where you may judge
of its mind.«
(nach Skinner 1994, S. 21)
7 Brief Mengs an Hoare, 27.6.1761:
Der Brief enthält eine Rechtfertigung der Art und Weise, wie das Thema
konzipiert und im Hinblick auf die literarische Vorlage gestaltet wurde.
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907 (in franzö-
sischer Sprache), publ.: Azara/Fea 1787, S. 370-373 (in italienischer Sprache),
s. Woodbridge 1965, S. 106/07)
8 Brief Hoare aus London an Mengs, 27.7.1761:
»Monsieur, Je vous suis infinement redevable de la lettre que vous m’avez
ecrite, tant pour la force de vos raisonnemens, que pour la finesse de vos
remarques, et aux certains Justesse d’esprit qui brille par tout. Permettez
seulement, que Tage, l’honneur de vous dire que ce n’est pas des defauts que
l’on trouve dans vos ouvrages (car jamais Tableau n’a ete plus generalment
admire) c’est uniquement cette petite point, toujours indivisible, et parsqu’
imperceptible, qui paroit manquer a la vrai Perfection; et apres tout, les
critiques ne sont pas infallibles, ils prouvent se tromper tres facilement dans
une Idee si delicate, et ou l’imagination surpasse peut-etre l’execution du
Pinceau. La difficulte que vous me dites sentir, Monsieur, dans votre Art, est
la plus grande preuve que vous l’avez approfondi et que vous acheminez au
triomphe de la Vaincre, cette difficulte, les Genies mediocres ne voyent pas,
aussi l’on ne doit pas etre surpris, s’ils ne l’attaquent meme pas. Pour ce que
regarde les egarements des autres Peintres, comme par example Guido lui
meme (qui vous donne toujours la tete d’une Madelaine, pour celle de
Cleopatra) cela ne merite pas Votre attention: Portant si heureusement le
Nom de Raphael vous desiderez bientöt l’heretier de la Gloire, car vous avez
seu imiter et marcher sur ses traces la figure d’Auguste la Preuve convain-
quante de ce que je dis et meme dans celle de Cleopatra, on vous rend toute
la Justice possible sur ce que regarde les Passions; on avoue, que vous avez
penetre bien profondement dans l’etat interieur de son esprit, la quel en
declare par les abbatemens du corps; en un mot, l’on y voit une Femme
amable: son sort est ä Plaindre, sa misere est parlante; mais disent ils, le
charactere de Majeste nous paroit un peu manquer, la quelle doit entrevoir
au travers de ses Malheurs, nous cherchons la Reine, nous voulons la
Pretendue Venus - Venus n’est pas depourvue de Majeste - et celle de ses
traits, et celle de sa Taille distingue assez la Regina dans le Tableau de Guido,
ou il fait habiller sa Dresse par les Graces. (Monsieur Strange, Monsieur, vous
eu faire voir le stamp gravee par ses mains). Ces messieurs s’avisent de dire,
que le Grandeur de Cleopatra ne pourroit jamais unire ä la Noble simplicite
D’Auguste, non plus qu’un Temple Corinthien peut diminuer par ses orna-
mens la Majeste unie d’un Temple Dorique, et ils souhaitent voir le Temple
Corinthien dans la Reine d’Egypt. Pour comble de critique, ils disent que le
Soleil et la Lune sont tous les deux remplis de Majeste et ils adjoutent, qu’il
n’y a que la difference du sexe qui eu rend l’expression differente. Si la
Grandeur de Cleopatra avoit ete augmentee remarques-t-on, la Posture et
l’attitude de son corps l’auroit annoncee l’inferieure et la Captive d’Auguste.
Quand meme nous donnerions toute sa Vivacite du temps de son bonheur,
tout I’enjouement de bouche et du teint ces mandits Critiques s’obstinent
toujours a dire, que l’idee de la Reine resterait a souhaiter: et qu’a present si
vous cachiez la figure D’Auguste, on prendroit Cleopatra pour une Madel-
aine. Mon eher Monsieur, Je leur laisse dire me trouvent en meme temps
parfaitement content de mon Tableau, comme de vous dire, que je reste votre
obeissant serviteur.
Londres ce 27 Juliet 1761.«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907, s. Woodbridge
1965, S. 107)
9 Brief Jenkins an Hoare, 25.7. 1761:
»(...) I hope you will have rec’d Mr. Mengs and my answer to your former
letter. I am very glad that your Picture continues to please but to say the
truth, it is a very great good fortune when a Painter has the happiness to be
imployed by a Gentleman of real Judgement (...)«
(Trowbridge, County Record Office, Stourhead Papers 383/907)
10 Brief Mengs an N. N., ohne Datum:
Mengs weist darauf hin, daß das Gemälde für Hoare ursprünglich nur zwei
Figuren enthalten hätte und daß er auch nur für zwei Figuren bezahlt wurde,
obwohl er mit Rücksicht auf das Sujet mehr Figuren gemalt habe.
(Azara/Fea 1787, S. 375)
11 Brief Jenkins an Hoare, 29.7.1761:
(s. biogr. Dok., Bd. II)
Bibliographie
Bianconi 1780, o.S. (95); Doray de Longrais 1782, S. 37; J.J. Volkmann,
Neueste Reisen durch England... vorzüglich in Absicht auf die Kunstsamm-
lungen... Bd. II, Leipzig 1782, S. 34; Prange I, 1786, S. 122; Azara/Fea 1787,
S.XLII; Fabroni 1789, S. 32, Azara 1796, S. 5; R. Colt Hoare, Brief von Mengs
vom 27.6. 1761 und Antwort Hoares. In: Annals of the Fine Arts. London
1818, II, S. 492/94; J.P. Neale, Views of the Seats of Noblemen in England,
Wales, Scotland and Ireland. London 1818, V, o.S. (Stourhead); Sir Richard
Hoare, History of Modern Wiltshire. London I, 1822, S. 79; Waagen I, 1838,
S. 370; Nagler IX, 1840, S. 79; Waagen III, 1854, S. 172; Woermann 1894,
S. 175; Hautecoeur 1912, S. 150; Heine 1928, S. 10/11; Hönisch 1965, S. 124,
Nr. 249; Woodbridge 1965, S. 83ff; Rosenblum 1967, S. 55; P.S. Walch,
Cleopatra before Augustus. In: The Register of the Museum of Art, Kansas
City, Jg. 3, 1968, S. 25/26; Pelzel 1969, S. 98-109; Ford 1974/1, S. 419; F.
Russell, The Stourhead Batoni and other Copies after Reni. In: The National
Trust Year Book 1975-76, S. 109-11; Saabye 1976, S. 12 ff.; Roettgen 1977/2,
S. 148-156; Mellini 1980, S. 367; Clark/Bowron 1985, S. 287; Erffa/Staley
1986, S. 38; AK London 1993, S. 26, 34; St. Rudolph, Niccolö Maria Pallavi-
cini. L’Ascesa al Tempio della Virtü attraverso il Mecenatismo. Rom 1994,
S. 180ff.; Skinner 1994, S. 21; Sestieri 1,1994, S. 129
Dank der teilweise erhaltenen Korrespondenz des Malers John Flim-
mer und des Kunstagenten Thomas Jenkins mit dem Auftraggeber
des Bildes, Henry Hoare (Dok. 1-4), sowie dessen Briefes an Mengs
(Dok. 8) und der beiden Briefe, in denen Mengs sich zu dem
Gemälde äußert (Dok. 5, 7), lassen sich die Auftragsumstände und
die Entstehungszeit des Stourhead-Gemäldes genau verfolgen. Die
betreffenden Dokumente wurden bereits in Auszügen durch Ken-
neth Woodbridge veröffentlicht. Woodbridge widmete dem Gemälde
anhand der Dokumente eine ausführliche Behandlung und beschäf-
tigte sich auch mit dem Zusammenhang zwischen dem Bildgegen-
stand und den ikonographischen Vorstellungen, die Henry Hoare im
Park und in der Ausstattung des Wohnhauses von Stourhead ver-
folgte. Das Gemälde war von Anfang an als Pendant zu dem Ge-
mälde Marattis mit der Allegorie des Marchese Pallavicini, der zum
Tempel des Ruhmes geführt wird, gedacht. Hoare hatte das Maratti-
Gemälde durch die Vermittlung von Horace Mann erworben. Es
befindet sich noch heute zusammen mit Mengs’ Gemälde an dem
Ort, für den es Henry Hoare bestimmt hatte, nämlich in der Entrance
Hall von Stourhead House.
Der Auftrag an Mengs wurde durch Thomas Jenkins (Dok. 1) ver-
mittelt. Der Terminus ante quem für die Auftragserteilung an Mengs
ist der 6.6.1759 (Dok. 1). Da John Plimmer aber in seinem Brief vom
9.6. 1759 (Dok. 2) bereits erwähnt, daß Mengs’ Bild als Pendant zu
Marattis Gemälde bestimmt war, das im Jahre 1758 erworben wor-
158 Katalog der Gemälde