1 que j'ai {
cela avec n
cou de ceux de si
hrist faisait
c du miel saut*
el sikestre (i),»(
éprit Dimitri,j\ii
.a n'est pas mai
vivans sur le fcn,i
raisse et les mbj;
vu des Arabes (jiii.
lus dans leur rep
vent avait fait fi
rection, et Vile A
temps en temps i
mr la nier,parte
3r comme par in*
u de sa forcepaï
> qu'enfin, a^
u pop
engloutit to>»
bitans qui
étaient'
ce sp
« de sa!
)anc w
,ectacle.feJ
(377 )
s'élevait sur cette pai'tie de la mer , mais tout disparut
bientôt, et nous partageâmes sincèrement la satisfaction
des habiians de se voir délivrés de ces insectes orthop-
tères si justement redoutés.
Pour varier la route que nous avions suivie le matin,
nous passâmes par le mont St.-Etienne, en prenant le
même chemin que d'Aubusson disputa aux Turcs pas à
pas. De l'autre coté du mont, la ville se trouva en face
de nous. Plus j'ai réfléchi à cette position, depuis mon
retour, plus j'ai eu de peine à concevoir comment l'ora-
cle des orientalistes allemands a pu placer un château
sur cette majestueuse éminence, et l'éloigner en même
temps d'une lieue de Rhodes ; au souvenir d'une erreur
aussi marquante, j*'aurais pu dire avec Cicéron : Risum
vice lenebam.
En descendant ce mont en face de Rhodes, je voulus
visiter une de ces petites maisons de campagne ou bas-
tides , tout européennes encore par leur genre de bâ-
tisse, que leur solidité avait fait triompher du temps. Un
Grec qui se trouvait à sa porte, quand nous passâmes ,
m'en fournit l'occasion. Ayant reconnu Dimitri} il le pria
de nous faire reposer un instant et d'entrer chez lui.
Nous nous assîmes sous une petite galerie donnant sur
le jardin , d\>ù l'on découvrait la plage des Moulins, la
mer et le continent d'Asie. La vue était superbe ; deux
chambres, répétées sur les deux étages, formaient un
fà
V.
«•ffc
cela avec n
cou de ceux de si
hrist faisait
c du miel saut*
el sikestre (i),»(
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raisse et les mbj;
vu des Arabes (jiii.
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bientôt, et nous partageâmes sincèrement la satisfaction
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tères si justement redoutés.
Pour varier la route que nous avions suivie le matin,
nous passâmes par le mont St.-Etienne, en prenant le
même chemin que d'Aubusson disputa aux Turcs pas à
pas. De l'autre coté du mont, la ville se trouva en face
de nous. Plus j'ai réfléchi à cette position, depuis mon
retour, plus j'ai eu de peine à concevoir comment l'ora-
cle des orientalistes allemands a pu placer un château
sur cette majestueuse éminence, et l'éloigner en même
temps d'une lieue de Rhodes ; au souvenir d'une erreur
aussi marquante, j*'aurais pu dire avec Cicéron : Risum
vice lenebam.
En descendant ce mont en face de Rhodes, je voulus
visiter une de ces petites maisons de campagne ou bas-
tides , tout européennes encore par leur genre de bâ-
tisse, que leur solidité avait fait triompher du temps. Un
Grec qui se trouvait à sa porte, quand nous passâmes ,
m'en fournit l'occasion. Ayant reconnu Dimitri} il le pria
de nous faire reposer un instant et d'entrer chez lui.
Nous nous assîmes sous une petite galerie donnant sur
le jardin , d\>ù l'on découvrait la plage des Moulins, la
mer et le continent d'Asie. La vue était superbe ; deux
chambres, répétées sur les deux étages, formaient un
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