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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0270

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'216

System der Hier oglyphik

der Sowie" und die beiden Gruppen in Verbindung mit den von ibneu eingeführten Ovalen folgen-
dermassen zu übersetzen:

I. II.

König, den gehorsamen Volkes (Vorname, Beiname, besondere Titel Sohn der Sonne (Eigenname).

Mit dieser Ansicht von der Sache wendete nun Champollion seine Blicke auf zwei Königs-
legenden, welche seiner Vermuthung nach einst ein gemeinschaftliches Aegyptisches Monument
geschmückt hatten 3):

J) 8. uns. Ii. p. 203. no. 2.

3) Champoujon Pre'cis du Syst. Hieroffl. I. ed. p. 190. II. ed. p. 243. Dans les inscriptions IheVoglypmqiies deja
citiies et qui decorent )a plintlie des sphiux da Musee, nons reconnaissons deux legendes royales, cliacime comprenant deux
cartouclies. Les deux premiers, ou cartouches-prenoms des deux legendes, ne doiveut contenir que des titres; iious retrou-
vons, eu effet, daus I'un (s. B.), le (ilre deja connu, approuve dß. Cnouphis, et dans l'antre (s. A.), celdi de NFNOyTF-
MAl, che'ri des dieux iTubl. (je'n. no. 123. 124.). Si iious analysons ensuite les deux oartouclies, que precede la formule
fils du soleil, et qui doiveut reufermer les noms propres, appliquant aux signes qui les composent les valeurs phonetiques
deja assurees, ou obtient dans l'uu (s. B.) gAKp ou gAl<A, et dans l'autre, NAlC|p(üOyE; plus, un sigue dont le sou
est encore inconnu.

Aucun nom de souverain grec ou romain ne saurait etre reconnu dans ces deux ho ms propres; nous devons donc
essayer, si nous ue reueoutrous point, daus les dynasties egyptiennes de Manetlion, deux noms propres de Pharaons
qui aieut quelque aualogie avec ceux que nous lisons dans les denx cartouclies: ou les trouve bientöt en effet. Dans sa
XXIX«- dynastie, Celle des Mendesiens, il place ün roi dont le nom est ecrit A'xoiqiq et que Diodore de Sicile appelle A/.oqh; ;
et ce priuee, circonstauce bleu remurquable, eut pour predecesseur et pour successeur deux rois que Manetlion nomine
NetptQi-rtjq, et dont Diodore ecrit le nom Ncrpqta, Ncipcqea, a l'accusalif, et Areyc(>evq, au uoniiuatif.

11 est impossible de ue point reconnaitre, dans le nom hieroglyphique du roi gÄKp OI«l<r)> ,e BOm dl1 roi ^lcor-is
(Axoq-is, AxioQ-n), et dans NAt(jpü)OYE CNaifrdoue ou Naifrdoui), le nom egypiien du roi appele Nepliereus ou
Ndpherites par les Grecs. — Trois circonstances viennent renforcer en outre ce rapprocliement, et mettre celte synouymie
liors de doute. La premiere est la parfaite couformitc de proportiou, de mattere et de travail des deux spliinx qui porteut
les legendes des deux princes. Ces sphiux decorerent evidemment un meine edifice, et les Pliaraons qui les firent executer,
durent vivre a-peu-pres vers uue meine epbque. D'un autre cöte, les deux inscriptions ne diflereut eutre dies que par les
prenoms et les uoms propres seuls. Eutin, le style de ces deux spliinx s'eloigne deja de l'ancien style egyptien, et se
rapproclie seusiblement de celui qui caracterise les sculptures executees eu Egypte sous la dominatlon des Grecs. L'epoque
piesumable de ces inonumens, de'duite du style, exige donc, comme la lecture des noms hieroglyphiques des princes qui les
firent executer, qu'ou les rapporte ä la periode comprise entre les rois autochtlioues d'Egypte et la couquete d'AIexaudre,
c'est-a-dire, a la periode pendant laquelle les Egyptiens conduits par quelques chefs inlrepides, lulterent contre la puissance
et l'ambltlon de la Perse, ce qui uous rainene aux regnes de Nepliereus I etd'Acoris. Rosbluni Man. Stor. I, 2. Tav.XXU.
no. 153; a- Sie,,,; die gleiche Legende (B.) für Halwr=Akoris, welche er auf mehreren Mouunienteu in Aegypten gefunden
halte; s. 1- 1- P- 211. In der Erklärung der zweiten Legende (A.) weicht er aber von Champollion ab, indem er den
Namen Nepliereus in folgendem Ovale

?

(s. Monum. Slot: I, 2. p. 210.) zu erkennen glaubt, dessen erstes Zeichen J er durch NOOpE, Softe (= NOqpt,
to ov/wqov ; k. obenp. 179. Iin.4. Yuvsa Account. ^: G'oorf), das zweite —i~ durch (J), das dritte tS durch P = PH, das vierte
durch T = Th und das Ganze durch NOripECDTTT oder NOY^P00^9 = Nepherites übersetzt. Ueber die Ovale unter
I!. äussert sich ROSKIXIKI 1. 1« \) 2- P' 215 als0 : K-S'ste uel museo parigino nna sffnge che porta i cartelli no. 155, dei quali
il prenorae, identico hei valore e helle forme a quello di Menephtäh II, jSgifb di Uamses III, esprime Sole servitor dello
Spirilo deyli Dei, o stabilito dallö Spirilo det/li Dei; e il nome-proprio deve propriamente prouunziarsi NAK|NOYlT,
NaifmÜi', o semplicemeute NÄlfJNOYtj ~N<äfn1ii, höh potendosi con cerlezza definire, se l'uliimo carattere 'Q sia una
lettera, ovvero un Bimbölo esprimente un qualclie titolo. I/o CH«MBÖtt4pN che aveva gia pubblicato questi cartelli (Pre'cis.
PL et Ewplic. no. 133.), leggevavi il linine-propiio NAKJpOYO, Naiphvuo o Naiphrue, et facilmeute riconoscevavi il
Nepliereus capo di questa dinastia. Qnesta pronunzia vcuivagli dalia supposizione che il carattere » — exprimesse la lettera
p, 1t, ina un grau numero di testi e di coufronti ci ba poi dimostrato che quel carattere, il quäle anche per testiinonianza
 
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