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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0287

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von Champollion.
12. i) 13. 14. 15.

®tf fcll ß

Schon aus dem blossen Vorhandensein dieser hieroglyphischen Varianten glaubte Champollion
einen sichern Scbluss für das in ihnen liegende phonetische Element ziehen zu dürfen, indem man
bei der entgegen gesetzten Voraussetzung zu der Annahme genöthigt seij dass nicht nur eben so

mais elles ne sont qu'apparentes. Le nom du dieu Soleil, pH, est seulement exprime ici par l'image mcme du dieu Soleil
ii tete d'epervier, surmontee du disque ; ces deux cartouches contienneut donc loujours, comme les autres, les niots
AMN-MAl-pHMCC, le cheri d'Amon-Ramses.

1) Champollion Pre'cis du Syst. Hie'rogl. I. ed. p. 219. //. cd. p. 270. Daus la Variante no. 12 nous voyons une
particularite nouvelle: le titre Amon-mai (cheri d'Amon), qui est ici exprime par l'image, deja bien connue, du dieu
Amoun, mise ä la place du nom phouetique, et par le hoyau ou charrue, homophone du pieäestal (s. uns. b. p. 210.), abre-
viation du groupe MAI, procede de gauche ä droite, taudis que le nom propre pHMCC est ecrit de droite ä gauche;
de sorte que la figure du dieu Amoun est face ä face avec l'image du dieu Be (le Soleil), qui exprime la syllabe pH du
nom propre pHMCC, Remses.

2) Champollion Pre'cis du Syst. Hier. I. 1. Mais Ja Variante no. 11 offre une singularite digne d'etre observee: la
premiire'partie du titre tout phonelique cheri d'Amnion, reste en tete du cartouche, coinme dans les precedens, et la der-
niere partie, la consonne M5 abreviation de MAt, aime, cheri, est rejetee ä la flu, apres le nom propre royal; ce qui
donne en lettres coptes la transcription AMN-pHMCC-M, c'est-a-dire, d'Amoun-Rams'es-clie'ri, au Iieu de AMN-MAt-
pHMCCj le cheri d>Amoun-Ramses, comme portent les variantes 5, 6, 7, 8, 9 etc. Die Variante no. 16 habe ich weg-
gelassen, weil sie sich von no. 15 nur dadurch unterscheidet, dass die beiden Götter einander gegenüber stehen. Es ist
kaum nöthig, wegen dieses Namens auf die Monumente zu verweisen, da in der That die älteren Denkmäler Nubiens und
Aegyptens ihn häufig genug vor Augen stellen. (Champoluon Pre'cis du Syst. Hier. I. ed. p. 220. IL ed. p. 271. La
legende royale de ce prince se lit dans les dedicaces et sur toutes les^ parlies des grands edifices A'Ihsamhoul, de Calabsche,
de Derry, de Ghirche et de Ouady-Essebouä, dans la Nubie; en Kgypte, sur plusieurs parties du palais de Karnac ä
Thebes, et prinoipalement dans la graude salle hypostyle; sur le graud pylone, les colonnes et la premiere cour du palais
de Louqsor; sur toutes les parties de l'edifice qu'on a desigue sous le nom de Tombeau d> Osymandias ; dans le palais i'Aby-
dos; enfiusur les obelisques de Louqsor, et deRome, appeles Flaminien,Sallustien,Mahuteus,Me'dicis, et sur une foule d'autres
nionumens de tout genre. On retrouve egalement cette memo legende royale s'ur une inscriplion dont le texte est bilingue,
hieroglyphlque et en ecriture cune'if'orme; ce monument precieux existe ä Nahhar-el-Kelb, en Syrie, pres de l'ancienne
Berythus. Vergl. die angeführten Monumente in Gau Nub. Denkm. De'scr. de l'Eg. Ant. Vol. d. PI., besonders Vol. III.
pl. 38. 48, G. 57, 7. 69. Salt Essay, pl. IV. ,Zokga de Orig. et Vs. Obelisc. Obelisc. SaUust. Champoluon See. Lett.
a M. de ülac, so wie die Tafel von Abydos s. 1. 1. und in Salt Essay. Klapboth Exam. crit. Hoskllini Man. Stor. I, g.
p. 150.) Nur hätte ich gewünscht, dass Herr Bosellini bei dem Reichthume seiner Materialien und bei seiner schätzbaren
Wahrheitsliebe mehr Rücksicht auf die früheren Abzeichnungen Aegyptiscber Sculpturen genommen hätte. Denn wie
andere, so zeigt auch unser „cartouche-preuom" den zu ihm gehörenden „cartouche-nom-propre" mit mehr oder weniger
Verschiedenheit, wie z. b. in Gau Nub. Denkm. Hl. 45. (Tempel von Essebua):

wo man natürlich in Ingewissheit schwebt, ob der vortreffliche Zeichner (s. uns. b. p. 103. no. 3.) so sehr fehl griff, oder
ob der Name wirklich in so bedeutenden Variauten vorkommt.

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