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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0328

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274 System der Hieroglyphik

die Zeichen des I für die Vocale A und E, so wie die Hieroglyphen des 0 für die Vocale ö, U,
(Griechisch) Y, und für die Consonanten F und V. Für den Laut des J? fand er jedocli keinen
entsprechenden hieroglyphischen Buchstaben.

Das hieroglyphische B wechsele beständig ab mit den Hieroglyphen des F, V und U.

Die Hieroglyphe des K enthalte eine gewisse Aehnlichkeit mit dem Laute des 3 = G. Dasselbe
scheine auch der Fail zu sein mit dem Koptischen (f wegen seiner schon oben bemerkten Aehnlich-
keit mit dem hieratischen Gleichlauter des

Die Laute des "1 und n (S=d, r = f) werden in der Hieroglyphenschrift nicht unterschieden.
Doch scheint Champollion das weich ausgesprochene Dau (T=d) der späteren Kopten für den
Grundton der hierher gehörenden Hieroglyphen anzusehen.

Die Buchstaben m—g, f]Wh, C2 = e, - = k, ö=m, j = n, D = c, l#=(J) lassen sich mit
Bestimmtheit unter den Hieroglyphen nachweisen, was jedoch nicht der Fall ist mit T und p- Das
o) steht sehr selten für C. Dem h kann das X entsprechen.

caille et lo lituus (Q) s'echangent perpetuellement pour exprimer les sons 0, Ö, OU, VY grec et les consonnes F

ou V. — Les deux feuilles les deux lignes perpendiculaires (II) ou ineline'es et les trois lignes per-

pendiculaires (III) repoudent daus Paipbabet bieroglypbique au i (Tod) des Hebreux, en observant cepeudaut que ces hiero-
gjyphes ri'on't point uue valeüf constante, puisqu'ils sc prenuent quelqueföls pour A et sür-tout pour E; circonstänce qui
explique tres-bien pourquoi la plupart des mots ternünes par la voyelle I, daus les textes coptes memplütiques, finisseut par
la voyelle E dans les textes thebains. (Vergl. I. ed. p. 383. A. 9. II. ed. p. 44S. A. 9.)

Le 15 hieroglyphique, la cassolette ijjf etc.), est perpetuellement echange, dans les noins propres et daus les

textes egypliens, avec le cemste (_\ ^), qui est F ou V; avec la caille (^), alu' est Ia v°yeIIe OU, et avec le
lituus (($), qui est aussi uu OU et un F. On attribue egalement au 2 (betb) liebreu an son fort approclmnt du V. Cela
explique pourquoi, dans le copte tbebain, nous trouvons indifleremmeut ABAN et AOYAN culor, AB ou A(j musca,
curo, ABOT ou AOyOT häbitätib, BAI ou qAl, Bt ou qi ferre, B(D ou qü) coma, BON ou biea OyON res, ßNT
pour (JNT vermis, BOOT ou qCDT abstergere, etc.

Le nonibr'e assez efendu de mots commnns a I'egyptien et ä l'hebreu, mots qui, dans les textes coptes, sont ecrits
par ja lettre et dans Phebreu par un } (gliimel), un D (capli), ou un p (kopli), m'ont depuis loug-temps snggere l'ldee que
le Ö^C()l>'e, (tont la prononciation n'est pas. encore bien connue, repondait au 3 liebreu, ou du moins etait uue consoune
dont le son tut tres-vöjsin du } et du 2. Deux faits peuvent Petablir: 1°. Scholtz, auteur de la Grammaire egyptienne
publice par WÖidk, a d<ya fiiit remarquer que, dans le dialecte tbebain, ou employait le Ö~ a la place du k pour transcrire
des mots püreniept grecs, tel qüe xtg, 6lC, ex*ax«j ErÖ"AKEt; do,.ifM"etv, k06~lMA^ErN. 2<>. Daus les nonis hiero-
glypliiques de Cleopälre, <VAlexandre et de Claude, dans les titres Kataaq, Avtoxqmiaq, et dans le suruoin reQfiavtxoq,
le r et le K sont tres-souvent exprime's par le bassin ä anneau C«^\); et il se tr°uve que le signe hieratiqne correspondant
ä cet bieroglyplie, a precisement Ia meine forme qtie le Ö~ de Paipbabet copte. (S. die Fortsetzung dieser Bemerkung oben
p. 273. no. 1.) ' •

Le segment de sphere ( a, a) et ses bomophones peuvent repondre au ~\ (daletli) bebreu, puisque le T copte,
dont cet bieroglyplie est saus aueuu doute requivalent prdlnaire, fut fort babituellement prononce D par les Coptes. De lä
vient que, daus les textes coptes, le A de cortains mots et noms propres grecs est remplace par le T (dau), et que tous
les noins bieroglyphiques grecs et Iatius qui renferment, soit un T, soit un A, preseutent toujours le segment de spliere ou
quelqu'un de ses bomophones. — Le son dop (tliau) bebreu se coufond dans Pecriture bieroglypbique avec celui du 1 (da)etb).

Le ;-| (he) bebreu trouve son e'quivalent dans le g (Ii) bieroglypbique et ses homophones. — Le T C&ain) ne paratt
point avoir existe dans Ia langue egyptienne. Les Coptes ou Egyptiens cliretiens adopterent, en effet, Ja forme du £ grec
pour la transcription des mots grecs qu'ils introduisaient dans Ieurs livres. — Le PI (chet) liebreu a son equivaleut dans
Je t> copte, et Pon peut voir, daus notre Tabl. gen. de Paipbabet egyptieu, que la forme hieratiqne de Pbieroglypbe expri-
mant le Jd, est, ä tres-peu de ebose pres, absolument la meine' que celle du )o copte. — Le £3 (telb) hebreu semble avoir
en pour signe correspondant un bieroglyplie que j'ai, souvent observe dans des noms propres qui, trauscrits par les Grecs,
preseutent ordinairement un 0. — Les hieroglyphes phonetiqnes qui expriineut constamment le K des noms propres grecs
et Je C des noms propres latins, repondent au 2 (capli) des Hebreux. - Le o (mem), le J (nouu) et le D (samecb) de
 
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