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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0349

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von Champollion. 295



In dieser Ordnung folgen sich nun die Hieroglyphen entweder in senkrechten oder in wage-
rechten Linien und Streifen entweder von der Linken zur Rechten oder von der Rechten zur Linken.
In den Manuscripten stehen sie gewöhnlich in senkrechter Aufeinanderfolge. Auf den Monumenten
hingegen sind heide Richtungen gleich gewöhnlich, weil der hieroglyphische Text sich nach der
Seite hin wendet, nach welcher die Gegenstände blicken, denen er als Legende beigegeben ist.

Bei den senkrechten Streifen stehen die Hieroglyphen nicht fortwährend zu eins und eins unter
einander, sondern auch häufigst nach dem Verhältnisse ihrer Breite zu zwei, drei, vier neben ein-
ander, in den wagerechten hinwiederum nicht fortlaufend neben einander, sondern nach dem Verhält-
nisse ihrer Höhe zu zwei, drei, vier über einander »).

Mehrmals lässt sich auch die Verbindung zweier Zeichen zu einer einzigen Figur wahrnehmen,
ob schon beim Lesen die beiden in einander gegangenen Zeichen als zwei für sich bestehende
Buchstabenelemente zu betrachten sind. So stehe ^ ma für 1^. = M und o—J» = A, ^ hi für
$ = H und ■> —» = 1, (~B> mn für <0 = M und ~vsa = N, jjjk. sei aufzulösen in ^ und ""l—^
und ähnliche Figuren eben so s). Dasselbe Verhältniss finde auch bisweilen bei den figürlichen und
symbolischen Figuren Statt, wie z. B. bei [l^ für Q un(1 1 3)-

Das Verständniss der Hieroglyphenschrift war nicht bloss, wie man allgemein geglaubt hat, den
Priestern, sondern überhaupt den Ausgezeichneteren aller Aegyptischen Kasten zugängig *).

succedent de gauche ü droite; mais les signes sout ranges dedroiteä gauche; les tetes des nnimaux regardent aussi la droite.
C'est le seul exemple que je connaisse d'une disposition semblable.) 30. En Uijnes horizontales, les signes allant de droite ä gauche ;
la tele des animaux regarde la droite. 40. En lignes horizontales, les signes allant de gauche ä droite; la tejte des auimaux
regarde alors la gauche. — La preniiere et la seconde de ces dispositions sout les plus habituelles daus les manuserks lüerogly-
phiques; les autres sout usitees dans les bas-reliefs et les peintures, lorsque les legendes se rapporteut a des persouuages ou a des
objets regardant vers la gauche. Als Beispiele der angegebenen Stellung mögen die bisher in unsenn Buche aufgeführten
Hieroglypheulegenden dienen. Wie die Masse unserer Figuren von der Rechten zur Linken blickt, so würde sie eben so
gut von der Linken zur Rechten haben sehen können, welche Richtung ein Theil der Legenden auch wirklich auf den
Monumenten genommen hat.

1) Chamfoluon Pre'cis du Sgst. Hier. I. e'd. p'. 2(S8. II. ed. p. 318. Mais, quoique ranges en colonnes rerticales,
les hieroglyphes ne sont point pour cela, comme les caracteres chiuois, places successivement les uns au-dessous des
autres; ils sont tres-souvent, au contraire, groupes deux a deux ou trois ä trois, sur-tout lorsque leur forme a plus de
hauteur que de largeur. Le contraire arrive, lorsque les signes sont ranges horizontalement: si deux, trois ou quatre
caracteres, ayant, dans leur forme, plus de largeur que de hauteur, se rencontrent dans une phrase, ils se raugent perpen-
diculairement les uns au-dessous des autres, de maniere toutefois a ne point depasser la hauteur commune de la ligne,
laquelle est reglee par la proportion donnee aux signes dont les formes sont forcemeut perpeudiculaires, et qui se placent
alors successivement les uns apres les autres.

2) CnAim>or.uoN Pre'cis du Syst, Hier. I. e'd. p. 347. II. e'd. p. 414. Quoique ]es signes hierogIyphiq»es »jent des
formes si bien distinetes et si bien arretees qu'il semble impossible de penser ä les Her ensemble comme les caracteres des
autres ecritures; il arrive cependant que les textes presentent, quoique assez rarement, certaius caracteres lies entre eux
de maniere a former un tont qu'on pourrait prendre pour im seul sigue. J'ai acquis la convictiou que la plupart de ces
groupes doivent leur origine au seul caprice de l'ecrivain, puisque, ayant compare beaueoup de textes roulaut sur une
Meine maliere, je me suis constamment assure que deux caracteres lies dans im texte etaient traces isolement dans l'autre.
On trouvera dans la planche XV (I. ed.) = XIX. (II. ed.) no. 15. 16. 17. 19. des exeasples de ces ligatures avec leur
dedoublement: les caracteres qui ies forment, sont presque toujours phonetiques.

3) S. uns. B. p. 292.

4) Champollion Pre'cis du Sgst. Hier. 1. e'd. p. 358. II. e'd. p. 425. II est egalemeut certain, contre l'opinion com-
mune, que 1'ecriture hieroglyphique etait etudiee et comprise par la partie la plus distinguee de toutes les castes de la
uation, loin d'etre, comme on l'a dit si souvent, une ecriture mysterieuse, secrete, et dont la caste sacerdotale se reservait
'a connaissance, pour la communiquer seulement ä un tres-petit uombre d'fnities. Conmieut se persuader, en eflet, que
 
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