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https://doi.org/10.11588/diglit.25593#0007
LES LIBRAIRES
A U
LECTEUR.
iV marque depuis plufieurs années un de-
b(s\ , sir si vident de Jçavoir ce qye c’ejl .que
la Fran.csie-Maçonnerie, gwe wo?/j a-i;ô72^
crû faire plaisir au Public, en lui pro-
curant deux Lettres qui peuvent l'aider à découvrir du
moins une partie des fecrets de cette Société.
Sans parler (le ,lapsmieye dont on a donné qua-
tre ou cinq Editions, & deux ou trois traductions
dans moins de six feniQ'ines , nçus diyojns que des
Per saunes judicieufes & pénétrantes auxquelles Mr.
JJriot a communiqué la fécondé , l'ont trouvé fi me-
sur.êe si singulière S même si bizarre , quelles ont
jugé que cette Lettre étoit remplie de miftères aégui-
fés qu'ils ne croyent pourtant pas impénétrables.
En confequence de ce jugement amis m'çivons
rien négligé pour obtenir de i Auteur une copie de
ce mijleneux morceau, às la permisjion de l’abm-
donner aux conjectures des Curieux.
On nous a confeillé de mettre à la tête de ces deux
Lettres, un difeours qui fe trouve dans la Correspon-
d(ince-des Savans imprimé à Cologne N°. VU. is
VIII. & que Mr. Uriot prononça clans ta -Loge de
Francfort, quand il y reçut l xqudlité de fylaîtr-e-Ma-
çon. fitu rejle le titre 'de cette brochure n’en impo-
Je point, car plu fleur s Francs-Mar, ms que mous a-
vons confultés, nous ont apuré parole d'honneur -qu'il
ri était pas pqsjibk de U mieux remplir.'.
A U
LECTEUR.
iV marque depuis plufieurs années un de-
b(s\ , sir si vident de Jçavoir ce qye c’ejl .que
la Fran.csie-Maçonnerie, gwe wo?/j a-i;ô72^
crû faire plaisir au Public, en lui pro-
curant deux Lettres qui peuvent l'aider à découvrir du
moins une partie des fecrets de cette Société.
Sans parler (le ,lapsmieye dont on a donné qua-
tre ou cinq Editions, & deux ou trois traductions
dans moins de six feniQ'ines , nçus diyojns que des
Per saunes judicieufes & pénétrantes auxquelles Mr.
JJriot a communiqué la fécondé , l'ont trouvé fi me-
sur.êe si singulière S même si bizarre , quelles ont
jugé que cette Lettre étoit remplie de miftères aégui-
fés qu'ils ne croyent pourtant pas impénétrables.
En confequence de ce jugement amis m'çivons
rien négligé pour obtenir de i Auteur une copie de
ce mijleneux morceau, às la permisjion de l’abm-
donner aux conjectures des Curieux.
On nous a confeillé de mettre à la tête de ces deux
Lettres, un difeours qui fe trouve dans la Correspon-
d(ince-des Savans imprimé à Cologne N°. VU. is
VIII. & que Mr. Uriot prononça clans ta -Loge de
Francfort, quand il y reçut l xqudlité de fylaîtr-e-Ma-
çon. fitu rejle le titre 'de cette brochure n’en impo-
Je point, car plu fleur s Francs-Mar, ms que mous a-
vons confultés, nous ont apuré parole d'honneur -qu'il
ri était pas pqsjibk de U mieux remplir.'.