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Voltaire
L' Ecossaise: Comedie — Vienne en Autriche, 1760 [VD18 14353210]

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https://doi.org/10.11588/diglit.33698#0070
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Mc#.!/.,
yeux d'un galant homme. Vous me faî-
tes songer, vous dis-je, à cette petite créa-
ture: beau maintien, conduite sage, bel-
le tête, démarche noble. Il faut que je
la voye un de ces jours encor une fois-
C'esf dommage qu'elle sbit A Aère.
MO N ROSE (J fripori. )
Nôtre hôte m'a confié que vous en
aviez agi avec elle d'une manière admi-
rable.
F R I P O R T.
Moi? non-n'en auriez-vous pas fait
autant à ma place?
M O N R O S E.
Je le crois, si j'étais riche; & A elle
le méritait.
F R I P O R T.
Eh bien, que trouvez-vous donc ià
d'amirable? (is plVM? icy guxesfCJ.)
Ah ah, voyons ce que disènt les nou-
veaux papiers d'aujourd'hui, Hom,hona,
le Lord Falbrige mort.
M O N R O S E, ( )
Falbrige mort! le seul ami qui me
resait sur la terre ! le sèul dont j'atten-
dais
 
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