ACTE QUATRIEME. 281
athamare.
En ces lieux il t’est honteux de vivre.
Attends mon ordre ici.
(à ses soldats.'')
Vous, marchez avec moi.
SCENE VL
S O Z A M E , HERMODAN.
S O Z A M E se courbant vers Hermodan.
TTous mes malheurs, ami, sont retombés sur toi. ., .
Espère en la vengeance. ... il revient. . . . il soupire....
Hermodan !
HERMODAN se relevant avec peine.
Mon ami, fais au moins que j’expire
Sur le corps étendu de mon fils expirant!
Que je te doive, ami, cette grâce en mourant.
S’il reste quelque force à ta main languissante,
Soutiens d’un malheureux la marche chancelante ;
Viens, lorsque de mon fils j’aurai fermé les yeux,
Dans un même sépulcre enferme - nous tous deux.
s o z a M. E.
Trois amis y seront; ma douleur te le jure:
Mais déjà l’on s’avance, on venge notre injure,
Nous ne mourrons pas seuls.
HERMODAN.
Je l’espère; j’entends'
Les tambours , nos clairons , les cris des combattant.
Nos Scythes sont armés. . . . Dieux , punisséz les crimes !
Dieux, combattez pour nous, et prenez vos victimes !
Ayez pitié d’un père.
athamare.
En ces lieux il t’est honteux de vivre.
Attends mon ordre ici.
(à ses soldats.'')
Vous, marchez avec moi.
SCENE VL
S O Z A M E , HERMODAN.
S O Z A M E se courbant vers Hermodan.
TTous mes malheurs, ami, sont retombés sur toi. ., .
Espère en la vengeance. ... il revient. . . . il soupire....
Hermodan !
HERMODAN se relevant avec peine.
Mon ami, fais au moins que j’expire
Sur le corps étendu de mon fils expirant!
Que je te doive, ami, cette grâce en mourant.
S’il reste quelque force à ta main languissante,
Soutiens d’un malheureux la marche chancelante ;
Viens, lorsque de mon fils j’aurai fermé les yeux,
Dans un même sépulcre enferme - nous tous deux.
s o z a M. E.
Trois amis y seront; ma douleur te le jure:
Mais déjà l’on s’avance, on venge notre injure,
Nous ne mourrons pas seuls.
HERMODAN.
Je l’espère; j’entends'
Les tambours , nos clairons , les cris des combattant.
Nos Scythes sont armés. . . . Dieux , punisséz les crimes !
Dieux, combattez pour nous, et prenez vos victimes !
Ayez pitié d’un père.