que cette rapidité eût nui à la correction
et à l’élégance de cette traduction. J’espère
toutefois avoir été clair en demeurant fidèle
au texte du savant professeur de Heidelberg.
Le reste n’es t que bien secondaire, puisqu’il
s’agirait du frivole amour-propre du traduc-
teur, dans une question qui embrasse le salut
d’un grand peuple, qu’on ne peut avoir visité
sans lui rester attaché par les liens d’une
vive sympathie et d’une sincère admiration.
et à l’élégance de cette traduction. J’espère
toutefois avoir été clair en demeurant fidèle
au texte du savant professeur de Heidelberg.
Le reste n’es t que bien secondaire, puisqu’il
s’agirait du frivole amour-propre du traduc-
teur, dans une question qui embrasse le salut
d’un grand peuple, qu’on ne peut avoir visité
sans lui rester attaché par les liens d’une
vive sympathie et d’une sincère admiration.