Le rire: journal humoristique (N.S. 1913 (Nr. 518-569))

— Laissons-les : ils sont complètement gris. — Pourquoi diable bourrez-vous ce pistolet de beurre?

Oui; c'est l'extinction des vieux. Dessin de Weyman. - Laissez ! Je veux me faire sauter Ia tsenrelle aUDesslnde Sturel

_ l-~ "-

la sortie, les sauva, —J sont les régimes qui

leur rendit leur pre- Jsl ^ ■ tirent sur le peuple

mière forme, et les X , . 1 IJOur se maintenir

présenta au monde f-■j2'c<> Il au Pouv°ir- -Le pre-

entier comme de vé- MfV^ *~ !lf' l! mier Empire, le se-
ri table s extraits de r/r/ .z^" '] conQ Empire subi-
Saturne. WVy ) ixjl rent les mêmes con-
gés Titans, des- !—-r^-^N * V ^QP^1 Ç$ séquences de leur
ce ridants de Titan, ^ i ^^7/ f"'v/ .*^C^ f r3 /V "\ origine. Il en fut
leur père, qui leur J MaÀ-^ _J ^ f À \ de même pour l'em-
avait transmis sou m^-'^-jû 1 O l> / \ if^-r-s ' pire de JuPiler> qui
nom de famille, se (0 j / if TT □ W I^TXAp disparut un jour,

croyant ainsi frus- / W y L- <~-£t~F----±=^ (Â^lM 5 emporté par latour-

trés de leurs droits / / / ,/ ^ [ s==tJssss*^ & mente révolutionnai-

civils et politiques, \ W\\ \ T / / re-

serévoltérentcontre ^/yf L ✓—-v\ >\ ...../rH^c^j Adrien Vély.

Saturne er, tentèrent
de le détrôner. Ce

...... 1 c t vW i v / / >*i>nï\l*:__~ T^-^ ÎK Une fâcheuse er-

n'etait pas chose fa- | \W \ \J J / < fffl--<--\*£-> , s? 7 „____, , „ , .

cilft car 1p trônp dp », / ^-Jf \ J C <i»--L—--L_?Jc2_^ ~4 reur typographique

q ?' « JMf* ? f î I // / f O^V^>3^ *- -— — a fait lire dans le

Saturne était situe ^ \L/ ^i. / *o ^ \ jrvV^w^ 1 , • m,

<. j> ?/ miu*-»\ t Xx^***^\ 1 ■ ■ 1 iimi[iMLUj..i_____ dernier numéro, au-

au sommet dune >// <aàr* âBW * \ f 1 \ \ *ww**» .„„ , ' •

montagne appelée i t\ ¥ <ÎU W^^^^-dessou^d un dessin

Olympe, dont l'as- Jf f J i^S^^^ £ft bonne femme d'en

cension etail rendue /y x ■--:Ja> «8i>,***i^\y"->s3 \l

extrêmement diffi- %sw&LS^ V_^XJ^ haut qui sue sur son

•1 t -il >f-*°* ac~^&*) \<\f % \f - ^ mari. » Quel le hor-

cile et périlleuse par / --~-r^**&^ , )yj^X-^=^&^^ rpur'« Fllp/i?//wr

l'absence de tout fu- f " - reur. « Lue /atisiier

niculaire son mari » tout sim-

— Vous avez-t'y des œufs? plement! !

Les Titans eurent

Des blancs ou des rouges? \t n t o

alors une idée inge- __ j ça fajt rjen . c'est pQur falre a (a COque. Dessin de j. dharm

r. ,, | D . LE CRIMINEL DE BON GOUT

nieuse. De même que Ion entasse le Bottin
de Paris sur celui des départements, de ma-
nière à exhausser un enfant de trois ans
jusqu'à la table de la salle à manger, de
même ils pensèrent à entasser de petites
montagnes pour atteindre le sommet de la
grande. Ils placèrent d'abord le mont Ossa.
Voyant qu'il était insuffisant, ils placèrent
sur le mont Ossa, le mont Pélion. Mais ils
étaient loin encore d'être à la hauteur.

Ils eurent alors l'idée, moins heureuse, de
tirer Ossa de dessous Pélion etde le mettre
dessus, puis d'entasser de nouveau Pélion
sur Ossaet ainsi de suite. Et ils demeuraient
stupéfaits de voir que ces entassements
successifs ne les faisaient pas avancer d'un
pouce, et qu'ils restaient au même niveau.

Pendant ce temps-là, le petit Jupiter,
âgé d'un an, jouait dans la cuisine. Ses pa-
rents lui avaient défendu de s'amuser avec
la poudre, qui était enfermée dans un py-
rogène, dans le haut d'une armoire. L'en-
fant, malgré cette défense, grimpa sur une
table, atteignit le pyrogène, s'empara de la
poudre et s'amusa à la jeter sur les Titans.
- Pourquoi tu pleures ? Ceux-ci furent naturellement exterminés

-f- Le docteur m'assure que ça y est... ; tu m'as jusqu'au dernier. _ vous refusez la dernière cigarette ?

tait un petit noir. . La révolte était étouffée dans le sang. Mais n,,; rnnn^ipnr • i'en veux une roulée dans

blo»^0"50'6-101 ; ;'e n1±SÏL.dM e« là pour prouver qu'éphfmères «^^l"

LIQUEUR 'liSiafe!iai|BWH^ia Exquise Digestive