6io
E. AMÉLINEAU
npoccÇopav ^qcooTTïi uTqfyios eftoX ^qqj juLn(AA7r)cTHpion gn (ït<3'ï)'s JLtn^i^)-
uoïtoc ô>.q(T)^q ^ran (TeT)pdoi(e^)iv ït.....n.....n.....to& *.nà. (n^)^tojmo
js.qp ujrtHpe eu^vTe a^q^ neqoTOï egoim en^jiVKOtioc eTJUiuidw'Y i^quie^ eia/rq
ju.Ai.oq Kô.Xooc (ô.)qcoTroi>ïtq (evq)feojK eneq(jutx) itnecon jg^ïiTOTO&. crn^ïc e&oX.
mior *à.e ^^ôwîijvCïoc es. n-xoesc gen rm epoi k^ïi eT&e T^i\SLxe\ïiK 1 k^h eqoTiouj
eose eocy ojui neqneTOir(jv.&&). . . julo. . . too-y.....se.....^e.....nnoTTe. . .
cyygoo.....sue ïmeTcry^^&. ^cujoone ■à.e ïtTepoTKôv tctîa^ïc eÊo\ ^q^; neqoiroi
epen enpu)A*.e. (-ïe-).....ic.....n..........^T(o ^.....exooq e.....
ïit neTcry^^fc). . . Rcooim.....ktor ne.....«vy co.....cirre X.00!?^ TH)pc
d^Tca. . . juLniiov(Te). . . ngK. . . neoses.!. . . eiu^se. . . T^neq. . . p ovoem. . .
ecjju>c. . . ne. . . «se. . . jutoi.....eio)t ju.nn^'Y eR^gep^TR c^jul neKyci^cTHpion
ju.noo*Y ck^- ju.njui'ycTHpïOH n&i'x.2 jutnA^oc Mit^ eT-xï^Ronoc3 ena>. neKÀHpi-
roc ne dvqei se eqn&.'Xï eiàoAgiTOOTR utnjutircTHpion. vtTepeR^ *xe njunrcTH-
pion eneq^i-s ^sn^'y en^c^eAoc €Tà.gep^Tq njutJLi^R ^q^ijTq gn neqcyi^)
ô^qR^^q g^i^ju.) nee^Tcïis.cT(H)pïon nRec(on) KTepemevY epoq ^ip ujn(Fi)pe
ne-xaa n^q se ^.rc(ot)- (-ï<~-) oonq. nes^q n^i se &.ge. ôvKor «2k.e ôviTpeTuioTTe
il vit l'ange de l'offrande qui étendit la main, enleva le mystère des mains du
diacre et le mit sur la table..........apa Pakhôme fut rempli d'admiration
grandement, il s'approcha de ce diacre, il le regarda bien, il le connut et s'en
alla une autre fois à sa place jusqu'à ce que l'on congédiât l'assemblée. Mais
moi, Athanase, le Seigneur me cacha cela, soit à cause de ma négligence, soit
qu'il voulait être glorifié dans ses saints...............................
........................ Il arriva, lorsqu'on eut congédié l'assemblée,
qu'il s'approcha de l'homme........................................
.................................................. pays tout entier
à l'heure où tu t'es tenu aujourd'hui, distribuant le mystère dans les mains
du peuple, j'ai vu un diacre qui était du clergé, il est venu pour recevoir de
toi le mystère. Lorsque tu as donné le mystère entre ses mains, j'ai vu un
ange qui se tenait debout avec toi, il l'a pris de ses mains, il l'a placé sur le
sanctuaire une autre fois. Lorsque je l'ai eu vu, j'ai admiré; je lui ai dit:
i. Lisez : T<s.*>AieAei*i. —■ 2. Lisez : ens'is*. — 3. Lisez : eois"a.ie«.KOitoc.
E. AMÉLINEAU
npoccÇopav ^qcooTTïi uTqfyios eftoX ^qqj juLn(AA7r)cTHpion gn (ït<3'ï)'s JLtn^i^)-
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ô^qR^^q g^i^ju.) nee^Tcïis.cT(H)pïon nRec(on) KTepemevY epoq ^ip ujn(Fi)pe
ne-xaa n^q se ^.rc(ot)- (-ï<~-) oonq. nes^q n^i se &.ge. ôvKor «2k.e ôviTpeTuioTTe
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moi, Athanase, le Seigneur me cacha cela, soit à cause de ma négligence, soit
qu'il voulait être glorifié dans ses saints...............................
........................ Il arriva, lorsqu'on eut congédié l'assemblée,
qu'il s'approcha de l'homme........................................
.................................................. pays tout entier
à l'heure où tu t'es tenu aujourd'hui, distribuant le mystère dans les mains
du peuple, j'ai vu un diacre qui était du clergé, il est venu pour recevoir de
toi le mystère. Lorsque tu as donné le mystère entre ses mains, j'ai vu un
ange qui se tenait debout avec toi, il l'a pris de ses mains, il l'a placé sur le
sanctuaire une autre fois. Lorsque je l'ai eu vu, j'ai admiré; je lui ai dit:
i. Lisez : T<s.*>AieAei*i. —■ 2. Lisez : ens'is*. — 3. Lisez : eois"a.ie«.KOitoc.