MADAME BERTHE GIRARDET
de ta vérité parttcuhere
des pavs et des races. En
effet, Girardet a voyagé.
Ette a séjourné en Espagne,
en Afrique. Elle conte
avec pittoresque ta halte
qu'etle et son mari tirent
auprès de Ben Gana, aga
des Ibans, tes péripéties
de ta route, ta féerie des
heures, tes fantasias, tes
travestissements somptueux,
le travail poursuivi à tra-
vers les distractions et les
aventures, la pierre qu'il
fallait broyer , mélanger
d'eau, pour suppléer l'ar-
gile. Je GM pas vu Es
statuettes orientales de
Girardet. Elles sont,
j'en suis sûr, animées, co-
lorées et plaisantes. Je
doute, néanmoins, qu'elles
égalent l'éloquence de /TDz-
/Û7?f et du Auz'77 ühhft'-.
Dans ces deux
dernières créations M"" B.
Girardet vient de s'exprimer toute entière,
avec les richesses d'àme et de cœur que nous
vénérons en chaque femme, que peu de femmes
pourtant savent réaliser plastiquement. «Tout
vestige d'art, constate Edgar Poë, est un com-
T*07^7*zzù de Af. GnvzrdcZ
mencement de sollicitude et d'intérêt hu-
mains)). Les plâtres de Girardet affirment
la volonté de proclamer par l'œuvre d'art
l'inhnie pitié de la femme pour la souffrante
humanité. ALBERT THOMAS.
1 tq
Af<2Ze7*7?ùë
de ta vérité parttcuhere
des pavs et des races. En
effet, Girardet a voyagé.
Ette a séjourné en Espagne,
en Afrique. Elle conte
avec pittoresque ta halte
qu'etle et son mari tirent
auprès de Ben Gana, aga
des Ibans, tes péripéties
de ta route, ta féerie des
heures, tes fantasias, tes
travestissements somptueux,
le travail poursuivi à tra-
vers les distractions et les
aventures, la pierre qu'il
fallait broyer , mélanger
d'eau, pour suppléer l'ar-
gile. Je GM pas vu Es
statuettes orientales de
Girardet. Elles sont,
j'en suis sûr, animées, co-
lorées et plaisantes. Je
doute, néanmoins, qu'elles
égalent l'éloquence de /TDz-
/Û7?f et du Auz'77 ühhft'-.
Dans ces deux
dernières créations M"" B.
Girardet vient de s'exprimer toute entière,
avec les richesses d'àme et de cœur que nous
vénérons en chaque femme, que peu de femmes
pourtant savent réaliser plastiquement. «Tout
vestige d'art, constate Edgar Poë, est un com-
T*07^7*zzù de Af. GnvzrdcZ
mencement de sollicitude et d'intérêt hu-
mains)). Les plâtres de Girardet affirment
la volonté de proclamer par l'œuvre d'art
l'inhnie pitié de la femme pour la souffrante
humanité. ALBERT THOMAS.
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