CLÉMENTINE-HÉLÈNE DUEAU
tent de mieux distinguer deux termes que
tous à quetque heure nous avons confon-
dus; car Corrège nous apparait aujourd'hui
comme ie peintre suprême du h<?
pzrre, tandis que M"" Dufau traduisit sous
parvient à animer les vestiges; ce n'est là
que l'impression d'un sentiment que nous
comprenons en sachant que nous ne l'éprou-
verons plus. L'inquiétude de nos cons-
ciences et le poids des pensées qui s'y agi-
des formes diverses l'unique yoz'e he izzi'zœ
qui la hante.
Entre ces deux mots hozz/zezzz* et ^'oz'e
toute la différence d'àme se tient; tout ce
que l'un renferme de quiétude, de charme
reposé et de pacifiante séduction ne peut
plus être atteint qu'en nous-mêmes au fond
des consciences où se reconstituent les sen-
timents qui n'ont plus de vie réelle, et dont
la puissance éphémère de quelque pensée
ZD;g*7ZÉ'ZZ.$e (Photographie Crevaux)
tent nous interdisent désormais ie hozz/zezzz*
<ie izzvzœ, la paix profonde dont il s'impré-
gnait s'émeut de notre nécessité d'agir;
mais si la face calme du Destin s'est dé-
tournée de nous, sa face active qu'est la
joie nous attire, et nous pouvons l'atteindre
de toute la force de notre activité de pen-
sée, de toute la beauté de nos gestes ; ainsi,
pour nous en convaincre, demeure admi-
rable l'œuvre entreprise par Dufau et,
203
tent de mieux distinguer deux termes que
tous à quetque heure nous avons confon-
dus; car Corrège nous apparait aujourd'hui
comme ie peintre suprême du h<?
pzrre, tandis que M"" Dufau traduisit sous
parvient à animer les vestiges; ce n'est là
que l'impression d'un sentiment que nous
comprenons en sachant que nous ne l'éprou-
verons plus. L'inquiétude de nos cons-
ciences et le poids des pensées qui s'y agi-
des formes diverses l'unique yoz'e he izzi'zœ
qui la hante.
Entre ces deux mots hozz/zezzz* et ^'oz'e
toute la différence d'àme se tient; tout ce
que l'un renferme de quiétude, de charme
reposé et de pacifiante séduction ne peut
plus être atteint qu'en nous-mêmes au fond
des consciences où se reconstituent les sen-
timents qui n'ont plus de vie réelle, et dont
la puissance éphémère de quelque pensée
ZD;g*7ZÉ'ZZ.$e (Photographie Crevaux)
tent nous interdisent désormais ie hozz/zezzz*
<ie izzvzœ, la paix profonde dont il s'impré-
gnait s'émeut de notre nécessité d'agir;
mais si la face calme du Destin s'est dé-
tournée de nous, sa face active qu'est la
joie nous attire, et nous pouvons l'atteindre
de toute la force de notre activité de pen-
sée, de toute la beauté de nos gestes ; ainsi,
pour nous en convaincre, demeure admi-
rable l'œuvre entreprise par Dufau et,
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