L'ART A L'ÉCOLE
DÉCORATION D'ÉCOLES A ANVERS'
A NVERS, la grand'viUe aux nobles ordon-
/Y nancements, est une source d'inspiration
pour Fart scolaire. C'est d'ailleurs, disons-le
de suite, dans les locaux de l'enseignement
communal, de préférence à ceux de l'État
belge, que nous trouverons de quoi puiser.
la chaux et conseillait une peinture riante,
entr'autres le vert d'eau. Mais l'Enseigne-
ment communal d'Anvers, bien doté, savam-
ment conduit par son inspecteur en chef,
M. J.-A. Van Hoof, va autrement nous
séduire, et montrer ce qu'on peut faire en
On sait que partout, en France et ail-
leurs, la question de la peinture et de la
décoration des murs a passionné les péda-
gogues. Dernièrement encore, au Congrès
international d'Éducation et de Protection
de l'Enfance qui fut tenu à Liège en sep-
tembre igo5, un inspecteur, M. D. Bareiihes,
combattit énergiquement le blanchissage à
i Cf. Z/Ar? b ZZfco/e; Abaye/fe.? pancartes
??n;r<3/e.y, Z,'Ar? Z)<?con3?(/* de Mars 1906. —
Z/Z?7H3g*er:'e .yco/aire e?! Z?e/gT%ae, jRevae
du i3 Novembre 1006.
l'espèce : de la joie partout, unie au senti-
ment de l'art, du sol et du foyer. Dans les
vestibules, dans les préaux couverts, la statue
de la Vaterland, appuyée sur le lion, l'éten-
dard et la loi, avec la devise: «Honore ta
Patries. Des fêtes: le 21 juillet de chaque
année, plus de vingt mille élèves défilent le
long de l'Escaut en clamant leur enthou-
siasme juvénile. Et, si nous nous transpor-
tons dans les écoles primaires, nous trouvons
l'art et la décoration jusque dans les retraits
les plus intimes.
Au n" tq rue Albert, dans la cour, des
DÉCORATION D'ÉCOLES A ANVERS'
A NVERS, la grand'viUe aux nobles ordon-
/Y nancements, est une source d'inspiration
pour Fart scolaire. C'est d'ailleurs, disons-le
de suite, dans les locaux de l'enseignement
communal, de préférence à ceux de l'État
belge, que nous trouverons de quoi puiser.
la chaux et conseillait une peinture riante,
entr'autres le vert d'eau. Mais l'Enseigne-
ment communal d'Anvers, bien doté, savam-
ment conduit par son inspecteur en chef,
M. J.-A. Van Hoof, va autrement nous
séduire, et montrer ce qu'on peut faire en
On sait que partout, en France et ail-
leurs, la question de la peinture et de la
décoration des murs a passionné les péda-
gogues. Dernièrement encore, au Congrès
international d'Éducation et de Protection
de l'Enfance qui fut tenu à Liège en sep-
tembre igo5, un inspecteur, M. D. Bareiihes,
combattit énergiquement le blanchissage à
i Cf. Z/Ar? b ZZfco/e; Abaye/fe.? pancartes
??n;r<3/e.y, Z,'Ar? Z)<?con3?(/* de Mars 1906. —
Z/Z?7H3g*er:'e .yco/aire e?! Z?e/gT%ae, jRevae
du i3 Novembre 1006.
l'espèce : de la joie partout, unie au senti-
ment de l'art, du sol et du foyer. Dans les
vestibules, dans les préaux couverts, la statue
de la Vaterland, appuyée sur le lion, l'éten-
dard et la loi, avec la devise: «Honore ta
Patries. Des fêtes: le 21 juillet de chaque
année, plus de vingt mille élèves défilent le
long de l'Escaut en clamant leur enthou-
siasme juvénile. Et, si nous nous transpor-
tons dans les écoles primaires, nous trouvons
l'art et la décoration jusque dans les retraits
les plus intimes.
Au n" tq rue Albert, dans la cour, des