DOI Heft:
No. 10 (3. Juillet 1887) – No. 19 (4 Septembre 1887)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.25560#0066
L’ART FRANÇAIS
M. DE RONCHAUD
L’administrateur général des Musées nationaux, M. Louis de
-Ronchaud, est mort subitement, jeudi dernier, à Saint-Germain-
en-Laye.
M. de Ronchaud avait débuté dans les lettres par une série de
poésies fort appréciées et qu’il réunit plus tard en un volume,
sous ce titre : Le s Heures. Tout récemment encore, il publiait un
nouveau recueil de vers d’un sentiment mélancolique poussé par-
fois jusqu’au pessimisme.
Bientôt, Louis de Ronchaud avait abordé avec succès les études
d’histoire et d’archéologie. On a de lui, notamment, les Etudes
d’histoire politique et religieuse, la préface des iMémoires et du Ma-
nuscrit de ma mère, de Lamartine. On doit aussi à ce fin lettré
une excellente édition du Théâtre de Rotrou, parue, il y a quelques
années, chezjouaust.
Comme critique d’art, M. de Ronchaud a collaboré à nombre
de revues et de publications, et, sans doute, ses intéressants tra-
vaux seront recueillis, car ils peuvent servir efficacement à l’his-
toire de l’art contemporain. Rappelons qu’il a donné, en 1861,
Phidias, sa vie et ses œuvres, et qu’il a signé beaucoup d’articles
dans le Dictionnaire des antiquités grecques et romaines.
Nous avons, tout-à-l’heure, parlé de « pessimisme. » On se
tromperait fort si l’on jugeait de l’homme sur ce mot. M. de Ron-
chaud, dans l’intimité comme dans ses fonctions administratives,
était le causeur le plus aimable, et ceux qui l’ont approché gar-
deront le meilleur souvenir de ce fonctionnaire doublé d’un
érudit.
Ne en Franche-Comté, à Lons-le-Saulnier, disent les uns, et
selon les autres, dans le petit village de Saint-Lupicin, près Saint-
Claude (jura), où il possédait une vaste propriété, délicieuse
retraite, située à deux pas de la demeure d’un jeune poète, M. Fé-
lix Jeantet, l’auteur des Plastiques, — M. de Ronchaud avait tou-
jours réservé ses plus vives sympathies aux Francs-Courtois de
Paris, quels que fussent leur « situation, » leur rang social, et il
était l’ami de M. Jules Grévy, président de la République, en
même temps qu’il honorait de son affection l’humble rédacteur
de l’Art Français, celui-là môme qui écrit ces lignes attristées...
Il était l’admirateur passionné des paysages de MM. Pointelin,
Rapin,etc.,etdèsqu’unjeunetalentlittéraireouartistiquc surgissait
et venait grossir notre jeune école franc-comtoise, tout de suite
la haute protection du directeur des Musées lui était acquise.
C’est donc au nom de tous les Francs-Comtois que j’essaie
d’exprimer, ici, les plus sincères regrets. Mais combien n’avons-
nous pas à féliciter M,le Joséphine Houssay, l’excellente artiste
dont le pinceau nous a conservé si fidèlement les traits de notre
éminent compatriote ?
F. J.
LE CONCOURS DU PRIX DE ROME
SCULPTURE
L’exposition du Concours de Sculpture a ouvert ses portes le 27 juillet,
et le jugement a été rendu le 29 juillet.
Le grand prix a été décerné à M. Boutrv (Ldgar-llenri), né le 13 jan-
vier 1857, à Lille, élève de M. Cavelier.
Premier second grand prix : M. üesvergnes (Jean-Charles), né le 19
août 1860, à Bellegarde (Loiret), élève de MM. Thomas et Ghapu.
Deuxième second grand prix : M. Soulès (Jean-Baptiste-Félix, né le
14 octobre 1857, à Jauze (Gers), élève de MM. Joulfroy et Falguière,
Nous donnerons, dans notre prochain numéro, le jugement du concours
pour le grand prix d’architecture..
A ce propos, un de nos confrères, M. Ernest Hoschedé, le sympathique
critique d'art de l'Evénement, a voulu revoir tous les anciens prix de
Rome exposés, comme on sait, dans une des salles de l’Ecole et voici com-
ment il rend compte de cette visite :
« Je les ai retrouvés là tous, ces glorieux de l’art français.
» J’ai revu les prix de Dumont et de Duret, lauréats de 1823; Danton,
1828 ; Joulfroy, 1832 ; Simart, 1833 ; Cavalier, 1842, et partout j’essayais
de retrouver si l’avenir du maître était marqué dans ce premier succès.
» Le prix de Delaplanc.be, 1864, Ulysse tendant son arc, est bien de la
grande race nationale.
» Je songeais devant la Figure académique, de M. Guillaume, et je me
rappelais que le maître était reçu licencié en droit le même jour où il
était couronné prix de Rome.
» Je saluais Hiolle et Gumery, tous deux morts aujourd’hui, bien jeunes,
hélas !
» Les prix de Carpeaux et de Falguière me laissèrent quelque peu trou-
blé par leur sentiment quelque peu classique.
» L'Hercule, de Mercié, me parut timide. Le prix de M. Barrias, incolore.
» J’applaudis fort l'Orphée, de M. Injalbert, l’heureux décoré du
14 juillet, et après un dernier coup d’œil au prix de M. Capellaro, le lau-
réat de 1886, je me rendis à la salle d’exposition. »
PEINTURE
L’exposition du concours de peinture a eu lieu le 29 juillet. Le sujet du
concours était :
« Thémistocle exilé d’Athènes, alla chercher un asile chez le roi des
Molosses, Admète, puis chez le roi des Perses, Artaxercès lRr, qui lui donna
une magnifique hospitalité, mais qui voulut lui faire porter les armes contre
la Grèce. Pour ne pas être forcé de lui obéir, Thémistocle cm milieu des
siens but le poison en disant : Voilà le dernier sacrifice que je fais à
ma patrie. » Plutarque.
Voici les noms des lauréats :
Grand prix : M. Danger (Henri-Camille), élève de MM. Gérôme et
Millet, né le 31 janvier 1857, à Paris.
Premier second grand prix : M. Marioton (Jean-Alfred), élève de MM.
Bouguereau et T. Robert-Fleury, né le 3 septembre 1863, à Paris.
Deuxième second grand prix : M. Charpentier (Louis-Gustave-Amédée),
élève de MM. Bouguereau et Robert-Fleury, né le 4 février 1858, à Paris
M. Danger reçoit, en outre, sept cent cinquante francs, du legs de
M"10 Leprince.
M. Marioton bénéficie de la somme de mille francs donnée par Mme la
duchesse de Cambacérès.
Prime de « I’Art Français »
A partir d’aujourd’hui, et sur la demande d’un grand nombre de-
nos correspondants, nous tenons, a titre de prime, à la disposition de
nos lecteurs, de très beaux cartons destinés à recueillir la collection
d’une année de T Art Français.
Ces cartons, pris dans nos bureaux, seront livrés au prix de deux
francs.
Pour la province, le port en sus.
F Art Français a déjà publié :
N» d. — A. Brouillet. Une leçon tic Clinique à la Salpêtrière. — Rochegrosse (Georges). La
Curée.
.V 2. — . Bertrand. Portrait île J.-F. Millet. — Pkrat-Ponsan. Portrait de M. le général
Boulanger. — Deschamps (Louis). Le sommeil de Jésus.
N° .1. — P.iHOT (Th.). Vieille femme. — Fouitié (Albert). Un repas de noces à Yport. — Daxtan
(Edouard). Un moulage sur nature.
N” 4.—Boisseau. La défense du foyer (groupe marbre). - Carolus-Puran. Andromède. —
Dameuo.n (K.-G.). La Marchande de volailles de Cernay-la-Ville.
N» 5. — Trupiieme (François). Buste de Babelais.— Falguière (A.). Diane, statue marbre.
— Garnier (Jules). Vivez- joyeux !
N» 0. — La Parle Saint-Denis restaurée. — Gilbert (René). Pécheur à la ligne. — Deyrolle
(Théophile). Joueurs de boules.
N” 7. — E. L. Le Qijësnk. Le Faune dansant. — Fremiet. Gorille. — Feyen-Perrin. La
Couleuvre.
N» 8. — Coûtas. La Dénommée, groupe bronze. — H. Brispot. Surpris par l’Orage. —
A.-E. Pointklin. Chêne A la nuit tombante.
X» g. — Yeri.et (Raoul-Charles'. La douleur d’Orphée. — Gervkx (Henry). Avant l’opération.
Heilruth (Ferdinand). Jour d’été.
N» 10. — A.-F. Clément. Frédéric Mistral. — Edmond Picard. Un Marché. — N. Sicard-
Après le Duel.
N» 11. „ Steuer (Bernard). Le Secret surpris. — Cormon. Les Vainqueurs de Salamine. —
Saint-Pierre. Xina.
N" 12. — Doucher. Vaincre nu mourir. — Story (Julian). Episode des massacres de septem-
bre 17V2. — Mm” La Violette (Elodie). Marée montante à la Trinité-sur-Mer ; —
baie de Quiberon.
N” 13. — Révillon (Ernest). Naufragé. — Sciierrer (Jean-Jacques). Jeanne d’Arc, victorieuse
des Anglais, rentre à Orléans et est acclamée par la population. — Raquette
(Georges). La femme du matelot.
No H. — M"° Beaury-Saurel. M. Barthélemy-Saiut-llilaire. — Béraud (Jean). Au Palais.
Dumoulin. Place du Carrousel.
N° 15. — P. Granët. Jeunesse et Chimère. — Eliot. Le Jour des prix. — Joseph Bail. Le
Marmiton.
Le gérant : S1LYESTRE.
Paris. - Glyptoçraphie StLVESTRE 4 G1", rue Oberltampf, 97.
M. DE RONCHAUD
L’administrateur général des Musées nationaux, M. Louis de
-Ronchaud, est mort subitement, jeudi dernier, à Saint-Germain-
en-Laye.
M. de Ronchaud avait débuté dans les lettres par une série de
poésies fort appréciées et qu’il réunit plus tard en un volume,
sous ce titre : Le s Heures. Tout récemment encore, il publiait un
nouveau recueil de vers d’un sentiment mélancolique poussé par-
fois jusqu’au pessimisme.
Bientôt, Louis de Ronchaud avait abordé avec succès les études
d’histoire et d’archéologie. On a de lui, notamment, les Etudes
d’histoire politique et religieuse, la préface des iMémoires et du Ma-
nuscrit de ma mère, de Lamartine. On doit aussi à ce fin lettré
une excellente édition du Théâtre de Rotrou, parue, il y a quelques
années, chezjouaust.
Comme critique d’art, M. de Ronchaud a collaboré à nombre
de revues et de publications, et, sans doute, ses intéressants tra-
vaux seront recueillis, car ils peuvent servir efficacement à l’his-
toire de l’art contemporain. Rappelons qu’il a donné, en 1861,
Phidias, sa vie et ses œuvres, et qu’il a signé beaucoup d’articles
dans le Dictionnaire des antiquités grecques et romaines.
Nous avons, tout-à-l’heure, parlé de « pessimisme. » On se
tromperait fort si l’on jugeait de l’homme sur ce mot. M. de Ron-
chaud, dans l’intimité comme dans ses fonctions administratives,
était le causeur le plus aimable, et ceux qui l’ont approché gar-
deront le meilleur souvenir de ce fonctionnaire doublé d’un
érudit.
Ne en Franche-Comté, à Lons-le-Saulnier, disent les uns, et
selon les autres, dans le petit village de Saint-Lupicin, près Saint-
Claude (jura), où il possédait une vaste propriété, délicieuse
retraite, située à deux pas de la demeure d’un jeune poète, M. Fé-
lix Jeantet, l’auteur des Plastiques, — M. de Ronchaud avait tou-
jours réservé ses plus vives sympathies aux Francs-Courtois de
Paris, quels que fussent leur « situation, » leur rang social, et il
était l’ami de M. Jules Grévy, président de la République, en
même temps qu’il honorait de son affection l’humble rédacteur
de l’Art Français, celui-là môme qui écrit ces lignes attristées...
Il était l’admirateur passionné des paysages de MM. Pointelin,
Rapin,etc.,etdèsqu’unjeunetalentlittéraireouartistiquc surgissait
et venait grossir notre jeune école franc-comtoise, tout de suite
la haute protection du directeur des Musées lui était acquise.
C’est donc au nom de tous les Francs-Comtois que j’essaie
d’exprimer, ici, les plus sincères regrets. Mais combien n’avons-
nous pas à féliciter M,le Joséphine Houssay, l’excellente artiste
dont le pinceau nous a conservé si fidèlement les traits de notre
éminent compatriote ?
F. J.
LE CONCOURS DU PRIX DE ROME
SCULPTURE
L’exposition du Concours de Sculpture a ouvert ses portes le 27 juillet,
et le jugement a été rendu le 29 juillet.
Le grand prix a été décerné à M. Boutrv (Ldgar-llenri), né le 13 jan-
vier 1857, à Lille, élève de M. Cavelier.
Premier second grand prix : M. üesvergnes (Jean-Charles), né le 19
août 1860, à Bellegarde (Loiret), élève de MM. Thomas et Ghapu.
Deuxième second grand prix : M. Soulès (Jean-Baptiste-Félix, né le
14 octobre 1857, à Jauze (Gers), élève de MM. Joulfroy et Falguière,
Nous donnerons, dans notre prochain numéro, le jugement du concours
pour le grand prix d’architecture..
A ce propos, un de nos confrères, M. Ernest Hoschedé, le sympathique
critique d'art de l'Evénement, a voulu revoir tous les anciens prix de
Rome exposés, comme on sait, dans une des salles de l’Ecole et voici com-
ment il rend compte de cette visite :
« Je les ai retrouvés là tous, ces glorieux de l’art français.
» J’ai revu les prix de Dumont et de Duret, lauréats de 1823; Danton,
1828 ; Joulfroy, 1832 ; Simart, 1833 ; Cavalier, 1842, et partout j’essayais
de retrouver si l’avenir du maître était marqué dans ce premier succès.
» Le prix de Delaplanc.be, 1864, Ulysse tendant son arc, est bien de la
grande race nationale.
» Je songeais devant la Figure académique, de M. Guillaume, et je me
rappelais que le maître était reçu licencié en droit le même jour où il
était couronné prix de Rome.
» Je saluais Hiolle et Gumery, tous deux morts aujourd’hui, bien jeunes,
hélas !
» Les prix de Carpeaux et de Falguière me laissèrent quelque peu trou-
blé par leur sentiment quelque peu classique.
» L'Hercule, de Mercié, me parut timide. Le prix de M. Barrias, incolore.
» J’applaudis fort l'Orphée, de M. Injalbert, l’heureux décoré du
14 juillet, et après un dernier coup d’œil au prix de M. Capellaro, le lau-
réat de 1886, je me rendis à la salle d’exposition. »
PEINTURE
L’exposition du concours de peinture a eu lieu le 29 juillet. Le sujet du
concours était :
« Thémistocle exilé d’Athènes, alla chercher un asile chez le roi des
Molosses, Admète, puis chez le roi des Perses, Artaxercès lRr, qui lui donna
une magnifique hospitalité, mais qui voulut lui faire porter les armes contre
la Grèce. Pour ne pas être forcé de lui obéir, Thémistocle cm milieu des
siens but le poison en disant : Voilà le dernier sacrifice que je fais à
ma patrie. » Plutarque.
Voici les noms des lauréats :
Grand prix : M. Danger (Henri-Camille), élève de MM. Gérôme et
Millet, né le 31 janvier 1857, à Paris.
Premier second grand prix : M. Marioton (Jean-Alfred), élève de MM.
Bouguereau et T. Robert-Fleury, né le 3 septembre 1863, à Paris.
Deuxième second grand prix : M. Charpentier (Louis-Gustave-Amédée),
élève de MM. Bouguereau et Robert-Fleury, né le 4 février 1858, à Paris
M. Danger reçoit, en outre, sept cent cinquante francs, du legs de
M"10 Leprince.
M. Marioton bénéficie de la somme de mille francs donnée par Mme la
duchesse de Cambacérès.
Prime de « I’Art Français »
A partir d’aujourd’hui, et sur la demande d’un grand nombre de-
nos correspondants, nous tenons, a titre de prime, à la disposition de
nos lecteurs, de très beaux cartons destinés à recueillir la collection
d’une année de T Art Français.
Ces cartons, pris dans nos bureaux, seront livrés au prix de deux
francs.
Pour la province, le port en sus.
F Art Français a déjà publié :
N» d. — A. Brouillet. Une leçon tic Clinique à la Salpêtrière. — Rochegrosse (Georges). La
Curée.
.V 2. — . Bertrand. Portrait île J.-F. Millet. — Pkrat-Ponsan. Portrait de M. le général
Boulanger. — Deschamps (Louis). Le sommeil de Jésus.
N° .1. — P.iHOT (Th.). Vieille femme. — Fouitié (Albert). Un repas de noces à Yport. — Daxtan
(Edouard). Un moulage sur nature.
N” 4.—Boisseau. La défense du foyer (groupe marbre). - Carolus-Puran. Andromède. —
Dameuo.n (K.-G.). La Marchande de volailles de Cernay-la-Ville.
N» 5. — Trupiieme (François). Buste de Babelais.— Falguière (A.). Diane, statue marbre.
— Garnier (Jules). Vivez- joyeux !
N» 0. — La Parle Saint-Denis restaurée. — Gilbert (René). Pécheur à la ligne. — Deyrolle
(Théophile). Joueurs de boules.
N” 7. — E. L. Le Qijësnk. Le Faune dansant. — Fremiet. Gorille. — Feyen-Perrin. La
Couleuvre.
N» 8. — Coûtas. La Dénommée, groupe bronze. — H. Brispot. Surpris par l’Orage. —
A.-E. Pointklin. Chêne A la nuit tombante.
X» g. — Yeri.et (Raoul-Charles'. La douleur d’Orphée. — Gervkx (Henry). Avant l’opération.
Heilruth (Ferdinand). Jour d’été.
N» 10. — A.-F. Clément. Frédéric Mistral. — Edmond Picard. Un Marché. — N. Sicard-
Après le Duel.
N» 11. „ Steuer (Bernard). Le Secret surpris. — Cormon. Les Vainqueurs de Salamine. —
Saint-Pierre. Xina.
N" 12. — Doucher. Vaincre nu mourir. — Story (Julian). Episode des massacres de septem-
bre 17V2. — Mm” La Violette (Elodie). Marée montante à la Trinité-sur-Mer ; —
baie de Quiberon.
N” 13. — Révillon (Ernest). Naufragé. — Sciierrer (Jean-Jacques). Jeanne d’Arc, victorieuse
des Anglais, rentre à Orléans et est acclamée par la population. — Raquette
(Georges). La femme du matelot.
No H. — M"° Beaury-Saurel. M. Barthélemy-Saiut-llilaire. — Béraud (Jean). Au Palais.
Dumoulin. Place du Carrousel.
N° 15. — P. Granët. Jeunesse et Chimère. — Eliot. Le Jour des prix. — Joseph Bail. Le
Marmiton.
Le gérant : S1LYESTRE.
Paris. - Glyptoçraphie StLVESTRE 4 G1", rue Oberltampf, 97.