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Instytut Sztuki (Warschau) [Hrsg.]; Państwowy Instytut Sztuki (bis 1959) [Hrsg.]; Stowarzyszenie Historyków Sztuki [Hrsg.]
Biuletyn Historii Sztuki — 28.1966

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Nr. 2
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Kossakowska-Szanajca, Zofia: Materiały do dziejów manufaktur w Korcu i Horodnicy na początku XIX wieku
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Rottermund, Andrzej: Fryderyk Albert Lessel: materiały do życia i twórczości
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https://doi.org/10.11588/diglit.47789#0225
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MATERIAŁY DO DZIEJÓW MANUFAKTUR W KORCU I HORODNICY

la manufacture de porcelaine a Korzec et sur celle
de faience a Horodnica. Dans les listes d’habitants
de ces deux localites on peut trouver aussi les noms
et l’age des ouvriers des deux etablissements.
La manufacture de Korzec, fondee en 1784 sur
l’ordre du prince Joseph Czartoryski, etait une societe
par aotions (cent actions de mille zlotys chacune).
Elle fut au debut dirigee par un certain Franęois
Mezer, remplace par son frere Michel qui abandonna
son poste le 24 juin 1804. A cette epoque on y pro-
duisait aussi bien de la porcelaine que de la faience.
Le troisieme direeteur, qui succeda a Michel Mezer,
c’etait un Franęais, venu de la manufacture de
Sevres, nomme Meraud ou Merand. Or, d’apres l’in-
ventaire, Meraud „avait gaspille d’abord les 100 mille
zlotys du Capital de 1’entreprise et ensuite les 30 mille
zlotys empruntes au prince Czartoryski et qui devaient
servir a developper la production”. Meraud fut donc
eloigne et remplace par un autre Franęais, au nom
de Petion. Administrateur maladroit et peut-etre meme
malhonnete, Meraud avait completement iruine l’etablis-
sement, de sorte que les actionnaires, dont le nombre
attint entretemps 140, ne touchaient, jusqu’a 1811,
aucun interet.
La datę dhnauguration de la manufacture de Ho-
rodnica, jusqu’ici inconnue, a pu, elle aussi, etre
etablie d’apres l’inventaire en question: le jour du
1-er avril 1807 en a ete terminee la construction, aux
frais de la societe par actions, et c’est alors que la
production de faience fut transferee de Korzec a Ho-
rodnica. Par suitę des dettes que la manufacture de
Korzec avait contractees chez le prince et qui sont

passees ensuite aux successeurs de celui-ci, on decida,
en 1811, de leur ceder ce dernier etablissement.
En 1813, dans la manufacture de Korzec travail-
laient 124 ouvriers, pour la plupart Polonais et
Ukrainiens. L’inventaire ne parle pas des batiments de
la fabrique, puisque ceux-ci n’appartenaient pas au
prince mais aux actionnaires. Une image de l’epoque
nous les montre tels qu’ils etaient avant 1’incendie de
1797 (voir il. no 1), ensuite ils ont ete reconstruits en
partie en maęonnerie et en partie en bois.
La manufacture de Horodnica, situee au centre
de grandes forets, a cause d’une consommation con-
siderable de bois, se composait de quatre grands
batiments, de deux magasins, trois caves et d’autres
constructions auxiliaires. Une partie du personnel
etait logee sur le terrain de la fabrique. L’ensemble
etait ceint d’une palissade.
Aux alentours de la manufacture furent construites
plusieurs maisons d’habitation pour les ouvriers. Com-
me en temoignent les noms de ceux-ci, inscrits dans
l’inventaire, c’etaient presque exclusivement des Polo-
nais et des Ukrainiens.
L’argile pour la production de la porcelaine et de
la faience, on la puisait dans les rivieres voisines —
Slucz et Smółka.
La production annuelle de la manufacture de
Korzec representait une valeur de plus de 120 mille
zlotys, celle de Horodnica, de 100 mille zlotys en-
viron, ce qui constituait presque le double du cout
de construction de Horodnica (em/iron 60 mille zlotys).

ANDRZEJ ROTTERMUND

FRYDERYK ALBERT LESSEL

MATERIAŁY DO ŻYCIA I TWÓRCZOŚCI

i.
Dotychczasowe badania nad historią architektury
polskiej nie zajęły się bliżej postacią architekta Fry-
deryka Alberta Lessla. Działalności jego nie uwzględ-
niono w żadnym z syntetycznych opracowań archi-
tektury polskiej, a wzmiankowany był tylko przez
♦ Antyku! jest skrótem pracy magisterskiej, napisanej
pod kierunkiem prof. dr S. LORENTZA na Uniwersytecie
Warszawskim w r. 1963/64. Obciąłbym na Itym miejscu po-
dziękować prof. dr iS. LORENTZOWI za pokierowanie moją
pracą oraz dr T. S. JAROSZEWSKIEMU za szereg cennych
uwaig.
1 Przed wojną rękopisy te znajdowały się w Bibliotece
Narodowej, Zbiory Rappersiwilśkie, nr 63. W skład ich

badaczy warszawskiej architektury * przełomu XVIII
i XIX w. Ostatnia wojna przetrzebiła poważnie ma-
teriały dotyczące życia i twórczości architekta; spłonęły
tzw. „Papiery Lesslów” w Bibliotece NarodowejŁ,
dwa projekty przechowywane w zbiorach Biblioteki
Ordynacji Krasińskich2 oraz projekt pałacu Błękit-
nego w zbiorach Biblioteki Ordynacji Zamoyskich.

wchodziła Korespondencja, „Berechnung des jeinigen was
man mir schuldich ist seit meiner Ankunft aus Roma von
171)4” oraz szereg dokumentów, jak np. pośmiertny spis
inwentarza, nominacje iitp. Odpisy prof. Z. BATOWSKIEGO
znajdują się obecnie iw Archiwum PAN, Materiały prof.
Zygmunta Katowskiego, III-2 teczka 8q s. '433—538.
2 Archiwum PAN, Materiały prof. Z. Batowskiego, tecz-
ka 5, S. 1008.

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