ALEKSANDER JAŚKIEWICZ
U. 9. Gidle, klasztor OO. Dominikanów, Portret
trumienny nieznanej damy. (Fot. Krakowiak)
PORTRAITS INCONNUS SUR DES CERCUEILS DANS LE CLOITRE
DES PERES DOMINICAINS A GIDLE
Dans le cloitre des Peres Dominicains a Gidle,
district Radomsko, on trouve sur des cercueils sept
portraits et deux ecus armoriaux inconnus jusqu’ici
a la science polonaise. Ces portraits peints a l’huile
sur des tóles proviennent de la seconde moitie du
XVIIe siecle — a l’exceptian d’un seul qui semble
etre du XVIIIe siecle — et representent, comme
l’indiquent les armoiries figurant sur quelques-uns,
les anciens proprietaire de Gidle, les membres de
leurs familles ainsi que les bienfaiteurs de 1’ordre.
L’ensemble des peintures de Gidle — exemple de
la culture et des moeurs typiques pour la Pologne
a l’epoque du baroque, est le plus nombreux sur le
territoire du district de Radomsko et de celui de
Wieluń qui l’avoisine.
U. 9. Gidle, klasztor OO. Dominikanów, Portret
trumienny nieznanej damy. (Fot. Krakowiak)
PORTRAITS INCONNUS SUR DES CERCUEILS DANS LE CLOITRE
DES PERES DOMINICAINS A GIDLE
Dans le cloitre des Peres Dominicains a Gidle,
district Radomsko, on trouve sur des cercueils sept
portraits et deux ecus armoriaux inconnus jusqu’ici
a la science polonaise. Ces portraits peints a l’huile
sur des tóles proviennent de la seconde moitie du
XVIIe siecle — a l’exceptian d’un seul qui semble
etre du XVIIIe siecle — et representent, comme
l’indiquent les armoiries figurant sur quelques-uns,
les anciens proprietaire de Gidle, les membres de
leurs familles ainsi que les bienfaiteurs de 1’ordre.
L’ensemble des peintures de Gidle — exemple de
la culture et des moeurs typiques pour la Pologne
a l’epoque du baroque, est le plus nombreux sur le
territoire du district de Radomsko et de celui de
Wieluń qui l’avoisine.