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Addititons qui se sont présentées durant l'impression de la présente édition
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.65481#0057
ADDITIONS
qui se sont présentées durant P impression
de la présente édition.
Page 68, ligne 26 :
Le long de l’allée principale de la « Villa Humbert 1“ » qui
du pylône du temple égyptien conduit à la Porte Pinciana, a
été récemment inauguré le monument à Victor Hugo, offert
par la Ligue Franco-Italienne de Paris à la ville de Rome,
œuvre du sculpteur Pallez. La statue, de plus de trois m. de h.,
représente le grand poète debout sur un rocher, derrière lequel
est placé un lion. Sur le devant du piédestal est gravé un
passage du discours prononcé par Victor Hugo en 1860 en
faveur de Garibaldi à la Chambre Française.
Page 115, ligne 5 — Musée Barracco:
M. le Baron Jean Barracco, Sénateur, a offert à la ville de
Rome, une collection d’œuvres d’art ancien; il a fait construire,
à ses frais, sur un terrain donné par la Municipalité, et d’après
le dessin de M. Koch, architecte, un bâtiment de style ionien,
scrupuleusement reproduit. En échange de ce don, le titre de
citoyen honoraire de la ville de Rome a été conféré par la
Municipalité romaine au généreux Sénateur calabrais.
Par un élégant vestibule, semblable à celui d’un temple hellénique à Apollon,
on entre dans une première grande salle rectangulaire dans laquelle d’insignes
objets d’art ancien sont disposés et mis en lumière avec un sens artistique
admirable.
Sur les architraves des portes on lit : Johannes Barracco Instituit — Ve-
tustae artis monumenta — Aeternae Urbis Tradita — Anno îdDCCCCV —
ab V. C. MMDCLVIII.
Et, commençant par le côté droit, sont placées le long des murs les œuvres
d’art assyrien et égyptien: Hydrophore babylonienne (bronze) 3000 av. J.-C.
— Bas-relief égyptien ; IVe Dynastie — Génie ailé assyrien en albâtre, à genoux,
peut-être, devant l’arbre sacré; ixe siècle av. J.-C. — Statue d'un architecte
babylonien; l’original se trouve au Musée du Louvre à Paris, et a dû repré-
senter un architecte militaire, car il tient sur les genoux une tablette, sur la-
quelle est dessiné le tracé d’une redoute.
Viennent ensuite, suspendues aux murs, des sculptures assyriennes: Une
scène de chasse — Un soldat en marche — Des archers — Des chevaux —
Un combat parmi des plantes de marais — Deux archers avec couvre-chef
plumé — Frondeurs et archers.
qui se sont présentées durant P impression
de la présente édition.
Page 68, ligne 26 :
Le long de l’allée principale de la « Villa Humbert 1“ » qui
du pylône du temple égyptien conduit à la Porte Pinciana, a
été récemment inauguré le monument à Victor Hugo, offert
par la Ligue Franco-Italienne de Paris à la ville de Rome,
œuvre du sculpteur Pallez. La statue, de plus de trois m. de h.,
représente le grand poète debout sur un rocher, derrière lequel
est placé un lion. Sur le devant du piédestal est gravé un
passage du discours prononcé par Victor Hugo en 1860 en
faveur de Garibaldi à la Chambre Française.
Page 115, ligne 5 — Musée Barracco:
M. le Baron Jean Barracco, Sénateur, a offert à la ville de
Rome, une collection d’œuvres d’art ancien; il a fait construire,
à ses frais, sur un terrain donné par la Municipalité, et d’après
le dessin de M. Koch, architecte, un bâtiment de style ionien,
scrupuleusement reproduit. En échange de ce don, le titre de
citoyen honoraire de la ville de Rome a été conféré par la
Municipalité romaine au généreux Sénateur calabrais.
Par un élégant vestibule, semblable à celui d’un temple hellénique à Apollon,
on entre dans une première grande salle rectangulaire dans laquelle d’insignes
objets d’art ancien sont disposés et mis en lumière avec un sens artistique
admirable.
Sur les architraves des portes on lit : Johannes Barracco Instituit — Ve-
tustae artis monumenta — Aeternae Urbis Tradita — Anno îdDCCCCV —
ab V. C. MMDCLVIII.
Et, commençant par le côté droit, sont placées le long des murs les œuvres
d’art assyrien et égyptien: Hydrophore babylonienne (bronze) 3000 av. J.-C.
— Bas-relief égyptien ; IVe Dynastie — Génie ailé assyrien en albâtre, à genoux,
peut-être, devant l’arbre sacré; ixe siècle av. J.-C. — Statue d'un architecte
babylonien; l’original se trouve au Musée du Louvre à Paris, et a dû repré-
senter un architecte militaire, car il tient sur les genoux une tablette, sur la-
quelle est dessiné le tracé d’une redoute.
Viennent ensuite, suspendues aux murs, des sculptures assyriennes: Une
scène de chasse — Un soldat en marche — Des archers — Des chevaux —
Un combat parmi des plantes de marais — Deux archers avec couvre-chef
plumé — Frondeurs et archers.