DOI Heft:
Nr. 3
DOI Artikel:Innes, W.: Séance du 1er mars 1895: présidence de S. E. Yacoub Artin Pacha
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.12562#0090
L'orateur se demande, à propos de cette citation, si l'eau
saumâtre ainsi lencontrée, n'était pas analogue à celle
d'Aïn-el-Sira et si, pour rester à la couche d'eau douce,
on n'a pas dû remblayer le fond du puits.
En terminant, M. GrofF parle d'un nuage, formé sans
doute par des émanations des décombres, et qu'on voit,
quelquefois, vers le soir, planer à quelques mètres au-
dessus de l'endroit où était Fostat.
M. le Professeur Lortet dépose sur le bureau de l'Ins-
titut son très intéressant travail sur la Bilharzia. Sur la
demande du président, le savant professeur veut bien
monter à la tribune pour faire un résumé de son travail.
M. le Dr Gogniard demande si le bureau de l'Institut a
pris quelque décision au sujet du Dictionnaire de Méde-
cine offert par M. Perrot, pharmacien.
Le Président répond que l'Institut a chargé le secrétaire
de remercier M. Perrot pour le manuscrit qu'il lui a
envoyé, mais que l'Institut ne peut imprimer ce travail
pour le moment.
La séance est levée à 5 h. 1/2.
Le Secrétaire annuel,
Dr W. Innés.
légende, dit-il, « doit être fort intéressante. » M. Groff voudrait se ren-
seigner sur ce personnage, qui serait, lui assure-t-on, un nommé cy}i.\^\x^f
mais le conte fantastique édifié sur le rôle que ce personnage aurait joué
dans la construction du puits, ne lui semble pas mériter d'être rapporté.
m. Groff se demande si le nom de Oj-jU-I ne doit pas être rattaché au nom
du puits Qy>U_yo t( ie puits du Colimaçon ». (Voy. Y Etude de M. Casa-
nova, p. 575); il ne serait nullement étonné de voir, d'ici peu de temps,
disparaître la première partie du nom actuel, oy^U-l-usix^ du personnage
dont le tombeau se trouve dans le puits et son nom devenir Q?jU-l 0u Qjji;
dans ce cas il ne serait pas un bâtiment personnifié, mais peut-être un
puits ! et, d'après cela, on peut se demander ce que serait, et ce qu'est, en
effet, l'histoire d'après les légendes et les traditions populaires ?
saumâtre ainsi lencontrée, n'était pas analogue à celle
d'Aïn-el-Sira et si, pour rester à la couche d'eau douce,
on n'a pas dû remblayer le fond du puits.
En terminant, M. GrofF parle d'un nuage, formé sans
doute par des émanations des décombres, et qu'on voit,
quelquefois, vers le soir, planer à quelques mètres au-
dessus de l'endroit où était Fostat.
M. le Professeur Lortet dépose sur le bureau de l'Ins-
titut son très intéressant travail sur la Bilharzia. Sur la
demande du président, le savant professeur veut bien
monter à la tribune pour faire un résumé de son travail.
M. le Dr Gogniard demande si le bureau de l'Institut a
pris quelque décision au sujet du Dictionnaire de Méde-
cine offert par M. Perrot, pharmacien.
Le Président répond que l'Institut a chargé le secrétaire
de remercier M. Perrot pour le manuscrit qu'il lui a
envoyé, mais que l'Institut ne peut imprimer ce travail
pour le moment.
La séance est levée à 5 h. 1/2.
Le Secrétaire annuel,
Dr W. Innés.
légende, dit-il, « doit être fort intéressante. » M. Groff voudrait se ren-
seigner sur ce personnage, qui serait, lui assure-t-on, un nommé cy}i.\^\x^f
mais le conte fantastique édifié sur le rôle que ce personnage aurait joué
dans la construction du puits, ne lui semble pas mériter d'être rapporté.
m. Groff se demande si le nom de Oj-jU-I ne doit pas être rattaché au nom
du puits Qy>U_yo t( ie puits du Colimaçon ». (Voy. Y Etude de M. Casa-
nova, p. 575); il ne serait nullement étonné de voir, d'ici peu de temps,
disparaître la première partie du nom actuel, oy^U-l-usix^ du personnage
dont le tombeau se trouve dans le puits et son nom devenir Q?jU-l 0u Qjji;
dans ce cas il ne serait pas un bâtiment personnifié, mais peut-être un
puits ! et, d'après cela, on peut se demander ce que serait, et ce qu'est, en
effet, l'histoire d'après les légendes et les traditions populaires ?