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https://doi.org/10.11588/diglit.52558#0030
631
ACROPOLE DE LINDOS: 303-304
632
4 sq. restituées sur le modèle
des 1.11 sq.
5. Le nom, qui a dû com-
mencer par Κλεα-, ne peut être
restitué avec certitude.
— υπό άρχοντα, vie. 160
1. 7 sq.
6. Δαμαχόρας, τριήραρχος:
sans doute identique à Δαμαχό-
ρας Ευφράνορος, qui se distingua
comme navarque en 88 (App.
Mithrad. 25]), et auquel succéda,
à ce qu’il semble, Αυτοκράτης
Άνδρία (vie. 291; IG XII 1,41).
Vu qu’on ne peut pas identi-
fier avec certitude les hommes
nommés dans les 1. 5-9, nous
n’avons aucun point d’appui pour
la détermination chronologique
de sa triérarchie, qui se place
peut-être beaucoup plus tard
(dans la 3e guerre mithrada-
tique?); Damagoras était encore
B
A
5
15
vers
90-70
ois και χρυσεοις?;
ευσαμενων |
ων . . ]εα- - -
v υπ]ο αρχοντα
. . α.νδρον και
.] και τριήραρχον
S και φιλοδοξίας τας
σεοις στεφανοις
νων κοινού των τε
και επιπλουν
[και] στεφανωθεν[τα πλεονακις θαλλιν
[στ]εφανοις υπο ΠαΓναθηναισταν στρατ
[κοιν]ου των τε υπο αρχ[οντα τετρηρε
και τριήραρχον Δαμαχορα[ν και τω
Αριστωνυμον και τριηραρχΓους. . .
Σωσον και υπο αρχοντα Πασι[. . . .
. .ιστ. . .αν αρετας εν(ε)κα και ευνοι[α]
[ε]ις αυτους και στεφανωΟεντα χρ[υ]
[υπο Πα]ναθηναισταν στρατευσαμ[ε]
[υπο αρχοντα] τετρηρεων Τιμόθεό [ν]
[-και τ]ων υπο αρχοντα τ[ετρηρ]
[επιπλουν - - - -αρετας ενε[κα και]
[τας εις αυτουςί
εύνοιας και φιλοδοξίας
vac.
en vie au moins
‘Αλιαστάν 'Αλιαδαν Έστείων, mentionné n°292 1. 6.
vers 68 (v. IG XIIi:46,i57; cf. van Gelder p. 162
Le nom se retrouve à Lindos encore en 27 A, vin.
n. 2). L’époque de la présente inscription n’est, par
conséquent, qu’approximativement connue.
8. Σώσος, τριήραρχος: vie. 304.
9. S’il faut lire Άριστείδαν, nom
qui comblerait la lacune, on pourrait
penser au père de Σώσος (1. 8), vin.
304, mais le nom est trop commun
pour être identifié avec certitude.
— Sur la pierre: ενακα.
12. Τιμόθεος, αρχών τετρηρεων,
ne paraît pas connu par ailleurs;
la chronologie permettrait de l’iden-
tifier avec Τιμόθε[ος-], qui est
nommé IG XII 1:46,487 (vers 68).
— επιπλουν: vie. 420 a 1.11-12.
13. Εστειειον paraît être une
simple faute pour "Εστειον (άρχοντα τετρηρεων), qui
était probablement identique au père d’un hiérothyte
de l’an 74, vin. 299035; c’est peut-être le même
homme que celui qui a prêté son nom au κοινόν
1 U avait alors pour conseiller (σύμβουλος) Πολυκλής, v. Maiuri
(1925) n° 18 1. 14 avec la note de la p. 24. Maiuri (p. 22) a tort de
croire que ce Πολυκλής soit nommé IG XII1:42,3, inscription
qu’on peut dater avec certitude d’une époque beaucoup plus an-
cienne (vers 160).
303 A 1:15
378 b 1. 192. Sur quelques anses d’amphores se lit
le nom d’un prêtre d’Halios d’époque inconnue, écrit
soit Έστιαϊος, soit Έστίειος, v. Nilsson, Timbres
p. 421 n°i99; P-W Rh. 837 nos 127-128; Ann. ital. II
p. 115 n° 82 et p. 123 n° 252. Pour la dérivation du
nom, cf. Bechtel, HP p. 168.
304. Entablement d’une base rectangulaire, brisé
en deux morceaux. Marbre de Lartos. Tr. près du mur
méridional de l’église Hag. Stephanos, mais prove-
nant sans doute de l’acropole. H 0.283, L 1.034, É env.
0.61. A mi-hauteur du devant, il y avait une moulure
saillante, qui a été enlevée à coups de marteau. Faces
de joint à gauche, à droite, par dessous et par derrière.
A la face supérieure, traces d’une statue dont les
pieds touchaient le sol dans toute leur longueur
(0.17 et 0.20). L’inscription est incisée au-dessous
de la moulure susmentionnée. Caractères du début
du Ier s. HL 0.025.
Σώσος Άριστείδα ne paraît pas connu par ailleurs.
La chronologie permettrait de l’identifier avec le
vers Σωσον Αριστείδα
100-70
304 1:4
ACROPOLE DE LINDOS: 303-304
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4 sq. restituées sur le modèle
des 1.11 sq.
5. Le nom, qui a dû com-
mencer par Κλεα-, ne peut être
restitué avec certitude.
— υπό άρχοντα, vie. 160
1. 7 sq.
6. Δαμαχόρας, τριήραρχος:
sans doute identique à Δαμαχό-
ρας Ευφράνορος, qui se distingua
comme navarque en 88 (App.
Mithrad. 25]), et auquel succéda,
à ce qu’il semble, Αυτοκράτης
Άνδρία (vie. 291; IG XII 1,41).
Vu qu’on ne peut pas identi-
fier avec certitude les hommes
nommés dans les 1. 5-9, nous
n’avons aucun point d’appui pour
la détermination chronologique
de sa triérarchie, qui se place
peut-être beaucoup plus tard
(dans la 3e guerre mithrada-
tique?); Damagoras était encore
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ois και χρυσεοις?;
ευσαμενων |
ων . . ]εα- - -
v υπ]ο αρχοντα
. . α.νδρον και
.] και τριήραρχον
S και φιλοδοξίας τας
σεοις στεφανοις
νων κοινού των τε
και επιπλουν
[και] στεφανωθεν[τα πλεονακις θαλλιν
[στ]εφανοις υπο ΠαΓναθηναισταν στρατ
[κοιν]ου των τε υπο αρχ[οντα τετρηρε
και τριήραρχον Δαμαχορα[ν και τω
Αριστωνυμον και τριηραρχΓους. . .
Σωσον και υπο αρχοντα Πασι[. . . .
. .ιστ. . .αν αρετας εν(ε)κα και ευνοι[α]
[ε]ις αυτους και στεφανωΟεντα χρ[υ]
[υπο Πα]ναθηναισταν στρατευσαμ[ε]
[υπο αρχοντα] τετρηρεων Τιμόθεό [ν]
[-και τ]ων υπο αρχοντα τ[ετρηρ]
[επιπλουν - - - -αρετας ενε[κα και]
[τας εις αυτουςί
εύνοιας και φιλοδοξίας
vac.
en vie au moins
‘Αλιαστάν 'Αλιαδαν Έστείων, mentionné n°292 1. 6.
vers 68 (v. IG XIIi:46,i57; cf. van Gelder p. 162
Le nom se retrouve à Lindos encore en 27 A, vin.
n. 2). L’époque de la présente inscription n’est, par
conséquent, qu’approximativement connue.
8. Σώσος, τριήραρχος: vie. 304.
9. S’il faut lire Άριστείδαν, nom
qui comblerait la lacune, on pourrait
penser au père de Σώσος (1. 8), vin.
304, mais le nom est trop commun
pour être identifié avec certitude.
— Sur la pierre: ενακα.
12. Τιμόθεος, αρχών τετρηρεων,
ne paraît pas connu par ailleurs;
la chronologie permettrait de l’iden-
tifier avec Τιμόθε[ος-], qui est
nommé IG XII 1:46,487 (vers 68).
— επιπλουν: vie. 420 a 1.11-12.
13. Εστειειον paraît être une
simple faute pour "Εστειον (άρχοντα τετρηρεων), qui
était probablement identique au père d’un hiérothyte
de l’an 74, vin. 299035; c’est peut-être le même
homme que celui qui a prêté son nom au κοινόν
1 U avait alors pour conseiller (σύμβουλος) Πολυκλής, v. Maiuri
(1925) n° 18 1. 14 avec la note de la p. 24. Maiuri (p. 22) a tort de
croire que ce Πολυκλής soit nommé IG XII1:42,3, inscription
qu’on peut dater avec certitude d’une époque beaucoup plus an-
cienne (vers 160).
303 A 1:15
378 b 1. 192. Sur quelques anses d’amphores se lit
le nom d’un prêtre d’Halios d’époque inconnue, écrit
soit Έστιαϊος, soit Έστίειος, v. Nilsson, Timbres
p. 421 n°i99; P-W Rh. 837 nos 127-128; Ann. ital. II
p. 115 n° 82 et p. 123 n° 252. Pour la dérivation du
nom, cf. Bechtel, HP p. 168.
304. Entablement d’une base rectangulaire, brisé
en deux morceaux. Marbre de Lartos. Tr. près du mur
méridional de l’église Hag. Stephanos, mais prove-
nant sans doute de l’acropole. H 0.283, L 1.034, É env.
0.61. A mi-hauteur du devant, il y avait une moulure
saillante, qui a été enlevée à coups de marteau. Faces
de joint à gauche, à droite, par dessous et par derrière.
A la face supérieure, traces d’une statue dont les
pieds touchaient le sol dans toute leur longueur
(0.17 et 0.20). L’inscription est incisée au-dessous
de la moulure susmentionnée. Caractères du début
du Ier s. HL 0.025.
Σώσος Άριστείδα ne paraît pas connu par ailleurs.
La chronologie permettrait de l’identifier avec le
vers Σωσον Αριστείδα
100-70
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