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Krzyżanowska, Aleksandra: Les monnaies découvertes à Palmyre
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.18950#0130
Tesseres. Ces petites formes en terre cuite, le plus souvent carrees ou
triangulaires, sont a mettre en rapport avec les banquets sacres pour
Padoration des dieux, constituant en ąueląue sorte comme des « billets
d’entree ». Elles sont comme indissolublement attribuees a cette ville. Cette
ressemblance comme egalement le fait de decouvrir ces monnaies depourvues
de legende a Palmyre justement, decide de leur attribution. La misę a jour du
catalogue de ce type de monnaies, comme egalement la tentative de les dater,
permet non seulement d’elargir la base de nos recherches, mais aussi de
confirmer les attributions faites auparavant pour beaucoup d’entre elles, en
s’appuyant sur 1’endroit ou elles ont ete decouvertes. Ces monnaies, de peu
de valeur comme je l’ai rappele, furent frappees a Pepoque ou les habitants
de Palmyre connurent une grandę activite marchande, vraisemblablement a
partir de la moitie du IPme siecle jusqu’au moment de la destruction de la ville
par Aurelien, et elles servaient aux besoins de tous les jours. Les grosses
transactions se reglaient a 1’aide de pieces en or et en argent dont, avec le
temps, cette ville, habitee par les Arabes jusqu’au XXśme siecle, fut entierement
pillee. Bień que provenant d’une epoque moins ancienne quoique encore
prearabe, les tresors decouverts durant les fouilles de la mission polonaise a
Palmyre pourraient constitues des traces de ces transactions. En 1960, on a
decouvert un ensemble de 27 monnaies byzantines en or, de Pepoque des
empereurs byzantins Heraclius et Constantin II, on a egalement decouvert un
tresor de drachmes en argent perses sassanides, comptant environ 760
exemplaires.
Les fouilles polonaises a Palmyre durent jusqu’a ce jour, elles prolongent les
recherches entreprises par le Professeur Michałowski, et relient depuis des
annees la Pologne avec cette ville antique. Les monnaies qui y sont
decouvertes sont continuellement examinees, elargissant ainsi la thematique
numismatique exposee ci-dessus dans ses grandes lignes.
Traduit par Gilles Renard
triangulaires, sont a mettre en rapport avec les banquets sacres pour
Padoration des dieux, constituant en ąueląue sorte comme des « billets
d’entree ». Elles sont comme indissolublement attribuees a cette ville. Cette
ressemblance comme egalement le fait de decouvrir ces monnaies depourvues
de legende a Palmyre justement, decide de leur attribution. La misę a jour du
catalogue de ce type de monnaies, comme egalement la tentative de les dater,
permet non seulement d’elargir la base de nos recherches, mais aussi de
confirmer les attributions faites auparavant pour beaucoup d’entre elles, en
s’appuyant sur 1’endroit ou elles ont ete decouvertes. Ces monnaies, de peu
de valeur comme je l’ai rappele, furent frappees a Pepoque ou les habitants
de Palmyre connurent une grandę activite marchande, vraisemblablement a
partir de la moitie du IPme siecle jusqu’au moment de la destruction de la ville
par Aurelien, et elles servaient aux besoins de tous les jours. Les grosses
transactions se reglaient a 1’aide de pieces en or et en argent dont, avec le
temps, cette ville, habitee par les Arabes jusqu’au XXśme siecle, fut entierement
pillee. Bień que provenant d’une epoque moins ancienne quoique encore
prearabe, les tresors decouverts durant les fouilles de la mission polonaise a
Palmyre pourraient constitues des traces de ces transactions. En 1960, on a
decouvert un ensemble de 27 monnaies byzantines en or, de Pepoque des
empereurs byzantins Heraclius et Constantin II, on a egalement decouvert un
tresor de drachmes en argent perses sassanides, comptant environ 760
exemplaires.
Les fouilles polonaises a Palmyre durent jusqu’a ce jour, elles prolongent les
recherches entreprises par le Professeur Michałowski, et relient depuis des
annees la Pologne avec cette ville antique. Les monnaies qui y sont
decouvertes sont continuellement examinees, elargissant ainsi la thematique
numismatique exposee ci-dessus dans ses grandes lignes.
Traduit par Gilles Renard